Bonjour,
il y a plusieurs année en arrière je faisais une analyse, alors que je me sentais enfin bien, je demandais à arrêter l'analyse, ma psy me demandais de rester. Par confiance je l'écoutais mais au fil des séances je ne comprenais pas et cela me mettais à mal sans que je puisse en dire quoi que ce soit. Le transfert négatif s'installer, je n'en savais rien à l'époque, je venais en séance, je ne comprenais pas, je ne comprenais pas qu'elle me demande de rester, je le disais mais je ne pouvais en dire plus. Ca a duré des mois (environ 10 mois) comme ça, où je me laissais dépérir sur le divan. Je n'analysais rien du tout, et je ne comprenais pas non plus que, ce que j'avais fais pendant 6 ans ("dire ce qui vous vient, comme ça vous vient") sur le divan, n'était plus reçu par mon analyste, ce changement d'attitude m'était incompréhensible. Un jour ma psy me dit quelque chose comme "vous ne voyez pas, vous ne comprenez pas?!", et pour la 1ère fois en 7 ans de cure, de mon ras-le-bol, je réponds la destituant en rigolant de façon sarcastique: "où je comprends que c'est vous qui ne comprenait rien". La haine s'exprimée verbalement pour la première fois envers elle. Aujourd'hui, avec le recul je me dis qu'elle aurait pu y voir une avancée, mais à défaut elle a coupé court à la séance. Et ma reçu la fois suivante avec une froideur sèche pour me dire qu'elle ne voulait plus me recevoir, qu'elle en avait fini avec moi et très nonchalamment me dire qu'elle ne doutait pas de mes ressources pour rebondir.
Depuis, je vis comme un raté qui me ronge (à travers une haine contre moi, contre les autres, détestable).
Alors à ce sujet j'aurais des questions: qu'en est-il quand vous vivez une réaction thérapeutique négative et que votre psy, au lieu de "survivre" aux attaques destructrices du patient, s'en va? Quand vous n'avez pas été en capacité d'analyser le transfert et qu'aujourd'hui encore, des années après vous vivez avec les conséquences de cela?
Peut-on analyser à postériori le transfert et en l'occurrence la réaction thérapeutique négative avec un autre psy que celui avec lequel vous l'avez éprouvé? Ou l'arrêt brutal de ce transfert en condamne l'issue?
Dernièrement quelqu'un m'a dit "si vous sentez que le patient rentre dans une réaction thérapeutique négative, ne lâchez pas, surtout pas, c'est signe que l'analyse arrive à sa fin, que le deuil est bientôt fini", c'était une façon très gentille de s'adresser à moi de façon détournée (devant du public). Comment fait-on quand c'est la psy qui a lâché? Quand votre résistance au changement l'a faite cédé?
Merci de vos réponses
Réponse envoyée
Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier
Une erreur s'est produite
Merci de réessayer plus tard
Réservez un rendez-vous immédiat en ligne pour 49 €
Obtenez une aide psychologique en moins de 72 heures avec des professionnels en choisissant le créneau horaire qui vous convient le mieux.
Meilleure réponse
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 6 personnes
Bonjour Sylvie,
Votre témoignage est attristant... : telle que vous racontez votre histoire de la fin de votre analyse, il y a eu des incompréhensions de part et d'autre, et votre psy n'a pas su/pu vous permettre de bien finir votre analyse.
Vos émotions d'aujourd'hui, ce "raté" et cette "haine" qui vous "rongent" montrent que vous êtes restée en chemin... et que vous avez encore besoin de parler de votre analyse et de sa fin amère, où vous vous êtes sentie probablement rejetée et abandonnée brutalement par la psy, sans explications.
C'est malheureux, mais il y a encore des analystes qui peuvent rester "muets" et mettre fin à l'analyse de façon brutale quand le patient demande des explications.
Une dite "réaction de transfert négatif" peut surgir à tout moment d'une thérapie, ou jamais, fonction de la personnalité et de l'histoire du patient. Ce n'est pas un signe de fin de thérapie..., elle peut ouvrir vers une étape très riche, si le patient même n'en veut pas trop à son thérapeute et s'en va en claquant la porte (ceci arrive aussi quand certaines vérités sont trop difficiles à accepter par celui ci).
Il me semble que vous devez reprendre une thérapie (de type analytique si vous voulez comprendre ce qui s'est passé dans votre analyse) pour sortir du ressentiment et dépasser la haine qui vous traverse (surtout celle que vous avez contre vous même).
Celle ci sera certainement moins longue que la psychanalyse que vous avez connue.
Je vous souhaite de sortir de la rumination concernant la fin blessante de votre analyse et d'être en paix avec vous même..., et les autres.
sp
22 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Sylvie,
Je réponds sans doute un peu tard à votre message mais je vous partage tout de même mon regard.
