Que dois-je faire si je déteste les psy qui me suivent? #2

Nous ne savons pas de quoi vous souffrez, mais on peut toujours vous doner un conseil élémentaire : un psychiatre doit rester dans son domaine qui est, certes, d'écouter mais surtout de prescrire un ou des médicaments susceptibles de vous soulager. Suivez donc voyre psychiatre en fait de médication, mais ne lui demandez pas de "doubler" votre psychologue. Quant à ce dernier, de quelle école relève-t-il ? C'est une question importante, car les comportemantalistes-cognitivistes sont très mal préparés à assumer et guider le "transfert" (ici : votre haine) qui s'opère entre le patient et le thérapeute. J'espère avoir été utile. Bien cordialement.

Bonjour Nar,

Tout d’abord, il est important de préciser que le rapport thérapeutique est très important pour la réussite du processus d’accompagnement.

Vous exprimez des émotions et ressentis forts qui peuvent être de prime abord bloquants mais aussi clef dans votre thérapie. Partager ces sentiments avec vos thérapeutes tels que vous les rédigez ici leur permettra peut-être non seulement d’aborder vos séances différemment mais aussi peut être de comprendre quelque chose qui pourra les aider ensuite et donc vous aider également. Comme vous le dites très justement le transfert, les projections font partie des possibles réactions aux séances.

Vous semblez face à un dilemme mais n’est ce pas quelque chose en vous qui bloque l’ouverture d’une porte de libération ?

Être suivi c’est ne pas être seul et vous êtes accompagnés. Ne restez donc pas isolé face à vos émotions négatives : exprimez vous ; ce sera un pas important dans une alliance thérapeutique de fond.

Bon courage
Mélanie Lenormand

Bonjour
Il n’existe pas de psy dans le haut du panier!
Et oui vous avez le droit d’arrêter.
Cela dit il vous faut travailler sur le sens de tous ces «  psy » que vous avez déjà vu et pourquoi cela ne fonctionne pas.
Qu’attendez vous d’eux?
Le traval thérapeutique est un long processus qui comme vous le signalez, a à voir avec la compréhension de ce qui nous traverse émotionnellement, affectivement, intellectuellement et bien d’autres encore.
Cordialement

Bonjour , il semblerait que vous n'avait pas fait l 'alliance thérapeutique. En effet lors d'une thérapie vous développez une relation particulière avec votre thérapeute , une relation de confiance mutuelle quant aux outils que vous utilisez ou qui vous sont proposés.
Les deux ou trois première séance servent avant tout a définir ce lien aux travers de l'expression de ce qui vous préoccupe . Bien définir ensemble ce qui ne vas pas, la problématique pour ensuite dessiner ensemble un chemin de soin thérapeutique. Essayer de clarifier votre demande, qu'est ce que vous attendez de la thérapie et du thérapeute.
Bon courage à vous

Bonjour,

Prévoyez un temps de recul, une pause vis-à-vis de vos différentes thérapies en poursuivant uniquement l'une des 2 thérapies.
Je pense qu'arrêter vos accompagnements est une décision à prendre avec votre psychologue et/ou votre psychiatre bien que la décision vous revient.

Avancez par étape.
Si vous souhaitez plus de détails et/ou des conseils, je reste à votre écoute.
Bien cordialement,
Samantha - Sophrologue et accompagnante en relation d'aide

Bonjour
Merci pour votre témoignage, vous êtes en droit bien évidemment de changer de psy comme vous l’entendez mais je crains que vous retombiez dans la même problématique, pas assez comme ci, trop comme ça, je pense et c’est mon avis personnel qu’il faut persévérer avec vos praticiens actuels, vous avez sans doute de très fortes résistances psychiques qui vous font vivre un transfert négatif. Faites vous confiance pour que l’autre puisse engager un véritable travail dans la mesure où il y a une véritable demande. Bien cordialement

Bonjour Nar,
Ce que vous traversez semble être un transfert négatif, un phénomène fréquent en thérapie où des émotions refoulées, comme la colère ou la frustration envers des figures du passé, sont projetées sur vos thérapeutes. Cela pourrait expliquer votre épuisement après les séances et la détérioration de votre état émotionnel.

Le transfert, bien qu'inconfortable, est un outil thérapeutique puissant pour explorer des émotions profondes. Il est cependant crucial de le reconnaître et de le travailler avec vos thérapeutes, afin qu'il ne devienne pas néfaste pour le processus de guérison. Sans cette exploration, cela pourrait compliquer l’expression de vos besoins et vos sentiments d’être entendue.

