Angoisse au coucher

Bonjour Ariane,
Merci pour votre message.
Je comprends que cette angoisse du coucher qui s'est installée dans votre vie soit très handicapante pour vous et vous empêche de vivre pleinement votre vie.
Un accompagnement psycho-corporel et émotionnel pourrait peut-être vous aider à faire disparaitre petit à petit ce problème de votre quotidien.
Un protocole de Sophrologie pourrait être très approprié ou bien la technique EFT (Technique énergétique de libération des émotions).
Je reste à votre écoute pour un premier échange gratuit par téléphone si vous le souhaitez.
Bien à vous.
Charlotte Soyez

Bonjour,

Je comprends que ces angoisses au moment du coucher soient une source de grande difficulté pour vous. Il est encourageant de voir que vous avez déjà entrepris diverses démarches pour y faire face, mais je comprends également votre frustration face au manque de résultats durables.

Il semble que vous ayez déjà exploré plusieurs approches thérapeutiques sans succès durable. Cependant, comme vous l'avez mentionné, il pourrait être pertinent d'explorer des méthodes qui pourraient aider à identifier et à travailler sur d'éventuels traumatismes passés. La psychothérapie, en particulier une approche plus profonde comme la psychanalyse, pourrait être envisagée pour explorer ces aspects de manière plus approfondie.

Par ailleurs, vous avez noté que la méditation intensive semble diminuer quelque peu votre angoisse. Cela suggère qu'une pratique régulière de techniques de relaxation et de gestion du stress pourrait être bénéfique pour vous aider à faire face à ces moments d'angoisse au coucher. Des exercices de respiration, de visualisation ou de relaxation musculaire pourraient être utiles.

Il est également important de vous rappeler que vous n'êtes pas seule dans cette lutte et qu'il est tout à fait légitime de chercher de l'aide. N'hésitez pas à vous entourer de soutien, que ce soit des amis, de la famille ou des professionnels de la santé mentale, pour vous accompagner dans ce processus.

Je vous encourage à rester ouverte à de nouvelles approches et à continuer à rechercher des solutions qui vous conviennent. Vous méritez de trouver un soulagement à ces angoisses et de retrouver des nuits de sommeil paisibles.

Prenez soin de vous, et n'hésitez pas à me contacter si vous avez besoin de plus d'informations.

Bien à vous,

Bonjour Audrey,

Merci de vous confier ici.

Il semble que vous ayez déjà parcouru un long chemin dans votre quête de soulagement de vos angoisses nocturnes.

Il est compréhensible que vous ressentiez de la frustration face à cette situation persistante. Vous avez mentionné que vous avez le sentiment qu'il pourrait y avoir un événement passé non résolu qui est à l'origine de vos angoisses nocturnes. Si cela résonne en vous, explorer cette piste pourrait être une démarche valable.

Bien que vous ayez mentionné que les thérapies effectuées n'ont pas toujours été efficace pour vous dans le passé, il est possible qu'une approche différente ou avec un praticien différent puisse apporter de nouveaux résultats.

Quelle que soit l'approche que vous choisissez, il est essentiel de trouver un thérapeute en qui vous avez confiance et avec qui vous vous sentez à l'aise pour explorer ces questions profondes. Continuez à rechercher des solutions et n'hésitez pas à demander de l'aide lorsque vous en avez besoin. Vous méritez de trouver la paix et le soulagement que vous cherchez.

Je reste à votre disposition si vous en ressentez le besoin.

Prenez soin de vous,

Joséphine

Bonjour Audrey,
La méditation est un commencement pour apaiser au moment du coucher.
Cependant, il vous faut comprendre d'où cela provient, se replonger dans votre enfance. La psychanalyse peut vous aidez à établir les liens possibles avec votre vie actuelle et votre état d'esprit.
Peut être y a t'il un traumatisme dans l'enfance.
Je suis psychopraticienne et utilise la psychanalyse, je suis spécialisée dans le trouble stress port traumatique, TCC, aide à la parentalité.
Ma première consultation est gratuite, vous pouvez voir mon profil et mon site personnel.
Bien à vous.