Vous n'êtes pas ce que vous faites et vous avez le droit de ne pas être parfaite. Autrement dit, vous avez le droit de vous aimer. Vous êtes légitime dans les actes que vous avez posés, même si vous jugez qu'il y a peut-être de la maladresse. Certains de vos besoins n'étaient pas nourris dans cette relation et vous l'avez exprimé à votre manière : besoin de compréhension, d'écoute, de distance, d'autonomie… Quels qu'ils soient, vos besoins sont juste.
Vous parlez de haine, envers elle, mais aussi vis à vis de vous-même. C'est un terme très fort. La haine est de l'amour déçu, sans doute à la hauteur de vos attentes. Et une attente est un besoin qui n'est pas exprimé. Je ne sais pas ce que votre psy voulait que vous compreniez, mais je pense qu'à ce moment-là, vous n'étiez pas en capacité d'identifier clairement vos besoins, de les exprimer et de les affirmer fermement. Vous ne pouvez pas vous reprocher de ne pas avoir fait quelque chose que vous ne saviez et ne pouviez pas faire, si ?
La psychanalyse est une approche très intéressante et qui peut offrir de magnifiques résultats, mais comme n'importe quelle approche, elle est limitée par la "puissance" personnelle du praticien. Et ça n'est pas la seule manière d'apprendre à vous connaître ou d'aller mieux. Le transfert est un outil, ça n'est pas une finalité, sauf si vous voulez faire une psychanalyse pour faire une psychanalyse.
Une chose m'interpelle dans votre récit, c'est que vous ne parlez que de votre analyse, vous ne dites pas ce qui vous a motivée à la commencer, ni ce qui pourrait vous motiver à la reprendre. J'aurais des choses à vous partager à ce sujet et j'avais commencé à les écrire mais je me suis ravisé car je pense qu'à l'écrit et sans "alliance", ça serait probablement contre-productif et ça ne serait pas aussi profitable pour vous que je le voudrais. Nous pourrons en parler plus longuement si vous le souhaitez. Vous pouvez m'écrire ou m'appeler, je me ferai un plaisir de vous répondre.
Si vous aspirez à des changements concrets dans votre vie, les approches orientées solution offrent également de très beau résultats. Mais je crois que ce qui est le plus important, quelle que soit l'approche, c'est que vous choisissiez une personne pour vous accompagner qui vous offre une vraie écoute, de l'empathie, de la compréhension et qui vous aide à prendre conscience de vos envies et de vos besoins et qui les respecte, sans projeter sa propre vision du monde sur ce qu'il est juste, bien et nécessaire de faire. Une personne aussi qui vous aide à développer votre pouvoir personnel pour que vous puissiez être actrice de votre vie.
Je vous invite à vous pardonnez ce que vous pensez avoir raté, car vous n'avez rien raté. Dans une relation, on est deux, on ne peut pas tout et surtout pas être conforme aux attentes de l'autre, ça n'est vraiment pas le but. Et je vous invite aussi à vous laisser une chance de vivre de vrai changement en ne restant pas seule avec cette expérience négative.
Je reste à votre écoute.
Belle journée à vous et au plaisir de vous entendre.
20 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
En effet je pense qu'il était temps pour vous d'arrêter la psychanalyse, votre psy à voulu vous garder sans prendre en compte votre ressenti, c'est dommage car au contraire cela vous a bloqué, je vous conseil de reprendre un thérapie avec un psy qui arrivera a vous comprendre et surtout a vous entendre, je suis à votre disposition si vous le souhaitez, cordialement Buono Frédérique.
19 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Sylvie,
Autodidacte, le mieux que j'ai connu, c'est écrire pendant dix ans, et croyez-moi, cela en est passé autant par décortiquer le moindre détail toxique, qu'exprimer en long en large et en travers, des mots, même des plus vulgaires, en en passant par la haine, oui, etc..
Et en effet, le pire du pire, c'est d'être recalé derrière, disons, jugé ou méprisé etc.... abandonné etc..
En effet, je crois qu'il peut y avoir de réels décalages entre des expériences et des pratiques disons, même les plus, dites professionnelles.
Certaines personnes auront l'art et la manière de ne jamais arracher une épine, dans le pied.
Gardez votre foi et votre force, votre bon sens, votre raison, votre logique, votre intelligence, parce qu'il n'y a pas de raison.
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Sylvie
Il semble malheureusement que vous ne soyez pas tombé sur la bonne personne pour votre analyse. Je pense qu'il est important pour vous de reprendre votre thérapie avec quelqu'un qui vous correspondra d'avantage.
