Douleur pendant la pénétration

Bonjour Meg,

Il y a eu traumatisme et donc il y a des chances pour qu'il y est blocage dans la même nature de problème du coup. Ce qui serait compréhensible. Vous êtes résignez à vous autopunir en vous empêchant toute approche amoureuse d'une façon saine car vous chercher à réparer ce conflit interne tout en vous faisant violence mais combattre seule est compliquée. Aussi vérifiez si pas d'autres problèmes internes. Vous pouvez me joindre.

Afonso Stéphanie
Psychanalyste
Visio et présentiel

Chère Meg,

A la lecture de votre message, je comprends qu'au cours de votre vie vous avez malheureusement été victime de viols, de violences et d'agressions à de multiples reprises : notamment petite par votre père qui vous a incesté pendant 1 an, par vos proches qui ne vous ont pas cru, par des petits copains violents et indélicats..

En terme de sexualité, vous avez surtout vécu des expériences douloureuses et souffrantes... et aujourd'hui vous semblez souffrir de vaginisme ou du moins, de vives douleurs à la pénétration. Votre corps semble refuser la pénétration, comme un mécanisme de défense pour empêcher les agressions.

Résultat, aujourd'hui, en terme de relations amoureuses, vous vous résignez, vous repoussez vos potentiels amoureux, vous semblez presque renoncer à l'amour et vous êtes clairement en souffrance vis à vis de tout ça.

J'aimerais vous dire que vous n'avez pas à avoir honte des agressions que vous avez subies. Et j'espère que bientôt vous aurez une vie amoureuse et sexuelle épanouie.

Pour aller mieux, concernant vos douleurs à la pénétration, notamment si il s'agit d'un vaginisme (contractions involontaires des muscles du périné), je vous conseille d'engager un parcours de soins pluri-disciplinaire :
- une sage-femme ou un kinésithérapeute spécialisé dans la rééducation du périné dans le cas de vaginisme
- un thérapeute spécialisé dans le traitement des traumatismes complexes
- un ostéopathe (ou profession du type) spécialisé dans l'accompagnement des victimes de violences

Pour conclure, j'aimerais aussi vous dire, qu'en parallèle une sexualité épanouie sans pénétration est complétement possible. Vous trouverez, à ce sujet, de nombreux articles et vidéos sur internet.

Bien à vous,
Clarisse Fiorio
Psychopraticiennne
Sexothérapie
Thérapie de couple

Chère Meg,

A la lecture de votre message, je comprends qu'au cours de votre vie vous avez malheureusement été victime de violences sexuelles et d'agressions à de multiples reprises : notamment petite par votre père qui vous a incesté pendant 1 an, par vos proches qui ne vous ont pas cru, par des petits copains violents et indélicats..

En terme de sexualité, vous avez surtout vécu des expériences douloureuses et souffrantes... et aujourd'hui vous semblez souffrir de vaginisme ou du moins, de vives douleurs à la pénétration. Votre corps semble refuser la pénétration, comme un mécanisme de défense pour empêcher les agressions.

Résultat, aujourd'hui, en terme de relations amoureuses, vous vous résignez, vous repoussez vos potentiels amoureux, vous sembler presque renoncer à l'amour et vous êtes clairement en souffrance vis à vis de tout ça.

J'aimerais vous dire que vous n'avez pas à avoir honte des agressions que vous avez subies. Et je vous souhaite vraiment d'avoir une vie amoureuse et sexuelle épanouie.

Pour aller mieux, concernant vos douleurs à la pénétration, notamment si il s'agit d'un vaginisme (contractions involontaires des muscles du périné), je vous recommande de vous faire accomp pluri-disciplinaire :
- une sage-femme ou un kinésithérapeute spécialisé dans la rééducation du périné dans le cas de vaginisme
- un thérapeute spécialisé dans le traitement des traumatismes complexes
- un ostéopathe (ou profession du type) spécialisé dans l'accompagnement des victimes de violences

Pour conclure, j'aimerais aussi vous dire, qu'en attendant une sexualité épanouie sans pénétration est complétement possible. Vous trouverez, à ce sujet, de nombreux articles et vidéos sur internet.