Votre pause thérapeutique pourrait être un moment opportun pour réfléchir à ces émotions et à leur impact sur vos relations thérapeutiques.

Si vous souhaitez en discuter, je suis à votre disposition pour vous aider à explorer ces questions, en personne ou en ligne.

Bien cordialement,

Lorenzo Perucchi

Bonjour,
En vous lisant, je comprends bien que les rencontres avec les psychologues et psychiatres ont été multiples mais pas assez efficaces pour vous soulager.
Il est vrai que franchir le pas pour se faire accompagner par un psychologue n’est pas toujours une chose facile. Vous l’avez fait.
En franchissant ce pas, vous attendiez notamment un apaisement émotionnel (je n’en sais pas plus sur le problème de votre situation). Votre situation émotionnelle n’ayant pas été stabilisée, il est normal d’être insatisfaite. Vous avez même l’impression de ne pas être écoutée et que vos souffrances ne soient pas entendues.
Aujourd’hui, à votre insatisfaction s’ajoute une anticipation de vos souffrances, ce qui a pour effet de les accroître.
Pendant ce temps, vous restez avec vos souffrances d’où votre colère.
Faire une pause thérapeutique peut vous permettre de bien réfléchir à vos objectifs et à ce que vous attendez d’une consultation avec un psy en vous posant des questions constructives telles que :
- De quelle(s) souffrance(s), je veux guérir ?
- Quel sens je veux donner à ma vie ?
- Une relation thérapeutique qui ne me correspond pas me permettra-t-elle d’avancer?
- Suis-je prêt(e) à m’ouvrir et à observer ce qui se passe en moi pour m’orienter vers ce qui serait une vie pleine de sens et qui me correspond ?
- Suis-je prêt(e) à être accompagné(e) dans mon évolution de vie ?
Aller voir un psychologue est bien une rencontre. Le professionnel est bien là pour vous aider à comprendre votre fonctionnement et à vous amener vers des changements pour vivre sereinement. Chaque professionnel a sa propre approche. Quelle que soit l’approche, elle doit vous soulager de vos souffrances.
Même si cela vous parait long pour trouver l’accompagnement qui vous correspond, rester avec vos souffrances n’est pas la solution.
Je vous souhaite de trouver le bon accompagnement qui prendra soin de vos émotions et vous amènera vers un soulagement de vos souffrances.
Cordialement,
Muriel Hénon
Psychopraticienne

Bonjour,

Il est difficile de répondre à votre question sans connaître les raisons de votre suivi et de la mise en place de cette alternance de soins psychothérapeutiques.
Il est effectivement possible qu'une résistance existe chez vous. Mais il est également possible que cet accompagnement ne vous soit pas adapté.
Il faudrait pouvoir en parler ou avoir au moins plus d'informations.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Bonjour Nar,

N’oubliez pas que vous avez tout à fait le droit de changer de praticien si vous n’arrivez pas à être en phase avec eux. Cependant, attention à ne pas transférer vos propres difficultés sur les professionnels que vous rencontrez. Si cela se passe toujours difficilement, c’est que vous avez aussi certainement une grande résistance aussi bien dans l’échange que dans la prise en compte des résultats de ces séances.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour,
Ce que vous décrivez semble en effet correspondre à une forme de transfert négatif, où des émotions refoulées comme la colère ou la frustration envers des figures importantes de votre passé pourraient être projetées sur vos thérapeutes. Ce phénomène est assez courant en thérapie et peut se manifester par des sentiments d’agacement, voire de haine, envers le psychologue ou le psychiatre. Cela pourrait également expliquer pourquoi vous avez l’impression que vos séances vous épuisent et que votre état émotionnel empire.

Le transfert est un outil puissant en thérapie, car il permet de revisiter des émotions profondément enfouies. Dans votre cas, il est possible que cette « haine refoulée » soit une partie du processus de guérison, mais il est essentiel que ce transfert soit bien compris et travaillé avec vos thérapeutes pour éviter qu’il ne devienne contre-productif. Si ce transfert négatif n’est pas exploré et transformé, cela pourrait expliquer pourquoi vous avez du mal à exprimer vos besoins clairement et à vous sentir entendue.

Votre pause thérapeutique peut être un moment utile pour réfléchir à ces émotions refoulées et comment elles influencent votre relation avec vos thérapeutes.