La blessure d'abandon qu'a occasionné en vous cette rupture est toujours présente et vous mine de l'intérieur, reprendre le travail sur vous même vous permettra d'apaiser cela. Souvenez vous cependant que cette situation avec votre ancienne psy est certainement un schéma qui se répète au sein de votre vie. Une nouvelle thérapie permettra notamment de traiter la source de cette blessure d'abandon.
Je vous rassure rien en ce monde n'est définitif. Oui il est tout à fait possible de revoir ensemble ce qui n'a pas fonctionné dans votre relation avec votre ancienne psy et d'apaiser ensuite la souffrance encore présente en vous.
Si vous le souhaitez nous pouvons discuter plus amplement de tout cela ensemble. N'hésitez pas à me contacter.
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Sylvie,
L'objectif d'une psychothérapie, qu'elle soit analytique ou non, a pour objectif de permettre au thérapisant de devenir de plus en plus Sujet dans la relation à l'autre. A cet effet, le transfert n'est utile en thérapie que si l'on sait (bien) s'en servir, mais il n'est pas obligatoire. En aucun cas il ne peut servir à installer une emprise sur autrui depuis une position haute, au risque de provoquer plus de dégâts que de bienfaits.
Par ailleurs, dans la relation thérapeutique le thérapisant reste libre d'interrompre son suivi lorsqu'il juge le moment venu, en prenant l'avis de son thérapeute bien sûr, mais sans emprise de celui-ci.
Enfin, il est tout à fait normal, en cours de thérapie, que le thérapisant manifeste des résistances au changement. Le thérapeute sait normalement les repérer et les utiliser avec finesse et tact, pour aider son patient à dépasser ce stade...
Ce qu'il s'est passé avec votre psychanalyste, que nous ne connaissons pas et que nous nous garderons de juger ici, dit en tout cas autant d'elle que de vous.
Par conséquent je vous invite, si cela vous semble juste, à consulter un(e) autre thérapeute dans une approche autre que la psychanalyse, afin de dépasser l'émotion pénible que vous ressentez et bien terminer la démarche de changement que vous avez commencé.
Bien à vous,
Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative d'EmètAnalyse, thérapie systémique du couple et de la famille, coaching de vie
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Personnellement, mais cela n'engage que moi, je pense que la psychanalyse a ses limites.
Je ne comprends pas comment au bout de longs mois, parfois d’années, le consultant n'avance pas significativement, transfert ou pas transfert avec son psy...
Il existe aujourd'hui bien d'autres approches et si vous vous sentez encore dans le besoin, vous devriez peut-être vous y intéresser.
Si vous souhaitiez en savoir plus sur mon approche et mes techniques, n’hésitez pas à me demander un premier échange, gratuit et sans engagement.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Sylvie,
Je ne connais pas les effets thérapeutiques de forcer un patient à poursuivre une thérapie qu'il ne souhaite pas, mais votre psychanalyse avait certainement ses raisons.
Qu'est ce qui vous a empêché de vous affirmer face à elle ?
Vous attendiez son autorisation pour vous affranchir de la thérapie ?
Aujourd'hui vous vous en voulez beaucoup de lui avoir fait confiance (pour ce qui était bon pour vous), de ne pas vous êtes respecté dans votre souhait de mettre fin à la thérapie et d'avoir l'impression d'être passé à côté de la "guérison".
Je vous invite à être bienveillante à votre égard et à l'égard de tout le travail thérapeutique que vous avez réalisé.
Vous êtes parvenue à vous affranchir de votre psychanalyste en vous affirmant et elle vous a dit "ne pas douter de vos ressources pour rebondir".
Ce sont les deux points auxquels vous pouvez vous raccrocher pour changer votre perception négative de vous même.
Je vous invite à y réfléchir.
Je reste à votre écoute si vous le souhaitez.
Elisabeth Gallice, Psychopraticienne
Consultation en visio ou présentielle
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Vous semblez avoir bien creusé la question théorique du transfert négatif en thérapie. Pour autant, ces tentatives de documentation n'ont pas résolu concrètement votre situation.
Il ne s'agit pas, pour moi, de jeter l'opprobre sur votre précédente psy. Il y aura toujours dans le monde, d'autres professionnels qui vous diront la main sur le cœur qu'eux ne feront jamais cela. Pas de jugement. Pas de discrédit sans exploration approfondie de votre histoire.
Par contre, je m'étonne de l'intensité de ce que vous vivez aujourd'hui : " je vis comme un raté qui me ronge ( à travers une haine contre moi, contre les autres, détestable)". Juste cela nécessiterait de mon point de vue, un accompagnement psychologique, dans l'objectif de dépasser l'épreuve, d'en tirer des enseignements pour l'avenir, et de vous permettre de vivre sereinement la suite de votre vie.