Bonjour Audrey, en examinant brièvement votre histoire, il semble que vos angoisses nocturnes puissent être liées à des expériences passées non résolues. Les TOCS que vous avez mentionnés depuis votre enfance, ainsi que les malaises vagaux par le stress, pourraient indiquer une anxiété sous-jacente profondément enracinée.

Il est possible que ces sentiments d'angoisse soient liés à des événements ou des traumatismes passés, peut-être même à des expériences précoces de séparation ou de perte. En psychanalyse, nous explorons souvent les connexions entre ces expériences passées et les symptômes présents.

Votre sentiment que quelque chose de non identifié s'est produit dans votre passé est très significatif. Les souvenirs refoulés ou les expériences non résolues peuvent continuer à exercer une influence sur notre psyché, même si nous ne sommes pas conscients de leur existence.

Une démarche psychanalytique pourrait vous aider à explorer ces aspects de votre histoire, en cherchant à comprendre les racines profondes de vos angoisses nocturnes. Ensemble, nous pourrions travailler à démêler les fils du passé pour éclairer les difficultés que vous rencontrez aujourd'hui.

Bien sûr, une telle exploration demande du temps et de la patience. Cependant, en prenant ce chemin, vous pourriez découvrir des éléments de votre histoire personnelle qui pourraient expliquer vos symptômes actuels, ouvrant ainsi la voie à un soulagement plus durable.

Je reste disponible pour vous accompagner en psychothérapie analytique, en sophrologie et en art-thérapie afin de vous fournir également des outils de relaxation, de gestion du stress et d'expression créative. Le premier entretien est gratuit et nous permettra de recueillir les informations nécessaires pour adapter au mieux le suivi à vos besoins spécifiques.

Bien à vous,

Aurore Gautier
Psychopraticienne analyste § Sexologue clinicienne
Sophrologue § Musicothérapeute diplômée
(séance en visio et/ou cabinet)

Bonjour et d’abord bravo pour tout le travail personnel que vous avez entrepris pour trouver des solutions à vos angoisses au moment de l’endormissement.

Sachez déjà que toutes les méthodes citées sont bien utiles dans votre situation et vous ont permis d’avancer vers votre guérison, même si vous n’en percevez pas encore le résultat final.

Cependant, si vous n’avez pas réussi à faire disparaître définitivement ses angoisses, c’est probablement parce que vous n’étiez pas encore tout à fait prête. Peut-être que votre inconscient vous empêche aujourd’hui de découvrir quel évènement aurait pu vous marquer à ce point pour vous « protéger ».

C’est exactement la raison pour laquelle le travail en psychanalyse est très long : il faut que votre inconscient accepte de faire remonter à la surface ce qu’il a tenté de cacher pendant si longtemps. et pour cela, la confiance en votre cheminement, en la méthode utilisée et en votre thérapeute sont essentielles !

Peut-être qu’une approche en art thérapie ou thérapie corporelle vous aiderait à avancer car ces méthodes mobilisent d’autres aspects de notre être qui s’expriment plus facilement que la parole.

Je vous souhaite sincèrement de trouver la voie qui vous permettra de vous débarrasser de ses angoisses, très handicapantes. Soyez à l’écoute de vos envies, pour vous tourner vers la méthode thérapeutique qui vous parlera le plus ! C’est vous qui savez, toutes les clés sont en vous !

Anaïs | Psychopraticienne | Consultations en visioconférence et tarif libre (à partir de 20€/ séance, le patient décide)

Bonjour,

D’après ce que vous dites, vous faites preuve de beaucoup de proactivité et de résilience face à l’angoisse nocturne qui vous touche. Le fait que cela persiste même après avoir essayé différentes approches et techniques thérapeutiques ne fait que démontrer la complexité de ce problème. Si la méditation fonctionne bien pour vous, n’hésitez pas à maintenir cette pratique constante.

