bonjour,
je suis une thérapie ICV depuis 3 mois.
je me sens bloquée dans l'évocation de souvenirs ou tout simplement pour poser des questions lors des séances. J'ai peur du jugement de la psy.
je regrette et culpabilise après coup. j'ai l'impression de ne pas avancer à causer de ça.
je lui en ai parlé et je vois qu'elle essaie de me mettre en confiance. Mais ce n'est pas une histoire de confiance puisque c'est le cas avec bcp de personnes.
comment dépasser cette peur du jugement, ne plus me dire "si je dis ça elle va penser ça"?
normalement un psy n'est pas sensé juger, comme tous les professionnels du soin, mais malheureusement ce n'est pas souvent la cas
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26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 38 personnes
Bonjour Marie,
Débuter une thérapie pour parler de souvenirs difficiles est un vrai challenge. S'ouvrir à quelqu'un et se rendre vulnérable n'est pas inné, ça s'apprend et prend du temps. Soyez indulgente envers vous-même. Le fait même d'avoir débuter une thérapie est déjà preuve d'une belle prise de conscience.
Je peux vous conseiller un exercice à faire vous-même. Observez vos pensées, connectez-vous à elles. Dans un cahier de bord, posez les informations que vous aimeriez donner à votre psy. Et imaginez vous le lui dire. Qu'est-ce qui vient ? Quelles sont les pensées bloquantes qui vous viennent ? "J'ai peur qu'elle me voit comme..." ; "Elle va penser que..."
Qu'est-ce que ça dit sur vous ?
Ensuite, proposez une alternative à ces pensées. Pas une pensée positive, mais plutôt une pensée objective comme "avoir cette information pourrait l'amener à..."
Cet exercice peut vous permettre de voir le problème autrement, et réfléchir à des stratégies pour lui parler d'événements moins angoissants que d'autres. (Vous pouvez aussi noter sur 10 tous les événements/souvenirs sur lesquels vous aimeriez travailler. 0 étant "pas du tout angoissant à exprimer" et 10 "extrêmement angoissant").
Vous pouvez ainsi vous auto-évaluer, travailler sur vous et vous exprimer tout en respectant ce que votre corps vous dit.
Dans tous les cas, soyez bienveillante envers vous-même. Exprimer, libérer la parole n'est pas chose simple et il nécessite parfois de l'exercice pour y arriver.
Je reste disponible,
Bien à vous,
Flavie Derick
Thérapie cognitivo-comportementale
Techniques de libération émotionnelle
27 FÉVR. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Marie,
En tant que psychologue thérapeute ICV, je pense que qqch est en train de se réactiver de votre histoire dans cette sensation de blocage, de peur du jugement, sûrement en lien avec le souvenir ou les souvenirs de votre liste que vous avez passé dans le protocole en cours.
Si lui en parler n'est pas possible, vous pouvez en effet lui écrire. Ca sera plus liberateur pour vous. Je laisse mes patients m'écrire entre les protocoles ICV car il arrive que certaines sensations, émotions ou souvenirs réémergent et votre culpabilité a sûrement du sens (non pas sur ce qui se joue avec votre thérapeute mai sur ce que vous retravailler en séances.. vous avez sûrement dû ressentir du jugement de certaines personnes dans les souvenirs de votre liste.)
C'est important que vous vous autorisiez à lui en retranscrire qqch. Je ne pense pas qu'il faille arreter la thérapie avec cette thérapeute, je pense au contraire au vu de l'outil ICV que qqch de votre histoire s'est réactivée et demande à être remis en mouvement, encore, en corps...
Vous êtes sur le bon chemin. Perseverez.
L'ICV est un outil fort emotionnellement mais tellement salvateur...
Combien de répétitions avez vous fait sur ce protocole ?
7 FÉVR. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Marie,
Ce que vous ressentez avec votre thérapeute n'est pas ok. Peut être n'est elle pas la bonne personne pour vous?
Un thérapeute se doit poser un cadre suffisamment sécure pour que vous vous sentiez dans un espace de en sécurité suffisante pour pouvoir aller explorer et traverser des souvenirs et des émotions qui peuvent êtres difficiles. C'est le rôle d'un thérapeute
Je vous invite vraiment à ne pas vous remettre en question ni culpabiliser. Le problème ne vient pas de vous.
Je vous conseille d'aller essayer avec quelqu'un d'autre pour voir...
je reste à votre écoute si vous souhaitez un échange télephonique.
27 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Marie
Avez vous été jugée par un/une professionnel/le de la santé ?
Que vous est il arrivé ?