Chaque relation est unique, et il n'y a pas de réponse facile ou universelle à ce genre de situation. Je vous encourage à réfléchir à ces questions. Il serait judicieux de faire un travail sur vous. Cela vous permettrait d'écouter vos émotions, de les comprendre, cela vous permettrait de sortir de ce conflit psychique que vous décrivez, car vous seule êtes capable de réaliser un tel travail. Personne ne peut le faire à votre place, ni vous dire que faire.

Je vous offre la possibilité d'en parler avec moi, en présentiel ou en ligne, afin de résoudre cette situation, et de trouver ensemble les solutions les plus adaptées.
P Groult, psychanalyste

Bonjour Madame,

Votre état révèle qu'il est nécessaire de réfléchir à ce qui se passe et c'est difficile. Vous avez su évoquer votre ressenti difficile avec vos accompagnants et votre souffrance persiste. D'après votre récit, il semble que vous avez compris, par vous-même, qu'il peut s'agir de votre transfert de vos émotions. Oui, et quand il y a transfert (avec plus ou moins d'intensité) : il est indispensable que ce transfert soit identifié, accueilli et gérer par le professionnel afin de progresser vers la résilience, cette étape est nommée "contre-transfert" (personnellement j'estime que cette expression est mal nommée). C'est une étape essentielle.

La condition essentielle à un accompagnement apportant des améliorations et des changements concret dans la vie réelle de l'aidé, est une relation aidé-aidant dans la confiance. Et c'est au professionnel qu'il revient de la favoriser, l'installer et la conforter tout au long de l'accompagnement.

Alors je vous encourage à profiter de votre "vacance thérapeutique" pour écouter, accueillir vos ressentis pour pouvoir en parler à votre thérapeute actuel ou en changer si vos ressentis "post-séances" sont trop difficiles à gérer et perturbent votre vie quotidienne. La stabilisation émotionnelle en fin de séance est, selon mon protocole, essentielle pour le confort et la sécurité de l'aidé.

Je vous remercie pour votre attention. Très sincèrement, Thérèse Badonnel Ferry - Thérapie.Bienveillante-TBF avec la Relation d'aide associée à la psycho-énergétique

Personnellement je suis d’avis que décider d’entreprendre une psychothérapie avec un professionnel de la santé mentale doit permettre une rencontre satisfaisante. Bien sûr, comme vous l’évoquez il y a des moments où le patient peut faire un transfert négatif mais si vous avez l’impression que chaque séance vont conduit dans des états émotionnels plus douloureux, je comprends que vous vous posiez la question d’arrêter votre thérapie ou de changer de thérapeute. Mais il y a aussi parfois un phénomène que j’ai déjà pu observer chez certains patients qui est de mettre en échec chaque thérapie quelque soit le psy et ses compétences. Comme pour se convaincre que personne ne peut vous sauver de votre souffrance. Inconsciemment, certaines personnes tirent un bénéfice secondaire à rester « victime «  de leur vie. Ce serait à évoquer avec vos thérapeutes. Est ce qu’ils ont repéré ce mécanisme de défense ?
L’autre question c’est quelle approche ces thérapeutes ont au niveau de leur pratique, plutôt psychanalytique ou thérapie brève, est ce qu’ils utilisent de l’hypnose, de l’emdr, qui sont des pratiques qui permettent de renforcer le moi, d’apprendre à mieux gérer les émotions, de libérer des charges émotionnelles liées à des événements passés et qui sont toujours actives.
Voici quelques pistes de réflexion. J’espère qu’elles vous aideront à y voir plus clair.
Bien à vous.
Florence Delem