Néanmoins, même si votre déception face aux différentes méthodes thérapeutiques que vous avez essayées est compréhensible, surmonter cette angoisse nocturne sera difficilement concevable sans une psychothérapie qui complète les autres stratégies que vous appliquez déjà comme le sport et la méditation. La psychothérapie est la principale voie professionnelle et spécialisée à suivre pour vous aider à combattre cette angoisse nocturne. L'accompagnement vous permettra d’en comprendre les causes, afin que vous puissiez apprendre à gérer vos dilemmes et vos préoccupations de manière plus saine et être capable de créer des stratégies d’adaptation efficaces.

Le processus peut prendre du temps, mais vous pouvez vous en sortir. A vous de choisir le ou la professionnelle que vous estimez adéquat/e pour entamer ce travail.

Je reste à disposition, bien à vous,

Nilton Mascarenhas,
Praticien en Hypnose Ericksonienne et Thérapies Brèves.

Tout d'abord, je vous félicite pour votre engagement continu et votre approche proactive dans le traitement de vos angoisses au coucher. Il est clair que vous avez consacré des efforts considérables à la gestion de ces problèmes. Votre expérience des TOC et des symptômes vagaux, associée à vos antécédents d'anxiété, suggère l'existence de déclencheurs émotionnels profondément ancrés. Ces déclencheurs pourraient provenir d'expériences vécues dans la petite enfance ou de comportements acquis, peut-être de la dynamique familiale ou de l'anxiété observée chez les parents. Il est également possible que des peurs transgénérationnelles se manifestent dans votre vie sous forme de phobies ou d'angoisses.

La persistance de votre anxiété en dépit de diverses thérapies indique que si la méditation apporte un soulagement temporaire, elle ne fait peut-être que masquer des problèmes plus profonds. Ces schémas enracinés peuvent être comparés aux couches d'un oignon, nécessitant un travail continu car les changements de la vie (vous démarrez actuellement une nouvelle entreprise) peuvent réactiver des traumatismes sous-jacents.

Dans ce contexte, je recommande une approche combinant la psychanalyse et la thérapie cognitivo-comportementale. La psychanalyse nous permettra d'explorer et de comprendre les causes profondes de vos angoisses, potentiellement liées à des schémas familiaux et à des expériences passées, tandis que la TCC pourra vous proposer des stratégies pratiques pour gérer et atténuer les symptômes au quotidien.

Si vous êtes ouvert à cette idée, je vous propose une première consultation gratuite au cours de laquelle nous pourrons élaborer une stratégie pour traiter ces couches de manière globale, dans le but de vous apporter un soulagement durable et une nuit de sommeil paisible.

Lorena Salthu
Conseils téléphoniques personnalisés. Urgences pendant le weekend
Psychopraticien -Coach de vie-Psyconeuroimmunologist -Psychanalyste
Séances en ligne ou en présentiel.
Français, English et Español

Bonjour Audrey,

Merci pour votre message détaillé et pour partager ouvertement vos expériences et défis. Vous avez déjà parcouru un long chemin dans la gestion de vos angoisses nocturnes et de vos TOCS, et il est clair que vous êtes très engagée dans votre processus de guérison. Cependant, je comprends que malgré vos efforts, les angoisses persistent, notamment au moment du coucher.

