Comment estomper ces tocs ?

Réalisée par Binjamin · 8 août 2024 Aide psychologique

Bonjour à tous,

Je n'ai pas pour habitude de prendre la parole "en public" cependant la période actuelle que je traverse est trop bouleversante pour moi, cette dernière est remplie de tocs qui ne fait que s'accentuer et met ma vie de coté.

Je me présente brièvement, j'ai 24 ans, je suis étudiant en droit. J'ai également pu recevoir un diagnostic borderline en 2023, lequel j'ai pris la démarche d'être suivi à travers une structure depuis début 2024.

Au sein de cette structure et suite à quelques rendez-vous avec une psychiatre et des internes en psychiatrie, un diagnostic supplémentaire a été rajouté à mon cas, celui du trouble de la personnalité schizotypique "à haut risque".

Depuis, l'annonce de ce trouble (il y a déjà deux mois), j'angoisse énormément, des tocs orientés sur la schizophrénie et de la phobie de l'impulsion sont apparus et je ne parviens plus à m'en défaire. Il ne cesse plus un jour et plus une heure où je ne m'informe pas sur cette maladie.

J'ai emprunté le DSM-V à la bibliothèque en scrutant mot pour mot et tentant de comprendre le trouble de la personnalité schizotypique (qui est regroupé dans le spectre de la schizophrénie) ainsi que toutes les autres troubles de la personnalité où j'avais tendance à m'identifier (TPB, TPEvitante, TCA, TOCS).

J'ai pu échanger sur les réseaux sociaux avec une personne atteinte du trouble de la personnalité schizotypique, laquelle m'a raconté rapidement son trouble et elle m'a précisé également que le trouble de la personnalité schizotypique ne bascule pas obligatoirement vers la schizophrénie (dite schizophrénie latente, comme j'avais pu le lire dans les articles).

J'ai pu lire et je continue à lire des articles se portant sur cette thématique, des témoignages de parents qui ont un enfant schizophrène et l'âge à laquelle les premiers symptômes sont apparus, et des articles universitaires se portant sur le TPSchyzotypique.

Malgré, tous ces multitudes de connaissances et ce temps consacré à me persuader que je ne deviendrais pas forcément schizophrène, je persiste à croire que ceci va bientôt se produire et que toute ma vie, qui plus est n'était pas tant comblée de bonheur, je serais condamné au malheur.

En outre, lors de l'annonce de ce trouble, j'ai fait part au psychiatre interne, que je me reconnaissais pas véritablement dans ce trouble car les grandes lignes telles que la pensée magique, les idées de référence, les chuchotements à l'oreille, les pseudos-hallucinations (toute la partie psychotique) je ne me disposais pas.

Par ailleurs, je me suis penché à tout hasard sur le TSA (Asperger) en réalisant un test car mon frère fut diagnostiqué TSA (niveau 2) dès son adolescence.

Le résultat de ce test fut sans appel, j'étais donc une personne neurodivergente ("Aspi" telle fut la mention du test). Je ne me suis pas arrêter là, j'ai pu en effectuer quelques autres (5) ainsi je suis tombé sur des scores significatifs.

J'ai pu trouver un article universitaire, qui confronte les deux troubles, "problème de diagnostic différentiel entre autisme et schizotypie autour du cas du jeune adulte".

En outre, mon obsession, qui demeure insatisfaite depuis plusieurs années, à vouloir savoir qui je suis, en particulier répondre à cette question quelle est la source de ce mal être depuis ma tendre enfance ? Pourquoi je ne parviens jamais réellement à être épanoui dans ma vie malgré que je poursuivre mes objectifs ?

Je ne souhaite pas être dans le déni par rapport à ces troubles, malgré que ce sois difficile à les accepter, et souhaite pouvoir être pris en charge correctement malgré l'attente auprès des professionnels de santé pour réaliser des diagnostics en profondeur afin de pouvoir évoluer et de mener la vie de "monsieur de tout le monde".

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Meilleure réponse 10 AOÛT 2024

Bonjour Monsieur,
Vous vous êtes beaucoup informé et vous êtes pris en charge.
C'est l'occasion de vous apaiser. Ne vous enfoncez pas dans ces troubles, en allant chercher partout et inutilement de nouveaux signes, de nouveaux diagnostics.
Vivez, ne vous identifiez pas à ce diagnostic !
On peut vivre harmonieusement, même avec des troubles psychiques.
Vous n'êtes pas votre frère. Et les troubles schizoïdes sont sans rapport avec la schizophrénie.
Bien à vous, ayez confiance !
Valérie Maréchal

Valérie Maréchal Psy sur Metz

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15 AOÛT 2024

Bonjour Binjamin,

Je tiens à vous féliciter pour le courage que vous avez eu de partager votre situation. Ce que vous traversez est manifestement très complexe et bouleversant, et il est tout à fait compréhensible que vous vous sentiez accablé par toutes ces informations et ces diagnostics. Il n’est jamais facile de faire face à des troubles de la personnalité ou à des troubles psychiatriques, surtout lorsque ces derniers sont encore en cours d’évaluation.