Bonjour,
Il me semble qu'il y a plusieurs choses qui s'entremêlent dans ce que que vous rapportez. D'une part la confiance et la connivence que vous pouvez ressentir envers votre ou vos thérapeutes sont essentielles pour le bon déroulement de la cure. Par conséquent, le premier que l'on consulte, qu'il fasse partie du "haut du panier" ou pas, n'est pas obligatoirement le meilleur pour vous. Et parfois, il vaut mieux en voir plusieurs consécutivement avant de trouver celui ou celle avec qui l'on sent que l'on pourra se livrer. Même si se livrer vraiment à quelqu'un prend du temps. A priori, plus vous vous sentirez écoutée dans le non-jugement, plus vous serez en confiance face à votre thérapeute, plus le travail thérapeutique se mettra en place.
Cependant, même si cette connivence existe, il est tout à fait possible qu'à l'issue de certaines séances vous soyez chamboulée et ressentiez une forme de malaise. Cela peut être le signe que justement la thérapie fonctionne. Car le travail c'est aussi en partie - et heureusement pas seulement - de vous mettre face à vous même et cela peut évidemment être difficile mais salvateur. Donc il ne faut pas avoir peur de vous sentir mal après certaines séances, comme on dit dans le langage courant c'est souvent "un mal pour un bien".
Enfin, vous dites que vous commencez à les "haïr sérieusement". Or, en effet, le travail se fait notamment à travers les émotions que l'on projette sur le ou la thérapeute, qui sont là en quelque sorte pour jouer un rôle de substitution. Par conséquent, je pense qu'il faudrait vous interroger sur cette haine, d'où provient-elle ? Et à qui s'adresse-t-elle vraiment ? Si vous trouvez une réponse à ces questions c'est en effet que votre travail thérapeutique est en marche. Dans ce cas, il faudrait que vous acceptiez de ressentir le malaise que vous décrivez pendant un certain temps, car c'est probablement un mal nécessaire, et sans doute temporaire. Du moins jusqu'à ce que quelque chose se passe en vous pour que cette haine que vous ressentez pour une ou plusieurs personnes de votre entourage ou pour vous même se dissipe. Et évidemment cela peut prendre du temps aussi. Ce n'est d'ailleurs pas forcément une mauvaise chose de faire une courte pause pour réfléchir de votre côté. Mais ne vous laissez abattre et ne laissez pas tomber pour de mauvaises raisons. A mon humble avis vous êtes plutôt sur le bon chemin. Je vous souhaite bon courage pour la suite.
Bien cordialement, JPV.

Bonjour Nar.

La thérapie ne fonctionne que dans une alliance thérapeutique entre le praticien et son patient. Un lien de confiance doit se créer. Donc si ce lien ne fonctionne pas, vous pouvez changer de psy.

Cela dit, si le schéma se répète avec tous les thérapeutes rencontrés, c’est peut-être parce qu’en effet, vous les rendez responsables de votre souffrance, en ce sens que les séances avec eux vous obligent à explorer cette souffrance que vous voudriez faire disparaître.
Il est possible aussi que vous transfériez des émotions sur eux alors qu’elles sont destinées à d’autres personnes, dans votre histoire personnelle.
Parlez de vos émotions avec eux. Ils vous expliqueront leur logique. Ce sera le début de votre ouverture (le contraire du repli sur soi).

Vos thérapeutes n’y sont pour rien, bien entendu. Ils font probablement du mieux qu’ils le peuvent pour vous aider.
Tout au plus est-ce une question de méthode. Peut-être pourriez-vous tenter d’autres approches pour vous aider à explorer votre souffrance de manière distanciée, sans rentrer dedans et la revivre à chaque fois, comme un observateur. L’hypnose ericksonienne peut vous y aider.

Quoi qu’il en soit, si vous souhaitez éradiquer cette souffrance, vous n’avez pas d’autre choix que d’y faire face.

Si vous décidez d’arrêter votre thérapie, il est vrai que vous pourrez avoir l’impression de moins souffrir mais ce ne sera qu’une impression. Ce flot d’émotions et de sentiments continuera d’enfler à l’intérieur et resurgira d’une manière ou d’une autre, après vous avoir « rongé » en silence.
Vous devez exprimer ce que vous ressentez.
On ne peut pas se protéger des émotions désagréables, les enfouir, sans se protéger aussi des émotions agréables, comme l’amitié, l’amour et la joie.

Bonjour,

Je vous remercie d'avoir partagé votre expérience avec tant de sincérité et de clarté. Ce que vous traversez est difficile, et il est tout à fait normal de ressentir de la frustration face à une thérapie qui semble ne pas apporter les résultats souhaités, voire aggraver la situation.

Il est important de souligner que la thérapie, bien qu’elle puisse parfois être inconfortable, ne devrait pas vous laisser dans un état de souffrance continue. Le transfert émotionnel dont vous parlez est une notion centrale dans certaines approches thérapeutiques, mais il doit être accompagné d’un travail qui vous permet de comprendre et d’intégrer ces émotions. Si vous sentez que ce travail ne progresse pas ou que votre souffrance augmente sans explication claire, cela peut indiquer que l’approche actuelle ou la relation avec vos thérapeutes n’est pas totalement adaptée à vos besoins.