Bien à vous,
Clarisse Fiorio
Psychopraticiennne
Sexothérapie
Thérapie de couple

Bonjour Meg,

Je tiens à vous témoigner tout mon soutien dans les épreuves que vous traversez.
L'inceste est un fléau destructeur, et le fait de ne pas avoir été cru par vos proche l'a été tout autant, en impactant votre sentiment de valeur et de légitimité.
Le vaginisme est un mécanisme de défense et il est important de comprendre que votre corps tente de vous protéger, mais également que vous n'êtes plus aussi vulnérable que quand vous étiez enfant, et que les circonstances ont changées.
Un accompagnement psychologique semble nécessaire pour reprendre confiance en vous, en votre corps et en l'amour et pour vous approprier votre sexualité, qui a commencé sur de très mauvaises bases, mais qui n'est pas pour autant condamnée.

Je reste à votre disposition par message ou par téléphone pour en discuter plus en détails.
Bien à vous,
Mlle Parent
Psychologue

Bonjour Meg, et merci de votre témoignage qui est a la fois courageux et touchant.
En effet, vous souffre de vaginisme suite à des traumas liés a l'enfance et qui se sont accentué à l'adolescence et à l'âge adulte.
Il est important de faire plusieurs choses pour avancer:
1/ voir des sexologues ou des osthéo qui peuvent vous aider d'un point de vue physique
2/ une thérapie psychocorporelle pour aller explorer votre inconscient d'une part et travailler sur les traumas et votre corps d'une autre part pour libérer physiquement les blocages.

Je vous laisse regarder mon profil et revenir vers moi pour une discussion plus approfondie.
Merci
Sara TIJ Voice Dialogue Therapy

Bonjour Meg
Ce que vous décrivez est la conséquence de blessures émotionnelles liées à l'inceste que votre père vous a fait subir, qui ne sont pas soignées... Je vous livre quelques pises de réflexion concernant le protocole qui permet de cicatriser ces blessures douloureuses...
Quand l'être humain est bébé, petit enfant, il vit des événements plus ou moins douloureux qui créent en lui, dans son coeur des blessures émotionnelles qui si elles ne sont pas soignées, continuent à agir tout au long de la vie de l'enfant qui grandit et surgissent dans la vie adulte en orientant ses choix, ses réactions, ses pensées, ses pleurs, ses peurs sans raison apparente.
Soigner ses blessures d'enfance c'est entendre la souffrance de l'enfant qui a grandi en les étouffant souvent, en les mettant de côté... Les comportements adultes ne sont que les manifestations adaptatives des blessures qui sont encore dans le coeur de l'adulte.
Pour soigner une blessure émotionnelle, il faut en retrouver la cause (enquêter ENSEMBLE sur l'événement douloureux conscient ou non, enfoui ou non qui l'a créée dans votre coeur), accepter l'événement tel qu'il s'est passé et quel qu'en soit le prix émotionnel ou relationnel, enlever les culpabilités (c'est de ma faute si...) et changer les croyances négatives (je ne suis pas à la hauteur, je ne vaux rien, je doute de tout, je suis nul ...) et libérer les émotions (tristesse, peur, colère, dégoût, honte) liés à l'événement.
C'est logique ! le cerveau émotionnel blessé est aux commandes de la vie de l'adulte et l'oriente dans ses choix, dans ses pensées, dans ses relations, dans ses réactions pour que la personne s'adapte au mieux avec ce vécu intérieur qui menace de ressortir à chaque instant tel un volcan qu'on croyait éteint, tant que l'enfant qui a souffert n'est pas entendu et soigné!
Le chemin n'est pas long mais pas facile : il nécessite d'être prêt à accepter les choses telles qu'elles se sont passées, être lucide sur ce passé et enfin entendre la souffrance de l'enfant qui pleure encore, qui a encore peur, qui croit encore aujourd'hui adulte que c'est de sa faute !!! Guérir l'adulte c'est entendre ce que notre enfant intérieur a encore comme souffrance.
Etouffer, canaliser, gérer ses émotions ne sert à rien tant que la VRAIE cause de ces émotions n'est pas trouvée et soignée .
Mme Dominique Armandine GRAF-LAPEYRE
psychologue clinicienne
thérapeute en cicatrisation des blessures émotionnelles
consultations en visio et présentiel sur Montpellier