Il semble que l'incertitude autour de ces diagnostics et l'obsession de comprendre ce qui se passe en vous contribuent à votre mal-être actuel. Le fait de passer autant de temps à rechercher et à lire sur ces troubles peut, paradoxalement, alimenter votre anxiété et vos TOCs, car cela vous maintient dans un état constant de vigilance et de préoccupation.

Il est important de souligner que, même si ces recherches sont une tentative de trouver des réponses et de vous rassurer, elles peuvent aussi renforcer vos craintes et vos pensées obsessionnelles. Les troubles psychiatriques, comme ceux que vous mentionnez, sont extrêmement complexes et souvent difficiles à comprendre à travers des lectures seules. Les professionnels de la santé mentale sont là pour vous aider à naviguer dans ces diagnostics, et il est crucial de leur faire confiance pour vous guider dans ce processus.

Voici quelques réflexions et suggestions pour vous aider à mieux vivre cette période :
Tout d’abord, il pourrait être bénéfique de mettre un frein à vos recherches personnelles sur ces troubles. Bien que l’information puisse être utile, elle peut aussi devenir une source d’anxiété supplémentaire. Essayez de vous concentrer sur les recommandations et les informations fournies par vos psychiatres et autres professionnels de la santé. Laissez-les guider le processus de diagnostic et de traitement, car ils ont l’expérience et l’expertise nécessaires pour cela.

Ensuite, il pourrait être utile de travailler avec un thérapeute sur vos TOCs et votre phobie de l’impulsion. Un professionnel pourra vous aider à gérer ces symptômes, à réduire l’intensité de vos pensées obsessionnelles, et à trouver des moyens plus constructifs de faire face à l’incertitude.

Concernant votre recherche d’identité et la question de savoir qui vous êtes, il est important de reconnaître que cette quête est partagée par beaucoup de personnes, surtout à un âge où l’on cherche encore à se définir et à comprendre son propre parcours. Il est possible que cette quête soit exacerbée par vos troubles, mais elle n’est pas inhabituelle. Un thérapeute peut également vous aider à explorer ces questions d’identité de manière sécurisée et encadrée, en vous aidant à trouver des réponses tout en vous apportant du soutien émotionnel.

Enfin, soyez patient avec vous-même. Le processus de diagnostic et de traitement prend du temps, et il est normal que vous ressentiez de la frustration et de l’anxiété en attendant des réponses claires. L’important est de continuer à vous faire suivre, à prendre soin de vous, et à vous entourer de personnes de confiance qui peuvent vous soutenir dans cette démarche.

Vous méritez de trouver la paix intérieure et de mener une vie épanouie, même avec les défis que vous rencontrez. Continuez à chercher de l’aide et à vous battre pour votre bien-être. Vous n’êtes pas seul dans ce parcours, et il y a des ressources et des personnes prêtes à vous soutenir tout au long du chemin.

Je vous souhaite beaucoup de force et de clarté dans cette période difficile. Vous avez déjà fait des pas importants vers la compréhension de vous-même, et avec le temps, vous trouverez des moyens de gérer ces troubles et de vivre une vie qui vous ressemble.

Stéphanie Laurent

Laurent Stéphanie Psy sur La Rochelle

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10 AOÛT 2024

Bonjour,

Merci d'avoir partagé votre expérience et vos réflexions. Ce que vous traversez semble difficile, et il est compréhensible que vous ressentiez le besoin de vous exprimer. La quête de compréhension de soi et des troubles que l'on peut rencontrer est un chemin complexe et souvent éprouvant.

Il est positif que vous ayez pris l'initiative de consulter des professionnels et de vous engager dans un suivi. Cela montre que vous êtes proactif dans votre démarche de soin et d'auto-compréhension. Il est également normal de ressentir de l'angoisse face à des diagnostics qui peuvent sembler accablants.

