problème que j’ai lors des interactions sociales.

Bonjour,
sincèrement il y a chez vous un manque de confiance.
Pourquoi est t' il aussi envahissant?
Je reste disponible pour vous soit en téléconsultation ,SMS, What ‘s App
ou de visu en Bretagne Nord.
Cordialement,

Bonjour,

Il y a certes la confiance en soi et l'estime de soi qui entrent ici en jeu mais cela pourrait-il également venir du fait que vous vous sentez apprécié, accepté uniquement lorsque vous êtes drôle ? Cela expliquerait pourquoi vous vous jugez si durement, car si vous n'êtes pas drôle, vous pourriez être rejeté ?
Il serait intéressant de travailler en thérapie, entres autres, sur pourquoi il y a de telles fluctuations dans votre confiance en vous, peut-être fragile et qui ouvre la porte à toutes sortes d'autocritiques.

Bien à vous,
Anthéa Bailleux
Psychologue clinicienne et du développement

Bonjour Bruno,

Ce que vous décrivez est une expérience assez commune, et il est tout à fait normal de ressentir cette fluctuation entre la confiance en soi et l'insécurité dans les interactions sociales. L'autocritique et le perfectionnisme peuvent effectivement jouer un rôle central dans ces moments où vous vous sentez mal à l'aise ou "bloqué" en société.

L'une des premières choses à reconnaître est que ces moments de jugement négatif envers vous-même sont souvent déclenchés par une peur sous-jacente de ne pas être à la hauteur ou d'être perçu de manière négative par les autres. Cette peur peut vous pousser à vous juger sévèrement, ce qui, en retour, peut amplifier le malaise et créer un cercle vicieux.

Voici quelques suggestions pour vous aider à naviguer ces moments difficiles et à renforcer votre estime de vous-même :

D'abord, il peut être utile de pratiquer la pleine conscience. Être présent dans l'instant peut vous aider à réduire les pensées critiques et à rester concentré sur l'interaction plutôt que sur vos propres jugements. Par exemple, lorsque vous sentez que vous commencez à vous juger, prenez une pause mentale et concentrez-vous sur votre respiration, sur ce que la personne en face de vous est en train de dire, ou même sur l'environnement autour de vous. Cela peut vous aider à rester ancré dans le moment présent et à réduire l'impact de ces pensées négatives.

Ensuite, essayez de vous rappeler que l'interaction sociale n'a pas besoin d'être parfaite. Le perfectionnisme peut vous amener à croire que vous devez toujours être au top, mais personne n'est parfait en toutes circonstances. Les interactions sociales sont par nature imparfaites, et c'est tout à fait normal. Il peut être utile de vous rappeler que les autres sont aussi susceptibles de ressentir de l'insécurité, même s'ils ne le montrent pas.

Il peut aussi être utile de travailler sur l'acceptation de soi. Lorsque vous commencez à vous juger négativement, essayez de prendre un moment pour reconnaître ces pensées sans y adhérer pleinement. Par exemple, si vous vous dites "Ma blague était nulle", vous pouvez simplement noter cette pensée, sans la laisser définir votre valeur. Dites-vous que tout le monde fait parfois des blagues qui ne marchent pas, et que cela ne fait pas de vous quelqu'un de moins intéressant ou valable.

Enfin, il peut être utile de pratiquer l'autocompassion. Parfois, la meilleure chose que vous puissiez faire est de vous montrer la même gentillesse et la même compréhension que vous accorderiez à un ami proche qui traverse une période difficile. Se rappeler que vous méritez de la bienveillance, même dans les moments où vous vous sentez mal à l'aise, peut vous aider à réduire l'intensité de ces sentiments négatifs.

Votre désir de travailler sur ces aspects de vous-même est déjà un pas important vers une plus grande confiance en vous et une meilleure estime de soi. Avec le temps et la pratique, vous pouvez apprendre à naviguer ces moments avec plus de douceur et d'acceptation.

Je vous souhaite de trouver l'apaisement et la confiance que vous recherchez. Vous méritez de vous sentir bien dans vos interactions, et je crois que vous avez en vous les ressources pour y parvenir.