Parlez peut être de ce qui vous est arrivé, et ce qui vous met en insécurité de dire ce que vous avez envie et besoin d'évoquer. Alors la confiance va s'installer. Ou alors il est peut être encore trop tôt pour vous de vous ouvrir à quelqu'un. Respectez votre rythme.
Avec respect
Inès Avot
27 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Marie,
Peut-être pourriez vous compléter ce travail par une autre approche ?
C'est au thérapeute d'installer le lien de confiance pour que le consultant dépasse sa peur d'être jugé, sachant que celle -ci est en lien avec la peur du rejet.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques
27 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Madame,
Vous savez, la peur du jugement est liée à l'image que vous avez de vous même. Beaucoup de gens sont très sensibles à l'opinion des autres et pour y remédier, il convient de renforcer l'estime de soi, c'est à dire la valeur que vous vous donnez.
Et il y a d'autres outils que l'ICV. Le travail que vous avez fait en ICV a sûrement été bénéfique. Vous pouvez continuer votre thérapie avec d'autres outils, comme l'EMDR, l'hypnose, la PNL mais aussi des pratiques psychocorporelles. Sentez-vous libre de me contacter. Sylvie Gryger Stannage
27 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Marie
Vos difficultés sont légitimes, il n'est pas toujours facile de dépasser ses craintes et la peur du jugement.
Et vous sentez bien qu'il ne s'agit pas de votre thérapeute puisque ces craintes innervent un grand nombre de vos relations.
La thérapie est un processus qui prend le temps qui vous est nécessaire.
Mais l'espace thérapeutique est un espace sécurisant, que vous ne le ressentiez pas encore ainsi n'est pas grave cela viendra sans doute.
Pour autant vous ne pouvez certainement pas être réduite à cette simple peur du jugement, vous possédez à n'en pas douter de nombreuses compétences et aptitudes sociales qui vous ont permis dans bien des cas de dépasser cette peur et les difficultés qui se sont présentées à vous.
Je vous invite à explorer ces moments là pour vous reconnecter à ces compétences et aptitudes. Vous verrez que la place de cette peur s'en trouvera réduire. C'est ici un des objets des la thérapie narrative.
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Marie,
Je vous encourage à continuer à lui parler de cette peur du jugement lorsqu’elle se présente en séance. Vos peurs et votre culpabilité ont toute leur place dans l’espace thérapeutique et peuvent être mis au travail durant les séances !
En ICV, malgré les répétitions de votre liste du temps, en amont, entre deux répétitions ou après il y a tout l’espace pour vos questionnements, et vos ressentis, émotions, pensées, sensations, peu importe leur nature.
Ce sont des informations précieuses qui permettent également à votre psychologue de s’ajuster en fonction des effets que la répétition de souvenirs vous procure.
Cordialement,
Astrid Jullien
Psychologue Clinicienne et Psychothérapeute
Thérapeute PBQ
Consultations à Paris et en ligne
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
bonjour
En tant que psychothérapeute, je comprends que vous éprouvez des difficultés à évoquer des souvenirs ou à poser des questions lors de vos séances de thérapie, et que vous ressentez de la peur d'être jugée. C'est tout à fait normal de ressentir ces émotions et ces pensées dans un processus thérapeutique.
Il est important de se rappeler que le but de la thérapie est de vous aider à explorer vos pensées et vos émotions, même celles qui sont difficiles à partager. Votre thérapeute est là pour vous écouter et vous soutenir, pas pour vous juger. Il est important de se rappeler que leur rôle est de vous aider à comprendre et à gérer vos pensées et vos émotions dans un environnement sûr et non-jugement.
Il peut être utile de discuter de vos craintes avec votre thérapeute et de découvrir comment ils peuvent vous aider à les surmonter. Il peut également être bénéfique de travailler sur la confiance en soi et l'estime de soi en dehors des séances de thérapie pour vous aider à vous sentir plus à l'aise de partager vos pensées et vos émotions.
Il est également important de rappeler que la thérapie est un processus, et que les progrès peuvent parfois être prêtés. Il est normal de se sentir bloqué ou de ne pas sentir qu'on avance tout le temps. Il est important de continuer à aller à vos séances et de partager vos sentiments avec votre thérapeute, même si cela peut être difficile.
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 9 personnes
Bonjour Marie.
C’est en effet très dommage que vous ne vous sentiez pas suffisamment en confiance avec votre thérapeute. Cela ne peut qu’empêcher le progrès.