Bonjour Meg
Ce que vous décrivez sont les conséquences logiques de blessures émotionnelles non soignées liées à l'inceste que votre père vous a fait subir... Je vous livre quelques pistes de réflexion quant au comment s'installe la souffrance dans notre coeur d'adulte quand ls blessures enfant ne sont pas soignées ni cicatrisées définitivement...
Quand l'être humain est bébé, petit enfant, il vit des événements plus ou moins douloureux qui créent en lui, dans son coeur des blessures émotionnelles qui si elles ne sont pas soignées, continuent à agir tout au long de la vie de l'enfant qui grandit et surgissent dans la vie adulte en orientant ses choix, ses réactions, ses pensées, ses pleurs, ses peurs sans raison apparente.
Soigner ses blessures d'enfance c'est entendre la souffrance de l'enfant qui a grandi en les étouffant souvent, en les mettant de côté... Les comportements adultes ne sont que les manifestations adaptatives des blessures qui sont encore dans le coeur de l'adulte.
Pour soigner une blessure émotionnelle, il faut en retrouver la cause (enquêter ENSEMBLE sur l'événement douloureux conscient ou non, enfoui ou non qui l'a créée dans votre coeur), accepter l'événement tel qu'il s'est passé et quel qu'en soit le prix émotionnel ou relationnel, enlever les culpabilités (c'est de ma faute si...) et changer les croyances négatives (je ne suis pas à la hauteur, je ne vaux rien, je doute de tout, je suis nul ...) et libérer les émotions (tristesse, peur, colère, dégoût, honte) liés à l'événement.
C'est logique ! le cerveau émotionnel blessé est aux commandes de la vie de l'adulte et l'oriente dans ses choix, dans ses pensées, dans ses relations, dans ses réactions pour que la personne s'adapte au mieux avec ce vécu intérieur qui menace de ressortir à chaque instant tel un volcan qu'on croyait éteint, tant que l'enfant qui a souffert n'est pas entendu et soigné!
Le chemin n'est pas long mais pas facile : il nécessite d'être prêt à accepter les choses telles qu'elles se sont passées, être lucide sur ce passé et enfin entendre la souffrance de l'enfant qui pleure encore, qui a encore peur, qui croit encore aujourd'hui adulte que c'est de sa faute !!! Guérir l'adulte c'est entendre ce que notre enfant intérieur a encore comme souffrance.
Etouffer, canaliser, gérer ses émotions ne sert à rien tant que la VRAIE cause de ces émotions n'est pas trouvée et soignée .
Mme Dominique Armandine GRAF-LAPEYRE
psychologue clinicienne
thérapeute en cicatrisation des blessures émotionnelles
consultations en visio et présentiel sur Montpellier

Bonjour Meg

Merci pour votre message qui me touche beaucoup.

Je sens bien que cette problématique vous préoccupe beaucoup et qu'elle vous conduit à une résignation quant à d'éventuelles rencontres amoureuse. Je trouve cela d'une grande injustice parce que vous êtes au départ une victime, victime d'inceste.
Vous pourriez à ce titre vous rapprocher d'une association de victimes, vous y trouveriez écoute et conseils.

Les sexologues que vous avez pu consulter étaient-ils des médecins? Cette question est importante parce qu'il faut dans un premier temps explorer toutes les dimensions somatiques. Avez-vous pu voir un gynécologue?