Au vu de votre historique et des approches multiples que vous avez déjà tentées, je pense que la combinaison de la thérapie systémique stratégique et de la thérapie comportementale et cognitive (TCC) pourrait être particulièrement bénéfique dans votre cas.
Thérapie systémique stratégique : Cette forme de thérapie pourrait vous aider à explorer et à modifier les dynamiques relationnelles et les schémas comportementaux qui pourraient influencer vos angoisses nocturnes. L'angoisse peut parfois être liée à des schémas plus larges dans nos interactions ou nos relations qui ne sont pas immédiatement apparents. Un thérapeute formé à cette approche pourrait vous aider à identifier et à déconstruire ces schémas pour réduire l'impact de l'angoisse.
Thérapie comportementale et cognitive (TCC) : La TCC, que vous avez déjà expérimentée, peut être revisitée avec un nouveau cadre ou de nouvelles techniques. Cette approche peut être très efficace pour traiter les angoisses en vous aidant à comprendre et à modifier les pensées négatives qui déclenchent l'anxiété au moment du coucher. Elle peut également vous fournir des stratégies spécifiques pour gérer le stress et l'angoisse au moment où elles surviennent.

Il semble que vous ayez une forte intuition que quelque chose dans votre passé pourrait être à l'origine de vos angoisses. Une exploration plus ciblée dans ce domaine, peut-être avec une nouvelle perspective ou un nouveau thérapeute spécialisé dans les traumas, pourrait vous aider à dénouer et comprendre ces racines potentielles.

Enfin, je vous encourage à envisager un suivi continu plutôt qu'épisodique avec votre thérapeute. Il est souvent nécessaire d'avoir un soutien régulier pour faire face aux angoisses, surtout lorsqu'elles sont aussi ancrées et qu'elles présentent une résistance aux traitements antérieurs. La méditation vous a aidée, ce qui est excellent; continuer à l'intégrer dans votre routine pourrait également soutenir le travail thérapeutique.

Merci encore de votre confiance. Sachez que vous n'êtes pas seule, et avec les approches appropriées et le soutien adéquat, il est tout à fait possible de surmonter ces angoisses et de retrouver une tranquillité nocturne.

Frédérique Korzin

Bonjour Audrey,

Votre témoignage est touchant, en effet.
Je rejoins l'avis de Christophe Niveaux au sujet du mécanisme en jeu, et qui oriente plutôt vers une hypothèse diagnostique de trouble anxieux (dont font partie les TOCs), et non "d'angoisse" à proprement parler.
Par ailleurs, si vous n'avez rien trouvé après avoir déjà exploré votre enfance avec "différents thérapeutes", je ne crois pas qu'un Nième thérapeute vous permettrait "faire surgir la cause" de cette anxiété, car il n'y a probablement pas 1 seule cause mais un ensemble de facteurs combinés, à l'origine de votre anxiété (Parents anxieux ? ou exigeants et perfectionnistes ? dépressifs ? instables émotionnellement ? Plusieurs deuils ou maladies graves dans la famille pendant l'enfance ? Discours négatif et anxieux sur la vie ? etc.).
Il faut savoir qu'en thérapie (notamment en hypnose) il existe ce qu'on appelle des "faux souvenirs" : ils ne se sont jamais passés en réalité mais sont issus des fantasmes et des peurs du thérapisant. A vouloir chercher un souvenir déclencheur vous prenez le risque du faux souvenir.
Par contre, vous pouvez chercher d'une part du côté des constellations familiales pour voir si ces symptômes vous appartiennent vraiment où s'ils sont la répétition d'une loyauté inconsciente.
D'autre part, avec les critères que j'ai évoqué plus haut à propos de votre enfance, si vous en remplissez certains vous pouvez faire le travail pour comprendre comment l'anxiété a été VOTRE SOLUTION pendant l'Enfance (la peur protège), mais qu'aujourd'hui elle ne correspond plus à votre situation d'adulte et devient invalidante. Il s'agit alors de faire votre "mise à jour" en apprenant à reprogrammer vos pensées et vos comportements (restructuration cognitive) par une Thérapie Cognitive et Comportementale combinée à des outils de Pleine Présence (méditation, sophrologie, cohérence cardiaque).
Je suis à disposition en présentiel ou en distanciel si ce programme vous intéresse.