Il peut être utile d'échanger avec votre psychiatre concernant vos préoccupations et vos pensées obsessionnelles.
Si traitement il y a, ce dernier peut modifier son dosage ou sa contenance pour vous aider à naviguer à travers ces émotions et à réduire l'impact de l'anxiété qui en découle.
En parallèle il peut être interessant de se tourner vers un autre type d'accompagnement complémentaire afin de solutionner plus concrètement les difficultés que vous pouvez rencontrer au quotidien. Les techniques que je pratique tels que: la thérapie cognitivo-comportementale, l'hypnose, la Programmation Neuro-Linguistique (PNL), la Deep Neural-Repartterning (DNR) et bien d'autres peuvent être bénéfiques et son souvent efficaces dans cette démarche.

Restant disponible et à l'écoute, sentez vous libre de me contacter.

Bien à vous

Marion Bognitscheff
Coach mental et Thérapeute spécialisée en thérapies brèves

Marion Bognitscheff Psy sur Paris

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10 AOÛT 2024

Bonjour Benjamin,

À part votre anxiété de devenir schizophrène transformée en obsession, vous ne décrivez pas ce qui caractérise votre mal être et quelles sont vos souffrances relationnelles qui pourraient nous aider à comprendre votre état.
De toute façon pour établir un diagnostic il faut s’adresser aux psychiatres et non pas aux psychologues (qui ont certes des notions de diagnostic mais pas toutes les compétences pour en poser un avec certitude) ou psychothérapeutes qui sont sur ce site.

Le trouble borderline ne peut pas être confondu avec le trouble de personnalité schizotypique.
Ce dernier peut avoir quelques ressemblances avec le syndrome d’Asperger, qui a quand même des caractéristiques propres.

Si vous avez choisi de faire des études de droit j’imagine que vous êtes à l’aise dans les situations de prise de parole et les relations avec les autres ?
Ceci exclurait l’existence du syndrome d’Asperger.

Aussi, la schizophrénie se déclenche en fin d’adolescence : vous avez bien dépassé cette période.

D’ailleurs aucun test sur internet n’est fiable pour poser un vrai diagnostic… : en êtes vous conscient ?!

Il serait bon pour vous de revoir la psychiatre qui vous connaît pour lui parler de ce qui vous inquiète en ce moment.

Vous pouvez aussi consulter un autre psychiatre : demandez à votre médecin traitant de vous conseiller un à qui il fait confiance.

En attendant forcez vous à ne plus consulter internet pour vous informer sur diverses maladies : étant en état de fragilité vous êtes influençable et vous pouvez finir à penser que vous avez toutes les maladies du monde !

Faites du sport, sortez avec des amis (j’espère que vous en avez…), pensez à autre chose que ces troubles.

Je vous souhaite de trouver le chemin vers une vie plus sereine.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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10 AOÛT 2024

Bonjour,

J'entends votre désarroi dans votre message.

Il est tout à fait normal que vous puissiez angoisser, car d'après votre message, je comprends que l'on vous a diagnostiqué un trouble de la personnalité schizotypique mais on vous a laissé dans le flou sans accompagnement. Le fait de ne pas avoir été suivi, de ne pas avoir été écouté et rassuré à augmenter votre sensation d'anxiété et de ce fait, vous vous imaginez beaucoup de choses comme - si je reprends vos dires - la phobie d'impulsion.

Vous semblez être une personne extrêmement anxieuse avec un pattern hypocondriaque. Et comme toute personne anxieuse et souffrant d'hypocondrie vous avez besoin d'être rassuré ! Je ne peux que vous conseiller la thérapie, afin de différencier les troubles que vous avez de ceux que vous pensez avoir. La thérapie vous aidera également à poser tout ce que vous ressentez, vous sentir légitime, écouté, rassuré. Enfin, d'appréhender la vie autrement, afin que votre quotidien ne tourne plus exclusivement sur les troubles mais sur la vie en général, la joie, le bonheur, les petites choses du quotidien.

N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez échanger.

Bien à vous.

Rachel Caudron
Psychopraticienne, spécialisée en Thérapies Comportementales et Cognitives

Rachel Caudron Psy sur Lille

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10 AOÛT 2024

Bonsoir Binjamin,

D’après mon analyse et corrigez moi si je me trompe. Je comprends qu’actuellement (et depuis votre tendre enfance) d’un mal être. Celui-ci c’est amplifier depuis un premier diagnostic (borderline) en 2023 et n’a fait que s’accentuer avec la suite d’examens que vous avez effectué.
Du trouble borderline dans un premier temps, vous êtes passé au trouble de la personnalité schyzotypique et ensuite d’un trouble proche de l’asperger.

Je ne souhaite en aucun remettre en cause les diagnostics et les différents tests qui démontrent ceci. Ce que je vois c’est un homme qui doute, un homme qui est en recherche continue et qui souffre. Ces sentiments ne font que vous envahir davantage en vous documentant, en cherchant une vérité par des témoignages ou tests spécifiques, scientifiques, en lisant des articles des livres, etc. Puis comme vous semblez être un homme doté d’une certaine intelligence, vous doutez sans vouloir être dans le déni de ces jugements que l’on porte sur vous. (Tout comme moi-même).