Par ailleurs les douleurs que vous ressentez lors de la pénétration marquent sans doute l'impact des abus que vous avez subis.
J'aimerai quand-même souligner que la sexualité ne s'exprime pas que dans la pénétration, les jeux, les caresses, les baisers etc .... sont partie intégrante de la sphère de la sexualité, n'hésitez pas à explorer tous ces territoires avec les hommes que vous rencontrez. Le plaisir existe en dehors de la simple pénétration.

Le détachement que vous ressentez, la peur, l'absence de désir sont autant de défense érigé pour contenir le traumatisme. Un travail thérapeutique vous permettrait de pouvoir le traverser et le réduire. Vous souhaitez retrouver votre identité, votre statut de femme, la Thérapie Narrative est une bonne indication pour votre situation (Je vous engage à vous renseigner à son sujet) ne serait-ce que parce qu'elle s'articule autour du concept d'identité narrative. Je peux vous accompagner dans ce travail si vous le désirez.

Je reste à votre disposition si vous souhaitiez approfondir cet échange, n'hésitez pas à me contacter.

Bonne journée

Bruno BRICE
Thérapeute Narratif Psychopraticien

Bonjour Meg

Si cela n'a pas été fait il faudrait en parler à un gynécologue afin déjà de vérifier s'il n'existe pas chez vous une problématique somatique.
Dans la négative il faut effectivement envisager une problématique psychosomatique liée aux abus que vous signalez.
Vous avez déjà travaillé dessus mais le travail n'est pas fini. Votre problématique n'est pas sexuelle. Simplement toute idée de sexualité ravive en vous le souvenir douloureux. Dans ce souvenir douloureux il y a notamment l'image du père. Et à mon avis le blocage inconscient et instinctif = comme un réflexe que vous ne maitrisez pas, apparaît sans que vous puissiez le contrôler. Ordinairement la sexualité est associée à la notion de plaisir que vous pouvez sans doute éprouver en solitaire. Mais dès qu'il y a un partenaire envahissant, pénétrant, vous vous sentez violer intérieurement, psychiquement. Vous associez involontairement sexualité à souffrance et vous vous refermez, au sens propre et figuré.
Il y a beaucoup de culpabilité dans votre histoire car vous avez du mal à ne pas considérer que c'est vous la fautive. En effet un enfant ne peut pas juger son père et ne peut pas l'accuser, alors il s'accuser lui-même. Il faudrait travailler ces différents aspects afin de bannir définitivement cette culpabilité qui vous interdit tout plaisir pour vous.
Vous n'êtes coupable de rien.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Bonjour Meg,
Vous souffrez probablement de vaginisme, ce qui est logique par rapport à votre vécu précoce. Allez en psychothérapie afin d'aller démêler ce vécu traumatique et les croyances sur vous, les autres (notamment les hommes) et le monde que vous avez mis en place dans votre enfance, croyances qui sont limitantes aujourd'hui, mais qui vous ont permis de survivre à l'époque. Vous pourrez alors faire le tri dans ces croyances et ne garder que ce qui est utile pour vous. Je vous suggère de choisir un thérapeute masculin de préférence.
Bon chance à vous dans votre quête!
Frédéric Duquerois
Psychopraticien en Analyse Transactionnelle
Adultes, Couples, Groupes
Nantes

Bonjour Meg

Je suis désolée de ce qui vous est arrivé avec votre père et de l'impact de cette histoire sur vos relations sexuelles actuelles. Je comprends que ça soit douloureux pour vous et que cela affaiblisse votre confiance en vous.
Grace à la gestalt-thérapie, il est tout à fait possible de dépasser cela en allant réparer davantage la part de vous qui a été blessée et en retrouvant la conscience de votre corps et de vos parties intimes.
Le travail que vous avez déjà entrepris avec votre psychologue vous a certainement permis de mettre des mots et de la conscience sur ce que vous avez vécu. Nous pouvons aujourd'hui aller plus loin dans la connaissance et la compréhension de vous même et de votre histoire. Nous pouvons également vous aider à mieux comprendre et gérer vos émotions aujourd'hui, face à ce que vous souhaitez vivre avec un homme.
Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans cette démarche.