Bien à vous,

Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, thérapie systémique, TCCs, sophrologie, cohérence cardiaque

Bonjour Audrey,
Bravo pour votre courage dans votre parcours thérapeutique. Vous avez déjà beaucoup travaillé sur vous. Quand un symptôme résiste à des années de thérapie, la piste transgénérationnelle est intéressante à explorer. Un secret de famille peut se transmettre inconsciemment entre génération (jusqu'à 4 génération parfois) et vous pourrir la vie car vous portez quelque chose qui ne vous appartient pas. Il pourrait être intéressant pour vous de faire l'exercice de dessin de votre arbre généalogique avec un professionnel formé pour détecter une éventuel problématique chez l'un de vos ancêtres. Si vous souhaitez des renseignements et d'éventuels contacts sur le sujet selon votre lieu de résidence, n'hésitez pas à me contacter.
Frédéric DUQUEROIS
Psychopraticien en Analyse Transactionnelle
Adultes et Couples, en Individuel et en Groupe
Nantes

Bonjour Audrey,

Il est malheureusement assez simple de comprendre pourquoi ces angoisses viennent vous perturber le soir. C’est en effet le moment où tout s’apaise… sauf le cerveau qui lui, étant moins stimulé par l’extérieur, va alors se concentrer sur le corps (vos envies d’uriner, peut-être aussi des démangeaisons, etc.), et sur des pensées parasites en refaisant l’histoire du passé récent bien souvent.
L’idéal serait de réussir à occuper votre esprit, sans pour autant vous empêcher de dormir. Il existe certaines techniques simples comme compter à rebours qui pourraient vous être utiles.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour Audrey et merci pour votre témoignage.

En lisant vos mots, je perçois une grande résilience et une force de vie qui me touchent sincèrement.
Votre engagement dans différentes thérapies témoigne d'une volonté remarquable de surmonter les angoisses qui vous assaillent chaque soir.

Pour l'instant, l'angoisse et l'inconfort qu'elle provoque sont paradoxalement vos alliés. Ils vous ont protégée jusqu'à présent. Il est probable qu'un traumatisme sous-tend ces épisodes, que vous revivez avec la même intensité chaque soir.

L'objectif n'est pas tant de comprendre ce qui s'est passé que d'apprivoiser cette angoisse. Durant un traumatisme, le cerveau se coupe pour éviter des dommages irréversibles, et l'angoisse agit comme une protection nécessaire.
Ainsi, il est important d'entamer progressivement un processus qui vise à indiquer que vous n'êtes plus en danger aujourd'hui. Ce travail est long et graduel et vise à réduire l'intensité de vos angoisses.

Il semble que vous ayez déjà parcouru un long chemin, comme en témoigne le fait que vous vous endormez un peu plus rapidement. Je vous encourage à exprimer chaque soir à "la petite Candice" que vous n'êtes plus en danger aujourd'hui.

Bien que cela ne soit probablement pas une solution miraculeuse, cela a l'avantage de signifier à une partie de vous que la situation passée n'a plus cours.

Un accompagnement thérapeutique soutenant vous soutiendra étape par étape dans l'exploration de vos angoisses, contribuant ainsi à les apaiser.

Je reste à votre disposition et vous souhaite bon courage.
Très sincèrement,
Olivier

Bonjour Audrey,

Oui il y a sûrement un déclencheur à cette angoisse du soir que vous n'avez pas encore identifié.
Bravo pour le chemin thérapeutique déjà parcouru et vous aimeriez la baguette magique pour être définitivement tranquille...
Existe-t-elle ?

Vous êtes allé voir les vies antérieures, mais vous n'évoquez pas le transgénérationnel.
Je vous invite à lire Bruno Clavier "les fantômes familiaux". Un ouvrage dans lequel il parle de tous ces symptômes inexpliqués qui s'envolent dès qu'un secret de famille est conscientisé. Un autre ouvrage qu'il écrit ensuite "l'inceste ne fait pas de bruit".

Peut-être avez-vous été victime et vous n'avez pas de souvenir. Peut-être d'autres personnes de votre famille et cela n'a pas été dit.

