Suis-je sujette à un trouble de la personnalité borderline ?

Réalisée par Olivia116 · 1 janv. 2022 Trouble de la personnalité

Bonjour, je m'appelle Olivia, j'ai 21 ans et je suis étudiante en 3ème année de psychologie.
Ok alors tout d'abord, je sais que personne ne peut me faire de diagnostique via internet, mais j'ai quelques question concernant le trouble de la personnalité borderline.
En fait, l'année dernière lorsque j'étais en L2, j'ai eu droit à mes premiers cours de psychopathologie, où nous avons parlé des différentes carences, psychoses, névroses, et surtout des états-limites. Je suis consciente que je n'ai pas un avis objectif, et encore moins celui d'un expert, et que je ne peux rien m'auto-diagnostiquer, mais lorsque la question des états-limites à été évoquée, j'ai été frappée par la description qu'en faisait le prof : c'était tout moi.
Je sais, je sais, lors de ce genre de cours on arrive toujours à se reconnaitre parmi les symptômes de certains troubles ou certaines maladies, mais là, j'ai été vraiment choquée, c'était impressionnant à quel point la description me correspondait.

Je me suis donc renseigné un peu plus en profondeur, notamment sur le site de l'aforPEL, et j'ai même fait deux petits test (même s'ils sont loin de pouvoir remplacer un véritable diagnostique, je pense qu'ils peuvent tout de même servir d'indicateur), et les résultats correspondaient à un profil plus borderline que "normal".

J'ai également consulté le DSM-V (autour de la page 663, du moins dans la version anglaise) afin de voir quels étaient les critères diagnostique et je corresponds visiblement, selon moi, à au moins 5 sur les 9 existants :

- Peur de l'abandon et déploiement d'efforts surhumains pour éviter l'abandon (J'ai tellement peur d'être abandonnée par mon/ma partenaire, voire même par mes amis, que ça en devient inquiétant : j'ai l'impression que je mourrais si certaines personnes venaient à me dire qu'elles ne voulaient plus me parler. C'est d'ailleurs ce qui est arrivé en mars dernier et je l'ai véritablement vécu comme une rupture amoureuse, alors que je considérais cet homme comme étant un frère pour moi, et non pas un amoureux. L'abandon est quelque chose qui me terrifie au point que j'ai déjà par le passé, cédé à du chantage du type "envoie moi une photo de ton entrejambe tout de suite ou c'est fini" de la part d'un de mes ex-copains, et que mon attachement et ma jalousie pour certaines personnes relèvent presque du pathologique.)

- Des relations instables et intenses qui alternent entre l’idéalisation et le dénigrement de l’autre. (Parfois je suis tellement en fusion, en symbiose avec la personne, et soudainement au bout de quelques semaines je ne veux plus parler à cette personne, parce que je me lasse, ou que la personne a dit une seule chose qui ne m'a pas trop plu, ou quelque chose dans ce genre, et hop je ne veux plus lui parler. En fait je ne sais pas trop expliquer ce trait de caractère mais en gros je passe du tout au tout : de la relation fusionnelle à rien, à prendre pour modèle une personne que j'affectionne beaucoup, puis l'instant d'après avoir envie de lui dire qu'elle est stupide et ridicule. Deux de mes amis ont dit que je les avais traités "comme de la merde" à "toujours les rabaisser" apparemment, et ça me fait mal et me blesse parce que je ne m'en rends même pas compte la plupart du temps : je ne souhaite pas volontairement être méchante, je ne veux pas être manipulatrice, ni être une "connasse".)

- Agissement de façon impulsive dans au moins deux domaines susceptibles de me nuire (je fais énormément d'achats compulsifs et de dépenses impulsives alors que je n'en ai pas forcément les moyens + j'ai des troubles du comportement alimentaire qui entrainent souvent chez moi une hyperphagie, ou parfois au contraire un arrêt de la prise alimentaire pendant plusieurs jours. Au fil des années ma masse graisseuse à augmenté à cause de ces boulimies (sans vomir après), et de ces moments où je ne mangeais pas jusqu'à faire des malaises vagaux, et je suis maintenant en surpoids. D'ailleurs ce qui est marrant c'est que j'ai conscience que je suis grosse, et ça m'obsède même, mais dans mes rêve, j'ai absolument TOUJOURS mon ancien corps, celui que j'aimerais retrouver. Je n'ai JAMAIS rêvé de mon corps actuel.)