Je ne doute pas que votre thérapeute cherche à vous mettre en confiance. En revanche, la confiance ne se décrète pas, et dans certains cas l’intensité des souvenirs est telle qu’il est très difficile de faire confiance, même aux personnes les mieux intentionnées.
C’est pourquoi je trouve important de commencer à travailler sur le sentiment de sécurité que vous ressentez à l’intérieur de vous, de façon à retrouver le minimum de sécurité « intérieure », avant même de commencer à travailler directement sur le traumatisme. Par exemple, reconnecter avec la sécurité que l’on ressentait avec telle ou telle personne, et reconnecter avec le sentiment que vous avez de la valeur, et que pour cette valeur les gens de votre entourage, ou au moins certaines personnes, vous apprécient et ne vous laisseront pas tomber !
Et une fois ce sentiment de sécurité retrouvé, ce sera le moment de travailler sur le traumatisme !
Peut-être pourriez-vous suggérer cela à votre thérapeute ? Ou bien en effet aller vers un ou une thérapeute qui commence à vous faire retrouver les bases qui permettent de se sentir en sécurité, avec quelqu’un.
Je vous souhaite de retrouver ces bases, et je reste à votre disposition si vous désirer approfondir cet échange.
Guillaume Lemesle
Hypnose – Thérapies brèves
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 4 personnes
Bonjour Marie,
Merci de votre questionnement à notre communauté.
Juger et avoir peur d'être jugé est une composante récurrente et un élément que nous travaillons régulièrement en thérapie.
Je vous invite à contourner la chose : continuer à vous dire "si je dis ça elle va penser ça". Visiblement le moment n'est pas encore là pour vous de vous séparer de cette étape, elle viendra un jour avec un bon travail thérapeutique. Mais laissez vous le temps, gentiment. Je vous invite à non seulement vous dire cela mais vous dire également : ou peut-être qu'elle pensera autre chose. Voilà déjà un cheminement. Exemple : si je dis ça, peut-être pensera t'elle que je suis idiote ou pas ou futée etc.
Donc vous ouvrez le champs des possible et votre cerveau est remanié.
Puis juste après vous être dit cela, dites-vous : et alors !? Oui elle risque de penser ça mais si je ne dis pas la chose, je ne fais pas ma part du travail dans la thérapie.
Si cela fonctionne alors tant mieux. Sinon, je vous invite à lui dire que vous craigniez son jugement et retenez des choses.
L'accueil de cette peur en thérapie permet au patient de poursuivre un travail. Cette étape est primordiale et ce que vous concevez comme un frein peut être envisagé comme une construction de vos fonctionnements qui peut être est présente à d'autres moments de votre vie et dans d'autres sphères.
Allez-y, laissez-vous suprendre par le professionnalisme et la bienveillance et le non-jugement de cette professionnelle. Aidez-la à vous aider.
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Marie,
En règle générale, il n’y a pas de jugement en séance. En effet, il n’y a pas de raison de juger votre propre existence. Elle est ainsi, c’est la vôtre et vous agissez ainsi par votre histoire personnelle.
Bien souvent, cette peur du jugement provient d’un manque profond de confiance en soi et d’estime de soi. Je vous invite vraiment à réussir à donner toute votre confiance à ce professionnel pendant le temps des séances. C’est un sujet en soi qu’il serait bon d’aborder en séance.
Pour finir, si vraiment vous n’arrivez pas à vous livrer avec cette professionnelle, vous pouvez toujours en changer vers une personne qui arriverait à vous donner entière confiance.
Je reste à votre disposition et à votre écoute.
Pour plus de détails, contactez-moi.
N'hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma pratique en consultant les avis sur ma fiche.
Christophe
_______________________________
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
Rendez-vous en ligne uniquement
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Marie,
Dans toute thérapie, un des fondements de son efficacité est l'alliance thérapeutique, c'est à dire la confiance que vous placez en votre thérapeute. Et cela peut prendre du temps. Peut-être que votre Moi Adulte se sent en confiance et a très envie d'avancer, mais que des parts enfants blessées en vous ont peur de ce que vous êtes en train de faire, et leurs mécanismes de défense se mettent alors en place. C'est un processus très inconscient.
Continuez d'en parler avec elle, même si cela doit vous prendre plusieurs séances, car si vous vous "forcez" à continuer le processus thérapeutique en ayant peur de son jugement, cela sera très inefficace pour vous.
Interrogez-la également sur ses autres outils thérapeutiques qui permettent une stabilisation en amont : EFT, IFS, DNMS, IR, thérapies psychocorporelles d'une manière générale et thérapies des états du moi sont autant de méthodes qui peuvent vous aider à libérer et sécuriser vos parts enfants.