Stéphanie Laurent

Bonjour Bruno et merci pour votre partage.
Vous manquez d'estime et de confiance en vous et cela vous conduit à de grandes souffrances. Mais je pense que bâtir cette confiance prend du temps et nécessite un vrai travail sur soi, de préférence avec un thérapeute.
Je vous encourage vivement à engager ce travail. Belle continuation.
Bien cordialement
Suzanne Bruyelles

Bonjour Bruno,

Merci pour votre message et pour la sincérité avec laquelle vous avez décrit votre expérience. Ce que vous vivez est en effet complexe, et il est compréhensible que cela puisse générer beaucoup de frustration et d'inconfort. Vos difficultés à maintenir une confiance en vous stable dans les interactions sociales, et le passage soudain de la confiance à l’insécurité, sont des phénomènes qui peuvent être liés à plusieurs aspects psychologiques, notamment l'estime de soi, le perfectionnisme et l’auto-jugement.

D'un point de vue psychologique et en lien avec les théories jungiennes, ce que vous décrivez pourrait être interprété comme une lutte entre différentes parties de vous-même. Jung parlait du concept de "persona", qui est le masque social que nous portons pour nous adapter à la société et aux attentes des autres. La "persona" est essentielle, mais lorsqu'elle devient trop rigide ou lorsque nous nous identifions trop à elle, nous pouvons nous sentir déconnectés de notre moi authentique, ce qui peut créer un sentiment d'insécurité ou d’inadéquation.

Lorsque vous vous sentez confiant et à l’aise dans une interaction sociale, vous êtes en phase avec une partie de vous-même qui est joyeuse et spontanée, mais dès que vous commencez à vous juger, une autre partie de vous émerge, peut-être liée à des peurs ou des insécurités plus profondes. Cette oscillation entre ces états pourrait être vue comme un conflit entre votre "persona" et des aspects plus ombrés de votre psyché, que vous n’avez peut-être pas encore pleinement intégrés.

L’une des clés pour sortir de cet état pourrait être d’apprendre à reconnaître et à accepter ces différentes parties de vous-même, sans jugement. Vous avez déjà conscience que vous avez besoin de vous donner de l’amour et de vous accepter dans ces moments-là, mais il peut être difficile de le faire dans le feu de l’action. Un premier pas pourrait être de travailler sur l’auto-compassion et d’explorer ce qui déclenche cette auto-critique si sévère. Pourquoi ces pensées émergent-elles ? Quelle part de vous-même essaie de se protéger en agissant ainsi ?

La pratique de la pleine conscience peut également être bénéfique. Elle vous aiderait à rester ancré dans le présent sans vous laisser submerger par le flot de pensées négatives. Au lieu de chercher à tout prix à être parfait ou à éviter toute erreur, il peut être libérateur d’accepter que l’imperfection fait partie de l’expérience humaine, et que chaque interaction sociale, même si elle ne se passe pas parfaitement, est une opportunité de croissance.

Enfin, il pourrait être intéressant de travailler sur ces thèmes dans un cadre thérapeutique, pour explorer plus en profondeur les racines de votre perfectionnisme et de votre auto-critique. Comprendre ces mécanismes pourrait vous permettre de les transformer et de retrouver une stabilité dans votre confiance en vous.

Je vous propose une première séance de prise de contact gratuite, où nous pourrions explorer plus en détail ces enjeux et voir comment je pourrais vous accompagner dans ce cheminement vers une meilleure estime de soi et une plus grande sérénité dans vos relations sociales.

Bien à vous,
Juliana Kraiem

Bonjour Bruno,
Ce que vous décrivez reflète une fausse confiance. Il ressort un schéma d'exigences combiné à un schéma d'imperfection (entre autres)...

Tout cela peut se traiter en thérapie.
Maintenant y êtes vous prêt ? Car il n'y a pas d'astuces à vous et donner, juste un travail sur soi !

Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique

Bonjour Bruno

Merci pour votre témoignage et votre confiance.

L'éducation que vous avez reçu a certainement été axée sur des attentes irréalistes, que se soit dans les études, activités sportives ou dans vos comportements sociaux.

Vous avez peut-être reçu des critiques constantes et incessantes qui pointaient du doigt vos petites imperfections, ce qui a pu vous donner le sentiment de n'être jamais à la hauteur et de devoir viser la perfection.

Aujourd'hui c'est vous qui prenez le relais en vous infligeant ces critiques qui abîment considérablement votre estime et votre confiance en vous. et vous place en premier plan, avec un fort besoin de validation extérieure.