Prenez soin de vous
Hélène CHAMBRIS
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative

Bonjour Meg,
Bravo de franchir cette première step en écrivant sur ce site, vous faites bien les liens et vous expliquer les raisons de cette douleur lors de l'acte sexuel.
Vous dites qu'avec votre ancienne psychologue vous avez connu un mieux. Pourquoi ne pas reprendre contact avec elle ?
En tout cas , l'inconscient est ici très présent , vous avez refoulée ces abus et vraiment désolée qu'une petite fille est à vivre cela, et le couvercle que vous avez voulu mettre sur tout cela, souhaite s'ouvrir, ce qui génère vos blocages.
La parole pourrait être un acte de libération est salvateur pour vous , mettre en mots pour guérir.
Vous devez d'abord vous réparez, et être bien avec vous même avant d'entamer une nouvelle relation .
L'autre ne peut compenser dans le temps, seule vous , pouvez vous aider .
Alors , commencer ce chemin vers la réparation , et vous irez mieux .

Bon courage
Valérie LEPRETRE
Praticienne en psychologie-Psychanalyste
Téléconsultation

Bonjour Meg, vous avez des difficultés dans votre vie sexuelle, la douleur pendant le rapport rendant la pénétration difficile voire impossible à supporter s'appelle la dyspareunie, étant donné ce que vous avez vécu étant enfant ce n'est pas étonnant, déjà félicitations pour votre témoignage et le travail effectué sur vous jusqu'à présent, vraiment bravo !!!

Je remarque que dans vos relations amoureuses, vous avez revécu le même traumatisme, un petit copain vous a forcé et vous avez pu vous défendre, c'est important de le souligner, car cela prouve que vous avez beaucoup de ressources et de courage et que le travail thérapeutique à aussi porté ses fruits.

Je comprends que maintenant vous n'ayez plus le désir d'être avec un homme, c'est aussi une façon de vous protéger d'une éventuelle déception qui pourrait se répéter ; cependant sachez qu'il n'y a pas de fatalité, même si ce n'est pas facile, il existe des approches et des outils thérapeutiques efficaces qui pourraient vous aider à surmonter le traumatisme et avoir une vie épanouie.

je reste à votre écoute en cabinet à Nice ou en visio,

cordialement,

Laurent Stevenoot

Psycho analyste clinicien.

Bonjour Meg,

Non, vous n’êtes pas dingue ! Actuellement, vous souffrez de vaginisme dont l’une des origines et sans aucun doute les abus sexuelles dont vous avez été victimes et l’absence d’écoute (de la part de votre famille puis de votre copain à un autre niveau) à laquelle vous avez dû faire face. Aujourd’hui, vous en souffrez et cela impacte vos relations et même votre identité de femme.

Plusieurs voies sont envisageables pour entrer dans ce qui aujourd’hui vous fait souffrir. Aucune d’elles n’est exclusive, elles se complètes l’une l’autre pour permettre d’appréhender au mieux ce qui fait symptôme aujourd’hui : vos douleurs à la pénétration et ce que cela génère chez vous au regard de votre histoire singulière et de la femme que vous êtes et désirez être.

Parmi ces voies, il y a l’exploration de votre traumatisme pris dans votre histoire singulière et votre contexte familiale, des traces qu’il a laissées, de l’impact qu’il a eu sur ce que vous êtes. Il y a aussi l’exploration de ce qui vous a permis de vous construire malgré tout, d’évoluer et sur lequel vous pouvez vous appuyer aujourd’hui aussi.