- Comportements, gestes ou menaces suicidaires récurrents, ou comportement d'automutilation (Ok ne vous inquiétez pas, je n'ai jamais essayé de me suicider : l'idée m'a traversé l'esprit de très nombreuses fois dans ma vie, j'ai déjà inventé des lettres d'adieux dans ma tête, mais je n'ai jamais voulu franchir le pas. En revanche, l'automutilation est devenue une sorte "d'addiction" pour moi depuis mon adolescence, et même si je me suis calmée avec ça, il m'arrive encore, une fois tous les 2 ou 3 mois, de me couper couper couper la cuisse gauche pour que la douleur sorte, pour arrêter de souffrir. Maintenant je n'utilise cette méthode qu'en dernier recours, lorsque je n'arrive pas à me calmer pendant plusieurs heures.)

- Se met en colère de façon inappropriée et disproportionnée ou a des difficultés à contrôler sa colère (Pour être honnête, ce problème va de pair avec la mutilation : je me coupe lorsque je suis si triste que j'ai l'impression que je vais en mourir si je ne fais rien, mais également lorsque je suis enragée contre quelqu'un (pour des raisons souvent un peu disproportionnées), voire contre moi-même. Il m'arrive très très souvent d'avoir de gros excès de colère et mes amis me l'ont déjà fait remarquer plusieurs fois. Quand ça arrive, j'ai l'impression que la seule façon de redevenir normale est de me couper, ou le plus souvent, de me frapper la tête, les cuisses, ou de me griffer avec mes ongles. J'ai besoin de détruire quelque chose, et souvent la première chose qui me passe sous la main, c'est mon corps.)

- Présente de rapides changements d’humeur, qui ne durent généralement que quelques heures et rarement plus de quelques jours. (Ca je ne suis pas sure de moi en vrai, donc je ne le compte pas vraiment dans les critères que je coche).

Concernant la dissociation, je crois que je n'en ai jamais eu (la définition de la dissociation est floue pour moi, mais si c'est une impression de ne pas être soi-même, je ne crois pas que ce me soit déjà arrivé), et pour les pensées paranoïaques et persécutrices je ne sais pas non plus si j'en ai, c'est compliqué à savoir.

Bref, j'aimerais me faire diagnostiquer, mais comment ? Si j'arrive à prendre rendez-vous auprès d'un psychiatre et lui dis d'emblée : "je suis là parce que je pense que je pourrais être atteinte de trouble de la personnalité borderline" il risque de me prendre pour une folle. Et puis d'ailleurs comment il pourrait me diagnostiquer ça ? Comment ça se passerait ?
Vous devez vous dire que je suis obsédée par l'idée d'un diagnostique, mais c'est parce que j'ai besoin de réponses, j'ai besoin de savoir dans quelle case je rentre, et ce que je suis vraiment. Au cours de mon adolescence les différentes psychologues que j'ai vu m'ont toutes posées des étiquettes en guise, non pas de diagnostique, mais d'intuition : "ça ne m'étonnerais pas que tu sois autiste asperger, il faut te faire tester au CRA" ou "non je ne pense pas que tu sois asperger, mais peut-être haute potentielle" (je ne sais même pas ce que ça veut dire exactement en plus !)
Et maintenant je ne sais pas qui je suis, tout ce que je sais c'est que je ne suis pas "normale" ni "comme tout le monde", mais pas dans un bon sens du terme. Je veux savoir ce que j'ai, pourquoi je ressens tout ça, pourquoi je n'arrive pas à garder d'amis, pourquoi je suis enragée, pourquoi je suis bizarre, et je n'ai aucune réponse parce que je suis incapable d'aller chez un putain de psychiatre pour poser ma question, de peur de passer pour une folle, ou qu'il ne me prenne pas au sérieux.

Désolée pour le pavé, je ne sais même pas si c'est compréhensible, désolée je suis juste perdue et ne sais pas quoi faire

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Meilleure réponse 2 JANV. 2022

Bonjour Olivia.