Vous devez prendre conscience et comprendre que tout ceci vous a amené à développer une relation à l'autre qui n'est pas équilibrée et qui est égocentrée. Lorsque vous avez l'impression d'avoir dit quelque chose de génânt ou que votre blague était nulle, pensez plutôt à vous ouvrir aux autres, en vous concentrant sur ce que les autres disent et non pas sur l'impression que vous donnez.

Je vous encourage à pratiquer l'empathie pour vous décentrer et mieux comprendre les autres, cela rendra vos interactions plus authentiques et moins axées sur vous même.

Je peux vous aider à améliorer progressivement votre confiance vous en modérant votre perfectionnisme, à mieux gérer vos interactions sociales, tout en développant une vision plus équilibrée et moins égocentrique..

Je reste à votre disposition et à votre écoute si vous le souhaitez.

Bien à vous

Samah Labidi
Psychopraticienne
Thérapie individuelle et du couple

Bonjour Bruno,

Vous constatez des changements de votre état émotionnel lors d'interactions sociales, de grande confiance à doute complet et cela vous trouble. Et c'est bien compréhensible. Votre observation révèle votre capacité à ressentir ce qui ce passe en vous.

De ces changements soudains, j'en déduis que votre Inconscient a perçu une information dans votre environnement du moment et cette information vous déstabilise à votre insu conscient : c'est la particularité des émotions.
Cela pour vous dire qu'il n'y a pas d'effet sans cause.
Et, double peine, ce doute provoque un blocage à poursuivre l'échange social tout en développant une auto-critique totale.

La bonne nouvelle est que c'est possible de trouver ce qui est perçu par votre Inconscient provoquant votre déstabilisation émotionnelle et surtout de résilier cette cause et ses conséquences. Je vous encourage à faire la démarche dans ce sens avec un accompagnement orienté sur les ressentis émotionnels : fils d'Ariane des mémoires inconscientes.

Je vous remercie pour votre attention. Très sincèrement, Thérèse Badonnel Ferry - Relation d'aide et psycho-énergétique - Spécialisée dans le dialogue avec les parts limitantes, bloquantes.

Bonjour Bruno,

Vous êtes visiblement trop tourné vers vous même et les soucis de plaire et de faire bonne impression : ceci vous amène à jouer des rôles…, ce qui fatigue.

Il est possible que cela soit lié à ce que vous avez vécu en famille et aux commentaires critiques que l’on vous faisait et qui vous ont conditionné.

Vous vivez donc sous le regard des autres, sans avoir acquis une confiance en vous stable.

Il serait bon pour vous de vous rendre conscient que vous n’êtes pas le centre du monde et que les gens n’attendent pas que vous soyez brillant…, mais plutôt attentif à eux et authentique dans vos échanges.
Donnez un peu d’amour aux autres vous aidera à sortir de cet enfermement sur vous même.

Une thérapie vous est probablement nécessaire pour changer ce mode de fonctionnement qui vous épuise.

Je vous souhaite de dépasser le besoin de perfection en toute circonstance, en vous ouvrant à la bienveillance vis à vis de vous même et des autres.
sp

Bonjour Bruno,

Comme mes confrères ont pu vous l'indiquer, il s'agit d'un profond manque de confiance en vous, de ce fait vous cherchez à avoir l'aval des autres, c'est pour ça que vous n'êtes pas vous même lorsque vous êtes entouré. Vos pensées paralysantes - si je reprends vos dires - lorsque vous avez la sensation que vos blagues ne sont pas drôles. Cela est dû à de fausses croyances, qui a entraîné un schéma de pensée.

Je ne peux que vous conseiller la thérapie afin de vous débarasser de ses fausses croyances, poser à plat votre schéma de pensée (pour cela nous pouvons utiliser les colonnes de Beck) afin que vous puissiez vous sentir enfin vous-même et que vous puissiez enfin avoir confiance en vous.

N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez échanger.

Bien à vous.

Rachel Caudron
Psychopraticienne, spécialisée en Thérapies Comportementales et Cognitives.