La question du rapport que vous entretenez avec votre corps semble aussi une voie d’exploration. Comment peut-il être touché (physiquement/symboliquement) ? Comment le vivez-vous au quotidien ? Quelle mémoire traumatique garde-t-il de ces abus ? Quels chemins a-t-il trouvé aussi pour grandir et se développer dans cet environnement ? …

Une autre voie serait d’explorer ce qu’est pour vous la sexualité ainsi que le couple ? La sexualité doit-elle être toujours pénétrative ? A partir de quand la sexualité commence-t-elle pour vous ? De quoi est-elle synonyme idem pour le couple ? Est-il possible d’y entrer différemment ? …

Je vous souhaite sincèrement de trouver un professionnel qui saura vous aider tout au long de ce cheminement.
Prenez bien soin de vous et n'hésitez pas à me contacter si cela peut vous être utile.

Bonjour Meg,

Il y a peut-être une piste à creuser c'est l'idée d'une pénétration réalisée par vous même dans un premier temps, à savoir la masturbation qui permet de s'approprier votre corps et de vous connaître. Cela peut dédramatiser l'acte en lui-même et ensuite permettre à un partenaire de confiance de partager ce moment, ect...
Je suis à votre écoute pour développer en privé.
Bien à vous
Charlotte
Psychologue
Couple, Famille,
Travail

Bonjour Meg

Pour commencer vous n'êtes pas dingue !
Très courageusement vous partagez vos traumatismes et cherchez des solutions, ce qui est un point très positif.

Effectivement, le vaginisme est assez difficile à travailler car il n'y a pas qu'une problématique sexuelle physique comme vous le savez et que les sexologues consultés ont du vous expliquer. Un travail plus approfondie en psychanalyse peut, surement, vous aider.
La psychanalyse permet un travail sur l'inconscient, parce que parfois il ne suffit pas de vouloir pour pouvoir... j'imagine que cela vous parle. Les différents échecs amoureux que vous avez connus n'ont pas aidé dans votre travail personnel et votre "estime de soi".
Le point identitaire que vous évoquez est une très bonne piste de travail, vous êtes déja sur la voie.

Je vous laisse revenir vers moi au besoin,

Excellente journée,

Bonjour,
Ce que vous décrivez se nomme le vaginisme se déclenche souvent par les circonstances que vous évoquez (abus ou attouchements sexuels).
Je traite régulièrement ce type de problème.
(voir mon profil).
Un thérapie uniquement verbale n'a pas beaucoup d'intérêt, il est important de travailler à un niveau inconscient /émotionnel.

Cordialement
Hypnothérapeute clinique -Thérapie intégrative & holistique

Bonjour Meg,

Vous ne devez pas rester ainsi. Vous avez déjà fait un premier pas en vous confiant sur ce site, faites donc maintenant le second en vous faisant aider pour venir à bout de ce traumatisme d’enfance après cet inceste et aux maltraitances que vous ont fait subir plusieurs garçons. Cela vous permettra de reprendre progressivement confiance en vous, mais également reprendre possession de ce corps qui se refuse à l’amour. C’est en effet tout à fait possible.
Il est en effet dommage de se refuser au bonheur et aux plaisirs de la vie de couple pour des faits dont vous avez été la victime.
N’hésitez pas à me contacter pour cela.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour Meg,

Merci beaucoup pour votre message.
Il semble que vous souffriez en effet de vaginisme. Il s'agit d'une défense corporelle probablement en lien avec un traumatisme, l'inceste que vous avez subi qui a été nié par votre entourage. Votre corps se ferme à la pénétration, il se protège d'une effraction insupportable. Il a encore besoin de vous dire la violence dont vous avez été victime. Il y a encore à exprimer, à entendre, à rassurer. Votre corps et votre psyché ne se sentent pas en sécurité dans la sexualité. Vous pouvez recontacter la psychologue qui vous avait accompagnée, ou trouver un.e thérapeute qui vous convienne aujourd'hui. L'espace thérapeutique va vous permettre de contacter cette grande angoisse qui vous accompagne toujours dans un cadre sécure et bienveillant. Vous avez encore besoin de mettre des mots sur vos maux et d'écouter le message que vous envoie votre corps.

Bien à vous,

Agnès Foissac
Analyste Psycho-Organique