Je vous ai lu entièrement et je reconnais et je comprend votre souffrance.

J ai l impression que vous avez déjà poser le diagnostique car votre recherche est très précise. D ailleur avec le dsm 5 normalement vous êtes capables de vous faire un avis je pense.

Pourquoi ce biais de pensée : télépathie (deviner les pensées des autres), croire qu un psychiatre vous prendrait pour une folle alors que c est son métier de faire des diagnostiques pour des personnes qui doutent et aimeraient être rassurées (informées surtout). Et pour certains l information permet de se sécuriser. Donc toute votre entreprise est tout à fait légitime !

Il n y a rien d anormal par rapport à votre démarche, surtout si vous en souffrer. La souffrance cache le besoin de changement.

J ai l impression que vous avez toutes les clefs pour faire ce dont vous avez besoin. Donc pourquoi ne pas le faire ? Avez vous peur de la suite ? De ce que vous pourriez découvrir ?

Je pense aussi que l instabilité de l état limite peut amener cette pensée de se sentir fou. Je connais un pur état limite qui a un besoin de contrôle fort et du coup ne pas arriver à se contrôler (ses émotions surtout) quand on a ce besoin de contrôler et donc cette peur de perdre Le contrôle (et donc d être fou..) peut expliquer cette pensée.

Enfin en psychanalyse on apprend aussi que l état limite ne trouve pas de sens dans la vie. D ailleur on distingue dépression limite (perte de sens) et dépression névrotique qui est surtout du à un sentiment d impuissance. Ce n est pas du tout le cas dans l état limite. Il s agirait surtout d une frustration forte et d une difficulté à gérer ses émotions. A cause de pensées rigides et ce tout ou rien (ce qui est un biais de penséeaussi). + tout ce que dit le domaine.

Pour être honnête avec vous une personne proche est état limite et nous avons fait un gros travail :

Analyse profonde du passé... une colère exagéré et excessive raisonne du passé peut être. Pour comprendre son comportement aussi.

TCC, pour travailler sur les biais de pensées qui sont des pensées rigides et extrêmes donc générant des émotions du même type. En tcc on peut aussi travailler sur les comportements. Pourquoi ce comportement, quel est le bénéfice secondaire, qu est ce que cela vient combler comme besoin et comment combler ce besoin autrement de manière plus adapté.

Et enfin gros travail sur la connaissance de soi. Car la dépendance affective particulière de l état limite semble selon moi l empêcher de se connaitre et de trouver du sens dans sa vie.
Comment savoir où aller si on ne se connaît pas vraiment ? Comment savoir où aller si on ne connaît pas ses valeurs ? Les valeurs sont comme une boussole dans la vie qui nous donne la voie de notre épanouissement. Cela permet de savoir ce qui est vraiment important et ce qui à du sens pour soi. Comment savoir où aller si on ne connaît pas sa mission de vie ? Qui on veut être vraiment et ce qu on veut apporter au monde qui nous correspond vraiment ? Comment savoir où aller si on ne connaît sa personnalité ? Comment on fonctionne, raisonne et se comporte ? Et une personnalité est adapté à certaines activités.

A votre écoute si besoin.

Mathieu PERE-ESCAMPS (psychopraticien et coach)
Spécialisé en Analyse, thérapies brèves et PNL.

Mathieu PÉRÉ-ESCAMPS Psy sur Eysines

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3 JANV. 2022

Bonjour,

Comment allez-vous ? Puis-je vous souhaiter une belle année ?...

Le psychiatre Salim Rzin, (Psychologue.net.
Soma school integrative), expliquait qu'on peut parfois, davantage, avoir une lecture évolutive des choses, qu'en terme de diagnostic.

L'intérêt est de s'identifier avec conscience.

Le temps nous apportant parfois des réponses.

Nous pouvons même, parfois, être dans la mauvaise voie. Ne pas le savoir du tout.
Et même, être induit en erreur par d'autres, ou ne vraiment pas connaître discernement pour nous-mêmes.

Ce qui est important, c'est de ne pas se trouver en souffrance.