Votre décision de prendre une pause pour réfléchir est très sage. Cela vous permet de prendre du recul et de faire le point sur ce que vous attendez de la thérapie, ainsi que sur ce qui pourrait être mieux adapté à votre état actuel. Parfois, un simple ajustement dans la manière dont les séances sont menées, ou un échange ouvert avec vos thérapeutes, peut faire une grande différence.

Vous avez également raison de considérer les difficultés liées à un éventuel changement de thérapeutes. Cependant, il est essentiel que vous vous sentiez en sécurité et soutenu(e) dans votre démarche thérapeutique. Si, après cette période de réflexion, vous ressentez toujours ce mal-être, il serait peut-être bénéfique d’explorer d’autres approches thérapeutiques ou d’avoir une conversation plus directe avec vos thérapeutes actuels pour partager votre ressenti.

Le plus important est que vous trouviez un espace thérapeutique qui vous aide à avancer et à vous sentir mieux. Vous méritez une écoute attentive et un accompagnement adapté à vos besoins.

Je vous souhaite beaucoup de courage dans cette réflexion et vous encourage à rester à l'écoute de vos propres ressentis. Vous avez tout à fait le droit de chercher ce qui est le mieux pour vous dans ce processus.

Bien à vous,
VLASOVA Elena

Bonjour
Il est important de se sentir en confiance quant on fait un travail thérapeutique. Il n'y a pas de travail sans alliance thérapeutique, c'est la base. Maintenant ce qui me parait intéressant à travailler dans votre situation c'est le sentiment de culpabilité et peut être la peur d'aller plus loin parce que le travail à l'air de fonctionner avec ces psys. En effet, travailler sur soi améliore le bien être mais pour se faire il faut traverser ce qui vous fait souffrir pour arriver à le dépasser. Donc je dirai, vous seule avez les clés en main. Un psy n'est là que pour vous aidez à ouvrir les portes.

Bonjour,

Je me présente, je m’appelle Éric Oignet, je suis psychopraticien et pratique la méthode Palo Alto.
Cette approche fait partie des thérapies brèves et de plus particulièrement de la systémie.
La connaissez-vous ?

Ne connaissant pas votre situation concrètement, mise à part que vous n’arrivez à soulager votre souffrance en naviguant entre psychologue et psychiatre, la méthode Palo Alto est une autre approche et s’avère très efficace pour de nombreuses problématiques.

Je vous suggère de vous renseigner sur cela, vous pouvez également me solliciter pour plus d’informations. Je me ferais un plaisir de vous répondre, vous orienter, vous accompagner.

Bien cordialement. Éric.

Bonjour,
Le travail engagé est semble t il important car cela fait déjà 8 mois. Vous avez décidé de tenir bon et peut être qu'il y a une raison à cela. Peut être serait il intéressant d'en parler aux professionnels
qui vous accompagnent . Ils sont les mieux placé pour en échanger avec vous et trouver une explication. Bon week end à vous en espérant que cela vous aura aiguillé.

Bonjour,

Il est important de se sentir soutenu et compris par ses thérapeutes, il semble que ce sentiment ne soit pas au rdv pour vous en ce moment et j’en suis désolée pour vous.

Il est vrai que le transfert des émotions vers le thérapeute fait partie du processus thérapeutique, tout comme la relation qui se crée mais cela ne doit pas se faire sentir pire de manière constante.

Le motif de votre suivi amènerait peut être des réponses… si vous êtes suivi pour un trouble de la santé psychique défini… peut être est ce sur le fonctionnement de celui ci qu’il faut regarder… ou sur l’approche thérapeutique employée par vos praticiens en lien avec votre motif de consultation.

Vous avez tenter d’échanger et de partager ce sentiment auprès de vos deux thérapeutes et c’est la première choses à faire.

Peut être, sans mettre un terme à l’accompagnement actuel, pourriez-vous consulter un autre professionnel pour obtenir un avis extérieur sur votre situation.
Parfois cela ouvre de nouvelles perspectives…

Prendre un mois de pause pour réfléchir est une bonne idée afin de prendre du recul et de considérer toutes les options… peut être aussi avoir l’occasion de découvrir que ces émotions auxquels vos thérapeutes vous exposent ne sont pas si effrayantes mais qu’il s’agit de les accueillir.. :)

Prenez soin de vous !