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Sylvie.
Vous n'avez rien raté du tout ; et de mon point de vue, cette haine est une avancée très claire.
Le tout est de réussir désormais à "l'extraire" de la meilleure manière possible.
Dans le transfert, toutes les émotions sont probables voire indispensables : c'est le but même du transfert ; et le psy sait bien que ces émotions ne lui sont pas destinées à lui en particulier. Il est (en tout cas il doit être) en capacité de les accueillir pour vous en renvoyer des positives surtout quand celles reçues sont négatives.
Je vous invite à ne pas analyser toute seule ce qui s'est passé avec le risque justement que cela vous "ronge".
Pour autant, le verbe ronger que vous utilisez peut exprimer différentes hypothèses. Quand vous y pensez, à quoi fait-il référence pour vous ?
Si vous vous sentez, contactez un ou une autre professionnel.le pour travailler ce point précis et les points qu'il resterait à aborder pour que vous vous sentiez bien et mieux. ✨
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Sylvie,
Vous devez garder en tête qu’il est tout à fait normal de pouvoir continuer ou stopper une thérapie à votre bon gré. Vous ne passez aucun contrat avec le ou la professionnel. C’est uniquement un échange qui s’opère. Or dans la relation que vous décrivez, il semble qu’à partir d’un moment, plus rien ne passait entre vous. Cependant, l’influence de cette professionnelle vous a fait rester en séance alors que vous aviez manifesté votre volonté d’arrêter. Si aucune justification ne vous a été donnée, votre réaction semble tout à fait normale. Il n’est dès lors pas nécessaire de culpabiliser aujourd’hui pour cela.
Je note aussi que vous évoquez votre résistance au changement. Toute thérapie exige l’accord et surtout la participation active de la personne en demande. Si vous n’êtes pas prête à cela, il est vain d’espérer avancer.
Je reste à votre disposition et à votre écoute,
Christophe
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
Rendez-vous en ligne uniquement pour plus d’intimité par téléphone, visioconférence ou mail à votre convenance.
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Vous devez vous aimer vous même, vous avez vécu tellement de choses. Le plus important est de penser à l'avenir, quoi faire?
Simplement, regarder de l'avant et j'aurais tellement de suggestions à vous offrir.
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Sylvie,
Cette psychanalyste n'a pas su arrêter quand vous alliez mieux. 7 ans c'est la durée d'une psychanalyse. Vous êtes restée avec votre incompréhension et de la colère sans pouvoir clôturer le travail fait à travers cette analyse. Et c'est cela dont vous avez encore besoin : clôturer ce cycle de 7 ans. Vous pouvez tout à faire terminer de faire ce chemin avec un autre thérapeute. Cela vous aidera également à départager ce qui vous appartient de ce qui appartient à cette psychanalyste.
Je suis à votre disposition si vous souhaitez en parler.
Chantal JEAN
Thérapeute en Relation d'Aide
Séances en face à face dans mon cabinet à Paris 5e ou en visioconférence sur Skype ou Messenger
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour Sylvie,
La psychanalyse est une approche particulière... Et certains psychanalystes jouent sur ce fameux transfert pour garder leurs patients(es)...Bref ...
Maintenant, si cette expérience vous laisse un goût amer, vous pouvez le travailler avec des techniques spécifiques de certains praticiens (voir mon profil).
Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative et holistique
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Par expérience , je vous dirais d'aller dire à
votre analyste ce que vous nous écrivez de façon si fine.
En demandant un entretien en face à face ( si vous étiez en position allongée ).
C'est sans doute , le meilleur moyen d'apaiser ce que vous ressentez.
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Sylvie,
Je suis toujours étonnée de la pratique de certains psy. J’ai du mal à comprendre que l’on vous force à rester et à revenir.
Personnellement, c’est une victoire quand mes patients partent le sourire aux lèvres et le cœur léger. Je leur exprime toute ma gratitude pour nos échanges. Pour moi c’est une grande victoire et une récompense de les voir s’épanouir et être heureux enfin.
Je pense que vous êtes tombée sur le mauvais thérapeute. J’en suis désolée pour vous.
18 FÉVR. 2022
· Cette réponse a été utile à 4 personnes
Bonjour,
Ce qui est étonnant c'est la haine que vous ressentez envers vous-même? Y a-t-il eu des similitudes avec votre histoire d'enfance, dans cet arrêt brutal de la part de votre psy? Vous êtes au cœur d'un schéma dont il vous serait bénéfique de vous détacher. Ce qui est arrivé vous a touché profondément. L'un/l'une d'entre nous peut prendre le relai
Bien à vous
Inès AVOT