Bonjour Bruno,

Vous ressentez un conflit intérieur entre une partie de vous que l'on pourrait qualifiée de joyeuse et spontanée, orientée vers les autres, et une partie de vous anxieuse qui craint de décevoir, d'être mal jugée, de ne pas faire ce que les autres sont en droit d'attendre d'elle. Ce conflit vous prend beaucoup d'énergie et vous ne semblez pas parvenir à trouver une forme d'apaisement.

Vous utilisez, dans votre message, le terme "scolaire". Il serait intéressant de savoir ce à quoi ce mot vous renvoie. Pour ma part, il me vient, en vous lisant les mots : "bon élève". C'est à dire, celui qui fait exactement ce que l'on attend de lui et qui reçoit une valorisation en échange. Le bon élève c'est aussi celui qui fait bien ses devoirs.
Avez-vous reçu une éducation en ce sens ? "Si tu travailles bien, je suis content(e) et je te donne de la valorisation".

La partie jugeante qui vous fait perdre confiance serait, dans ce cas, les résidus émotionnels de votre vécu d'enfance.
Prenez conscience, de cela et peu à peu vous parviendrez à vous en libérer. Vous n'êtes plus à l'école et vous avez le droit de décevoir et de ne pas convenir parfaitement à votre entourage. Ceci n'enlève rien à votre valeur.
Si vous n'y parvenez pas, un travail sur quelques séances, avec un psychopraticien devrait vous permettre d'y parvenir.

Je reste à votre écoute,
Bien à vous,
Philippe MATHIAS

Bonjour Bruno,

Je comprends votre problème, et les difficultés que vous rencontrez.

La perfection est un piège, et vous en avez conscience, même si , à certains moments plus qu'à d'autres, vous ne parvenez pas encore à vous en défaire.

Vous êtes au bon endroit, et avez raison de vouloir vous faire aider.


Nul ne naît avec ce sentiment ou fonctionnement.
Cela vient d'un modèle parental ou d'une figure parentale, qui était là dans l'enfance, et/ ou l'adolescence , et qui vous a transmis cette exigence de perfection comme l'unique façon de se sentir fier de soi, digne d'être une bonne personne...

Sachez aussi que la ou les personnes qui vous ont transmis cela ont pensé bien faire, et que pour cette raison, on ne peut pas leur en vouloir.
Souvent ces personnes ont reçu la même chose, qu'elles ont cru bon de transmettre à leur tour.

Il me semble important, de revisiter ce passé avec un thérapeute pour regarder votre vécu depuis ce passé, et voir par quel mécanisme cela opère encore au présent ( émotions, sensations, pensées,...)

Il y a un dicton qui dit :" la perfection est l'ennemi du bien". Et j'ajouterais :" la perfection n'est pas une qualité humaine, contrairement à l'excellence". L'excellence comme le bonheur , n'est pas constant, et concerne certains moments dans la vie, dans quelques secteurs que ce soient.( Famille, amis, amour, travail, loisirs,...)

Je peux vous aider, à transformer cette exigence de perfection, en un chemin tranquille vers l'excellence. Apprendre à vous accepter avec vos failles, à vous faire découvrir les outils qui sont là, en vous, dans des ressources que vous ignorez encore et qui changeront votre perception de vous-même, et de la relation aux autres.

Bruno, je reste à votre écoute, et vous accueillerai avec joie, si vous le désirez, soit en visio, soit en présentiel ( voir mon profil).

Bien à vous.

Chaleureusement.

David

Bonjour Bruno,

Cela provient d’un manque de confiance en soi et d’estime de soi. Vous devez accepter que vous êtes humain comme tout le monde. Cela implique que parfois, nous ne sommes pas forcément la perfection dans les attitudes que nous prenons.
C’est ainsi, c’est la nature humaine.
Il est possible de travailler sur la confiance en soi et l’estime de soi. Cependant, je vous conseille également, d’être beaucoup moins égocentré et d’être plus à l’écoute des autres. Cela fera que vos interventions prendront moins d’espace dans votre esprit et ainsi vous causeront moins de désillusions.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour Bruno,
se juger, être perfectionniste sont "des modalités " que vous avez mis en place un jour dans votre passé dans l'idée de vous préserver et sont devenus " des habitudes ".

Maintenant il faut quelques séances en thérapie pour aller vous aider à déprogrammer ces croyances à la base de ces modalités, éventuellement soulager les émotions bloquées autour de quelques situations gênant du passé et vous reconnecter à qui vous êtes vraiment.