Je reste à votre disposition si vous souhaitez approfondir ces questions.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute

J’ai envie en vous lisant de vous dire « bonjour l’angoisse » même si cette dernière a tendance à se manifester plutôt le soir car elle est intense et profonde.
Cette angoisse qui se « réveille » le soir au moment du coucher est aussi là en sourdine pendant la journée même si vous ne la ressentez pas ou moins mais elle est bien présente en vous.
Les troubles comme les TOC ou les phobies fonctionnent comme des mécanismes de défense pour justement diminuer l’intensité de l’angoisse.
On dit de l’angoisse que c’est « une peur qui ne dit pas son nom » car elle est sans objet, du moins en apparence.
Vous aimeriez retrouver la cause originelle de cette angoisse pour la faire cesser mais il n’y a pas forcément une seule raison que vous auriez refoulée pouvant expliquer cette angoisse, il peut y avoir en effet plusieurs raisons à l’origine de cette angoisse, comme par exemples des conflits inconscients non résolus tout comme il peut y avoir plusieurs explications à l’avènement de cette angoisse au coucher.

Pour notre cerveau reptilien, se coucher c’est toujours se mettre en danger, abaisser sa garde. Se coucher c’est aussi lâcher prise, s’abandonner, prendre le risque d’être vulnérable mais ne pas vouloir se coucher cela peut être aussi ne pas vouloir respecter des règle de vie, des horaires , cela peut signifier vouloir être libre (comme un entrepreneur ?), enfin et la liste n’est pas exhaustive le coucher peut renvoyer inconsciemment à l’idée de mourir ou de ne pas se réveiller.

Vous avez expérimenté de nombreuses approches qui n’ont fait que soulager votre angoisse mais vous ne mentionnez pas la psychanalyse ou la psychothérapie analytique, or depuis Freud l’angoisse occupe une place centrale dans la recherche psychanalytique.

Vous n’avez pas envie de passer des années en thérapie et trouver une explication qui ferait disparaître rapidement cette angoisse et c’est bien légitime, pourtant je pense que vous gagneriez en qualité de vie en explorant en profondeur votre monde intérieur.

Contrairement à l’image que l’on peut en avoir une analyse ne dure pas forcément une éternité et n’est pas qu’une démarche purement intellectuelle.

La psychanalyse est une approche thérapeutique profonde et puissante qui offre de nombreux bénéfices aux personnes qui font le choix de cette approche

Une compréhension en profondeur :

La psychanalyse permet d’explorer les conflits psychiques inconscients. Elle aide les patients à comprendre les mécanismes cachés qui influencent leurs comportements, leurs émotions et leurs relations.
En identifiant ces conflits, les patients peuvent mettre fin à des souffrances persistantes et à des blocages qui entravent leur vie.

Un traitement des causes primaires :

Contrairement à d’autres approches, la psychanalyse ne se contente pas de supprimer les symptômes. Elle s’attaque aux racines des problèmes.
En travaillant sur les causes profondes, elle évite la réapparition des symptômes à long terme.

Une libération du Mal-Être :

La psychanalyse ne se limite pas aux personnes en souffrance manifeste. Elle s’adresse à tous ceux qui cherchent à dénouer leurs conflits intérieurs et qui sont en quête de sens.
Elle libère les patients d’un mal-être lancinant, de mécanismes de répétition et d’instabilité affective.

Une autonomie et une transformation :

Le psychanalyste n’éduque pas, ne conseille pas, ni ne convainc. Son but est de rendre au sujet ses propres capacités de penser et d’agir.

Une amélioration des relations :

En comprenant mieux leurs motivations profondes, les patients peuvent développer des relations plus saines avec eux-mêmes et avec autrui.
La psychanalyse favorise l’épanouissement personnel et la compréhension des dynamiques relationnelles.