Quelle que soit son approche, votre thérapeute doit absolument être "trauma informée" afin de respecter des protocoles doux pour votre système.
Je reste à votre écoute si vous en ressentez le besoin ou si vous avez des questions au sujet de ces méthodes.
En espérant que vous pourrez continuer votre chemin thérapeutique avec douceur et bienveillance.
Chaleureusement,
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 11 personnes
Marie,
L'ICV est une méthode psyco-corporelle brève utilisée en grande majorité pour permettre aux patients de "digérer" les émotions de traumatismes, il n'est donc pas anodin d'aller consulter un praticien spécialisé en ICV.
Elle est censée vous mettre en confiance, vous vous sentez au contraire blqouée, même si cette thérapeute essaie de son mieux de générer cette confiance.
Peut-être n'est ce pas la méthode adéquate dans votre cas et il ne faut jamais insister, trois mois me paraissent longs pour une ICV...
visiblement vous avez peur du jugement de votre thérapeute, l'alliance thérapeutique n'est pas réellement nouée dans ce cas au bout de tout ce temps et par voie de conséquent, vous livrer sur un état traumatique est abrupte, impossible.
Un psy ne juge pas, effectivement mais personne ne connait aussi votre transfert, visiblement pas positif.
Prenez l'attache avec un autre praticien et dites-vous que peut-être la méthode de l'ICV ou revivre ses cycles de vie en acceptant les émotions liées) n'est pas adaptée à votre psychisme et sa souffrance.
L'analyse est plus douce et étant spécialisée sur le traumatisme et l'état post-traumatique, peut-être puis- je vous aider en téléconsultation. Le but n'est pas de faire revivre le traumatisme, mais de le décharger de sa manne émotionnelle pour ne plus le porter comme un poids dans la tête.
Regardez mon site internet sous mon nom et prénom, vous aurez peut-être un effet écho...
Je reste à votre écoute en toute empathie et bienveillance.
Bien chaleureusement.
Bénédicte ESCARON
Praticienne en Psychothérapie
Thérapie intégrative
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour,
Pour qu'une thérapie soit profitable il faut d'une part avoir confiance en son thérapeute et d'autre part être à l'aise avec sa technique thérapeutique.
Si vous n'y arrivez pas vous pouvez essayer de changer de thérapeute ou-et de technique.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement.
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Marie
Vous souhaitez dépasser votre peur du jugement de votre psy actuel, en ajoutant plus loin que "ce n'est pas souvent le cas "? Cela veut-il dire que votre psy porte des jugements , ou que vous avez déja rencontrer d'autres psy qui portaient des jugement, ou les 2.
N'ayant pas plus d'informations je vous dirais de commencer par reprendre les jugements que vous avez sentis uns à uns, écrivez les, et vous dire "et si ce n'était pas un jugement mais une façon de me pousser à revoir le sujet, qu'est ce que ce serait".
En avez vous parlé avec ce professionnel ?
Il est nécessaire d'avoir toute confiance pour qu'une thérapie puisse avancer. Or vous vous méfiez en général (réf "ce n'est pas souvent le cas").
C'est pour cette raison que je ne vous ai pas dit d'emblée de changer. Vous allez changer régulièrement et plonger de plus en plus.
Commencez surtout par en parler. Puis vous prendrez votre décision. Mais je vous en prie évitez d'entrer en errance pour rien !
Le manque de confiance en l'autre fait sûrement partie de votre souffrance. N'est ce pas ?
Je vous souhaite que vous vous fassiez Marie !
A votre disposition pour en discuter,
----Olga SERO-GUILLAUME----
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 37 personnes
Bonjour Marie,
Même si vous faites confiance à votre thérapeute, l'ICV n'est pas forcément une approche pertinente pour traiter des souvenirs impactant. Moi même j'utilise parfois un dérivé de l'ICV mais en fin de thérapie pour réévaluer si la personne a bien intégré tout le travail de fond fait en amont.
Toutes les personnes ne sont pas sensibles à l'ICV.
A vous de voir si une autre approche plus ciblée (voir mon profil) ne serait pas plus profitable pour vous.