Je me présente à mon tour, je m’appelle Éric et je suis psychopraticien spécialisé dans la méthode Palo Alto, qui est de la systémie. J’accompagne les personnes qui sont dans des problématiques en m’intéressant au processus qui alimente leur problème, leur souffrance et sans porter le moindre jugement. Le comment et pas le pourquoi.

Comprenez-vous ? Que plus vous cherchez une cause, plus vous allez vous persuader de celle-ci ou plus vous allez être en contradiction. D’ailleurs n’est-ce pas cela qui alimente votre souffrance, votre mal-être depuis des années ?

Le DSM est un recueil de troubles et spécifiques pour la psychiatrie, qui est écrit par des psychiatres et qui se renouvelle au moins tous les deux ans, en élargissant de plus en plus les spectres et les symptômes pour chaque trouble et d’autres trouvent naissance. Ce n’est pas que je ne suis pas d’accord avec cela mais de nos jours nous sommes arrivés à doubler voir tripler le nombre de personnes bipolaires par exemple. Car dans DSM 3 le trouble bipolaire était différent de celui du DSM4. On y trouve un trouble un peu plus léger (bipolaire type 2) et dans le DSM5 un troisième (cyclothymique) et le trouble borderline est aussi apparu tardivement.

Vous pouvez penser que c’est tout à fait logique et justement nous avons tous une logique de raisonnement, une vision du monde ainsi que des interprétations différentes sur des sujets commun. C’est pour cela que la non-normativité est essentielle pour apporter de l’aide. Car et dites-moi si vous êtes d’accord avec ceci :

Le plus important, c’est de mettre un jugement ou de voir ce qui pose problème? C’est de voir ce qu’il c’est produit dans le passé ou de se concentrer ce qu’il ce passe actuellement ?

Donc la première consigne que je vous donne, c’est d’arrêter de faire toutes et je dis bien toutes vos démarches (lectures, recherches, en parler, regarder pour valider,..) concernant vos doutes, craintes ou autres sur votre comportement. Est-ce que cela vous est utile ? Je ne crois pas… bien au contraire.

Et la deuxième serait que l’on puisse se rencontrer. Le principe de la systémie c’est également de vous apporter des exercices, des taches spécifique à votre problématique et pour cela j’ai besoin de vous connaître davantage.

Si vous êtes intéressés par mes services, revenez vers moi. Ce sera avec plaisir que je vous répondrai. Prenez soin de vous Benjamin.

Cordialement Eric.

Eric Oignet Psy sur Herblay

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9 AOÛT 2024

Bonsoir,

Ne vous bloquez pas trop sur les catégorisations mentales qui sont parfois même mal repérées par les psychiatres eux mêmes. Ce qui est important c'est de repérer ce qui vous gêne actuellement et les éventuels problèmes d'adaptation à votre environnement que vous rencontrez.
On n'est pas tous obligés de vivre de la même façon. Ce qui semble sûr pour l'instant c'est que vous avez des symptômes d'angoisse qui, en soi, peuvent simplement relever d'une structuration névrotique.
Pour le reste il ne faut pas s'emballer mais prendre le temps de vous connaître.
Je reste personnellement à votre disposition sachant que ma première séance est gratuite et sans engagement.
Michel le Baut

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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9 AOÛT 2024

Bonjour,
Pour ce qui est du diagnostic en profondeur, comme vous dites, il n’y a qu’un psychiatre qui pourrait vraiment le faire. Or si j’ai bien compris, vous êtes déjà suivi par une équipe? Vous ne leur faites pas confiance sur leur diagnostic ? Il faudrait pourtant, et si vous n’êtes pas rassuré, vous pourriez demander à un autre psychiatre?
Si vous avez des médicaments, fonctionnent-ils correctement? Le but c’est de calmer vos angoisses et vos obsessions. Trouver le bon dosage, trouver le bon médicament ne peut se faire qu’auprès d’un psychiatre, et pas sur Internet ou dans le DSMV. Car il faut suivre la personne depuis plusieurs mois pour se faire une idée réelle, pour voir son évolution, pour adapter le médicament et la psychothérapie.
Mais rien ne vous empêche parallèlement de faire une psychothérapie soit de type TCC, soit de type soutien et éventuellement analytique si vous êtes suffisamment solide.

Bien à vous, Anne Fierry Vérité, psychologue

Anne Fierry Vérité Psy sur Créon

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