Un changement durable :

Une analyse est terminée lorsque le patient ne souffre plus de ses symptômes et a surmonté ses angoisses et inhibitions.
Elle permet d’agir différemment, de sortir des schémas répétitifs et de vivre une vie plus épanouissante.

En somme, la psychanalyse offre un voyage intérieur vers la connaissance de soi, la transformation et la libération des entraves psychiques.

Je pratique pour ma part une psychanalyse active et intégrative.
N’hésitez pas à visiter mon profil sur ce site.

Je consulte à Lyon en présentiel mais aussi à distance.
Je reste à votre écoute.

Jean-Frédéric BLANCHARD
Psychanalyste, psychosomaticien.

Bonjour Audrey,

Il est possible que, au delà de quelque chose de vécu qui ne se débloque pas et d’un certain héritage familial d’anxiété vous ayez un déficit de production de sérotonine.
Des antidépresseurs spécifiques peuvent vous aider à réduire votre anxiété et à mieux dormir, ainsi qu’à diminuer vos TOCs.

Il y a beaucoup de gens qui vivent bien avec des AD… il ne faut se priver de toute solution qui pourrait améliorer votre vie.

Il serait bon pour vous de faire aussi des exercices de relation : j’imagine que vous en connaissez.

Une question : avez vous fait une thérapie suffisamment longue pour pouvoir installer en vous un bien être durable ?

Je vous souhaite de trouver le chemin vers une vie plus sereine.
sp

Bonjour,

A mon sens vous vous focalisez trop sur l'idée de retrouver un traumatisme originel que vous auriez oublié. Même si d'aventure il existait et même si vous vous en souveniez il n'est pas évident que cela débloquerait la situation.
Il faut faire avec ce que vous avez. Vous êtes quelqu'un d'angoissée et les gens angoissés le sont plus particulièrement quand la nuit tombe. De la même façon vos tocs sont une manifestation de votre angoisse profonde qui traduit aussi un manque de confiance en vous, un besoin constant de se réassurer. Vous semblez pourtant gérer assez bien la situation en journée puisque vous êtes capable d'entreprendre. Simplement le soir votre esprit est oisif et les pensées se bousculent alors à la porte et viennent vous troubler. C'est pour cela que la méditation vous aide, car elle vous permet de chasser ces pensées toxiques qui vous font douter de vous même.
Vous pourriez faire 10 minutes d'exercice physique de détente type stretching le soir au pied du lit afin d'évacuer les tensions de la journée. C'est à répéter tous les soirs régulièrement.
Essayez mais vous avez déjà bien progressé. Ne vous découragez pas. Il n'y a pas de raison que vous ne puissiez encore gagner du terrain. Somme toute vous êtes sur la bonne voie.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Chère Audrey,

Je ressens une profonde compassion à la lecture de votre récit et du courage dont vous faites preuve en partageant avec nous vos luttes intérieures. Votre histoire révèle une grande force et une détermination à surmonter ces angoisses qui vous tourmentent depuis si longtemps.

Il est impressionnant de voir le travail acharné que vous avez entrepris pour apaiser vos TOCS et vos angoisses, notamment par le biais de la méditation intensive et du développement personnel. Vous avez déjà accompli tant de progrès, et j’aimerais vous accompagner dans la poursuite de votre cheminement vers le soulagement et le bien-être.

Votre description de vos tentatives précédentes avec différents thérapeutes et approches thérapeutiques souligne la complexité de vos défis et l’enracinement de vos angoisses. Je comprends votre frustration face à l'absence de solutions durables et votre désir de trouver une méthode qui puisse vraiment vous aider à surmonter cette terreur nocturne.