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Marie,
Il est normal de ressentir de la peur ou de la culpabilité lorsqu'on évoque des souvenirs douloureux ou des pensées négatives en thérapie. Cependant, il est important de se rappeler que le but de la thérapie est de vous aider à vous sentir mieux et à surmonter vos difficultés, et non de vous juger ou de vous critiquer. Il est important de communiquer clairement vos craintes à votre thérapeute et de lui faire part de vos inquiétudes. la thérapie est un processus continu et que les progrès peuvent être lents, mais que c'est normal. Il peut être utile de continuer à travailler avec votre thérapeute pour trouver des moyens de surmonter cette peur du jugement et de vous sentir plus à l'aise pour évoquer des souvenirs et poser des questions. Il est également important de prendre soin de soi en dehors des séances de thérapie en faisant des activités qui vous procurent du plaisir et en entretenant des relations positives avec les gens qui vous entourent.
Thalia Inna
Praticienne en psychologie et hypnose
Eft,PNL,emdr
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 11 personnes
Bonjour Marie,
Si vous suivez ce genre de thérapie, c'est avant tout pour résoudre un conflit psychique lié à un ou des traumatismes.
Le soutien thérapeutique des traumas nécessite des protocoles particuliers.
Je vous confirme qu'il n'est pas normal de se sentir "bloquée". D'une part, dans le contexte d'un cadre thérapeutique qui a pour principale vocation de vous offrir un espace de liberté totale et de "lâcher prise" en toute sécurité et d'autre part vis à vis de votre thérapeute avec qui vous devez entretenir une relation de confiance en toute neutralité.
C'est une fondation éthique indispensable la neutralité puisque par définition, le matériel psychique et les ressentis de votre thérapeute ne doivent en aucune manière rentrer en compte dans votre travail personnel.
N'oubliez pas que vous devez rester maître de votre démarche.
Dans votre cas, le choix de ce type de traitement interroge d'autant que vos défenses et vos résistances personnelles semblent empêcher toute progression par ce vecteur.
Un peu de recherche sur le site et ailleurs pourrait peut être vous aider à trouver le déclic pour franchir ce pas.
Je vous souhaite le meilleur dans votre quête.
Bien à vous
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Marie,
Votre peur du jugement vient de votre peur de renvoyer une mauvaise image et de la peur de ne pas être aimé puis d être rejeté.
C est la dessus qu il faut vous concentrer si vous souhaitez régler c problème.
Il s agit de ma spécialité donc n'hésitez pas si besoin.
Prenez soin de vous
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Marie,
Qui vous a jugée quand vous étiez enfant ?
Quelle personne proche de vous a été jugé-e ?
Y aurait-il eu une incarcération ? Un procès ? Une procédure judiciaire qui aurait provoqué en vous cette peur du jugement ?
Quel est le risque pour vous d'être jugée ?
Serait-ce relié à une peur d'être moins appréciée, moins aimée ou peur d'être rejetée ?
Ces peurs sont là pour vous montrer les besoins fondamentaux qui sont actuellement insatisfaits. Vous avez besoin de reconnaissance, de considération, de chaleur humaine, besoin d'amour. C'est bien cela ?
Vous avez probablement vécu des traumatismes qui ont provoqué des blessures de rejet ou d'abandon. Il vous est difficile de faire confiance parce que la blessure est encore trop active.
Peut-être que la première étape dans votre thérapie serait de traiter cette peur.
Puisque vous avez déjà pu l'évoquer avec votre psy, demandez-lui si elle peut vous accompagner en hypnose ou EMDR (Eye Movement Desensitization Reprocessing), TIPI (Technique d'identification des Peurs Inconscientes) ou NERTI (Nettoyage Émotionnel Rapide des Traumatismes Inconscients) ou toute autre méthode qui lui est familière.
Je reste à votre disposition si vous souhaitez approfondir ces questions ou être accompagnée ponctuellement pour traiter cette peur.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour
si vous êtes bloqué par cette peur et vous en avez parlez en séance sans aucun résultat je vous propose de aller consulter un autre thérapeute avec aussi un approche différente.
Le I CV c'est un bon méthode mais si vous avez du mal à évoquer certains événements ect il y a d'autres méthodes qui ne nécessite pas ça. et sont plus "flexibles "
Vous pouvez regarder mon profile pour vous faire un idée d'autre opportunités de travail et n'hésitez pas à me contacter si vous avez besoin.
26 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Marie,
Si vous avez cette peur qui persiste, alors que votre thérapeute vous rassure, je vous suggère de changer de thérapeute et d’explorer une autre thérapie. Vous me paraissez bloquée et insister serait totalement déconstructif.
N’hésitez pas à regarder mon profil et à m’écrire, je serai ravie de vous apporter une nouvelle approche.
Je reste à votre écoute avec bienveillance et empathie
Bien à vous
Marjorie Lugari
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*** psychanalyste
*** praticien en psychothérapie
*** sexothérapeute
*** aide à la Parentalité