Vous pouvez en tout cas commencer à être conscient des vos pensées quand vous commencez à vous rebaisser et, à ce moment là, en introduire des nouveaux. Par exemple vous dire que c'est totalement naturel avoir de journées où on est très socials et autres bien mois, ou que on ne peut pas faire de super blagues à tout moment et c'est normal que certaines ne sont pas parfaites ect...

Si vous voulez aller voir plus en profondeur vous pouvez me contacter directement et on peut aller y travailler directement et vous libérer de cette frustration et retrouver la sérénité, la calme et la confience.

Bien à vous
Simona D'Isanto

Bonjour Bruno,

Je comprends ce que vous traversez, et c'est quelque chose de très commun, même si cela peut être très difficile à vivre. Cette fluctuation entre la confiance et l'insécurité, surtout dans les interactions sociales, peut vraiment avoir un impact sur votre bien-être et la façon de vous connecter avec les autres.

Ce que vous décrivez semble être un cycle où le jugement de soi-même, qui devient une sorte de spirale qui vous fait perdre pied. Quand vous vous sentez bien, tout coule naturellement, mais dès que l’autocritique s'installe, elle semble prendre le contrôle, rendant chaque interaction plus difficile à vivre.

Le fait que vous soyez conscient de ce processus est déjà un grand pas. Reconnaître ce schéma est essentiel pour commencer à le changer. Le perfectionnisme, que vous mentionnez, est souvent au cœur de ce type de difficultés. Il vous pousse à vouloir être parfait, à dire la chose parfaite, à faire la blague parfaite, et dès que vous sentez que ça ne réponds pas à cette attente, le jugement commence.

Il est important de comprendre que cette voix critique qui surgit en vous n’est qu’une partie de vous et non la totalité de qui vous êtes . Elle reflète peut-être des peurs anciennes ou des attentes irréalistes que vous avez pour vous-même, mais elle ne définit pas votre valeur ou votre potentiel.

Dans cet état, il peut être utile d'essayer de vous ramener au moment présent, de vous reconnecter avec ce que vous ressentez, sans vous juger. Par exemple, en vous concentrant sur votre respiration ou en observant simplement les sensations dans votre corps, vous pouvez commencer à calmer cette spirale de pensées négatives.
Rappelez vous que l’autre personne ne vous juge probablement pas aussi durement que vous-même.
Souvent, nous projetons nos propres peurs et critiques sur les autres, alors qu’en réalité, ils sont bien moins préoccupés par nos imperfections que nous ne le pensons.

Il peut être aussi utile d' être plus indulgent envers vous-même. Lorsque vous vous surprenez à vous juger, essayez de faire une pause et de vous rappelez que vous êtes humain, que vous n’avez pas besoin d’être parfait pour être aimé ou pour avoir de la valeur. Faire de son mieux et déjà suffisant!

Enfin, gardez à l'esprit que la confiance n'est pas quelque chose de fixe. Elle fluctue en fonction de nombreux facteurs : l'humeur, le niveau de stress, les personnes fréquentées, etc. C'est normal et humain d'avoir des jours où vous vous sentez moins confiant.
Avec le temps, vous pourrai peut-être constater que ces moments d’insécurité diminuent, simplement parce que vous aurai permis de les accueillir sans vous juger.

Si vous éprouvez le besoin , d'être aider ou encourager dans ce processus ,vous pouvez consulter un professionnel qui ,vous accompagnera dans votre parcours!

Je vous souhaites épanouissement et bonheur,

Bonjour,

Pour les "astuces", je suis sûre que vous avez déjà testé ou reçu des conseils. Mais de mon côté, je ne peux que vous encourager à faire un travail profond et libérateur sur vous pour soulager le perfectionnisme (Idéal du Moi tyrannique) et l'estime de soi (relation douloureuse aux figures parentales précoces). En effet, lors du transfert en séance de psychothérapie analytique, vous pourrez projeter sur votre psy toutes vos émotions et pensées problématiques et souvent refoulées. Vous pourrez endosser le costume de celui qui croit en lui durant la séance, avant de ressentir profondément, quelques mois plus tard, cette foi en vous même que vous pourrez ensuite transposer dans la réalité de vos relations.

Bien à vous, Anne Fierry Vérité, psychologue analytique.