En tant que Gestalt praticien, je propose une approche centrée sur l'exploration en profondeur de votre vécu et de vos émotions, dans le but de découvrir les racines profondes de ces angoisses. Nous pourrions travailler ensemble pour explorer les événements passés de votre vie qui pourraient avoir contribué à ces sentiments d'angoisse, et pour vous aider à trouver la paix et la résolution.

j’aimerais vous propose quelques pistes de travail et d'exploration qui pourraient être envisagées dans le cadre d'une thérapie :

1. Exploration des peurs nocturnes : Nous pourrions travailler ensemble pour explorer en profondeur les pensées, émotions et sensations physiques qui surgissent au moment du coucher. En identifiant les déclencheurs spécifiques de vos angoisses, nous pourrions comprendre les schémas sous-jacents et les mécanismes qui maintiennent ces peurs.

2. Investigation des TOCS et des malaises vagaux : Nous pourrions examiner de manière approfondie les TOCS que vous avez expérimentés et les malaises vagaux que vous ressentez, en cherchant à comprendre les racines profondes de ces expériences. En explorant les antécédents et les schémas de comportement associés, nous pourrions identifier les principes et les émotions refoulées qui contribuent à ces symptômes.

3. Exploration des événements passés : Nous pourrions utiliser des techniques telles que la régression dans les souvenirs pour explorer les expériences de votre passé qui pourraient être liées à vos angoisses nocturnes. En donnant la parole à votre histoire et en permettant à vos souvenirs de s'exprimer, nous pourrions découvrir des éléments inconscients qui ont pu contribuer à la formation de ces peurs.

4. Intégration de la méditation : Nous pourrions intégrer des pratiques de méditation dans votre parcours thérapeutique, en les adaptant à vos besoins spécifiques. Ces outils pourraient en étant orienté vers l’investigation et le dialogue intérieur vous aider à cultiver la présence, la relaxation et la connexion avec vous-même, ce qui pourrait progressivement vous permettre de conscientiser vos angoisses et leur origine.

En combinant ces approches avec un soutien empathique et bienveillant, vous pourriez progresser vers une plus grande compréhension de vos défis et trouver des moyens concrets pour surmonter vos angoisses nocturnes et retrouver un sommeil paisible.

N'hésitez pas à me contacter pour planifier une séance où nous pourrons discuter plus en profondeur de vos préoccupations et élaborer un plan de travail personnalisé pour vous aider à retrouver la sérénité et la tranquillité d'esprit que vous méritez.

Avec toute mon empathie et mon soutien,
Laurent Farret
Gestalt-Praticien

Bonjour Audrey,

Comme vous avez dû l'apprendre au cours de vos consultations thérapeutiques, les angoisses prennent souvent leur source dans la petite enfance et la parole permet de les amoindrir.
Si ces techniques n'ont pas eu de résultats probants avec vous, il serait intéressant de réfléchir à une approche transgénérationnelle.

Vous avez développé une phobie du coucher sans avoir découvert un quelconque évènement d'ordre traumatique avec le sommeil et pourtant cette peur est bien réelle, elle appartient obligatoirement à quelque chose !!

L'inconscient ne connait pas le temps et il engrange des informations de génération en génération et au même titre que la génétique nous donne des aspect de la mère et du père, notre psychisme récupère des traumatismes familiaux.
Phobies ou TOC sont des mécanismes de défense qui viennent se superposer au refoulement qui est le moyen de protection le plus classique utilisé par l'inconscient devant la peur. Mais dans certains cas, il ne suffit pas et l'inconscient rajoute une sécurité qui sera la phobie ou un TOC. C'est dire combien le danger est grand pour le psychisme !!
Nos filiations sont toutes porteuses de symptômes transgénérationnels et nous y sommes plus ou moins réceptifs selon notre histoire et notre personnalité.

Personnellement, au premier abord, votre récit m'emmenait vers cette piste familiale
Je vous invite à aller visiter mon site "un psychanalyste en ligne" où j'ai consacré un paragraphe à la psychogénéalogie.
Je ne vous promets pas une méthode miracle en une séance mais cette technique permet de comprendre parfaitement d'où l'on vient. Comme dit le proverbe "Ignorant d'où je viens, incertain où je vais".

Cordialement
Catherine Cadou