Je suis Psycho-philo-praticienne, sur les métiers du développement personnel, conscience et bien-être. J'aime travailler avec un état d'esprit en lien avec les sciences quantiques. Je ne suis pas sur les voies cliniciennes ou psychiatriques. Je ne poserai donc aucun diagnostic arrêté de bipolarité ou en terme de mutilation, ou de personnalité (limites )*-> bordeline, en terme d'indications référentielles fixes, mais vous avez tout mon soutien, pour malgré tout, je vous le souhaite, trouver réponses à vos questions, puis aussi, de ma part, vous souhaiter gagner conscience encore.

Ce qui est important, c'est surtout, de vivre l'être social que nous sommes, pour nous-mêmes. C'est surtout cela que je vous souhaite de gagner. La connexion corps esprit, phasique.

Parfois, le mal-être provoque comportements en réponse, et nous ne réalisons pas vivre au delà, par rapport à ce qui nous atteint.

Toute expression bipolaire ou même, en terme de mutilation, est reliée à notre état nerveux, émotionnel, psychique, anxieux ou angoissé... Entre agressivité et amour... C'est de comprendre les liens dont on souffre. Car notre état ne nous apparaît pas, intérieurement, nous faire vivre en dent de scie, de manière intensive, qui pourrait, nous mettre en danger, c'est à dire, que nous ne le maîtrisons pas, mais notre conscience peut déjà nous protéger et nous inviter à connaître meilleure personnification pour nous-mêmes, donc évoluer...

Osez.

Tous mes encouragements

Lou Sarah Sheyen

Sheyen Evolving Psycho-philo-practice.

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3 JANV. 2022

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Nous pouvons même, parfois, être dans la mauvaise voie. Ne pas le savoir du tout.
Et même, être induit en erreur par d'autres, ou ne vraiment pas connaître discernement pour nous-mêmes.

Ce qui est important, c'est de ne pas se trouver en souffrance.

Je suis Psycho-philo-praticienne, sur les métiers du développement personnel, conscience et bien-être. J'aime travailler avec un état d'esprit en lien avec les sciences quantiques. Je ne suis pas sur les voies cliniciennes ou psychiatriques. Je ne poserai donc aucun diagnostic arrêté de bipolarité ou en terme de mutilation, ou de personnalité limites, en terme d'indications référentielles fixes, mais vous avez tout mon soutien, pour malgré tout, je vous le souhaite, trouver réponses à vos questions, puis aussi, de ma part, vous souhaiter gagner conscience encore.

Ce qui est important, c'est surtout, de vivre l'être social que nous sommes, pour nous-mêmes. C'est surtout cela que je vous souhaite de gagner. La connexion corps esprit, phasique.

Parfois, le mal-être provoque comportements en réponse, et nous ne réalisons pas vivre au delà, par rapport à ce qui nous atteint.

Toute expression bipolaire ou même, en terme de mutilation, est reliée à notre état nerveux, émotionnel, psychique, anxieux ou angoissé... Entre agressivité et amour... C'est de comprendre les liens dont on souffre. Car notre état ne nous apparaît pas, intérieurement, nous faire vivre en dent de scie, de manière intensive, qui pourrait, nous mettre en danger, c'est à dire, que nous ne le maîtrisons pas, mais notre conscience peut déjà nous protéger et nous inviter à connaître meilleure personnification pour nous-mêmes, donc évoluer...

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2 JANV. 2022

Bonjour Olivia,
Ce qui est important c'est de traiter votre mal être, que vous soyez dans un trouble Borderline ou pas.
Mon approche thérapeutique me permet de porter une évaluation sur les différents troubles de la personnalité ayant des questionnaires clinique à ce sujet et ayant une formation en psychopathologie (voir mon profil). Mais qu'importe au final, même si vous l'étiez, cela n'exclue pas de commencer une thérapie.
Attention de ne pas confondre des schémas dysfonctionnels et les troubles de la personnalité.
Un psychiatre pourra éventuellement vous diagnostiquer mais vous donnera un traitement médicamenteux. Ce n'est pas ce type de thérapie qui pourra vraiment vous aider...

Restant à votre écoute,
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative et holistique

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

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2 JANV. 2022

Bonjour Olivia,

Et bien que de questionnements… oui effectivement, quand on est en psychopathologie, on se voit partout et ça c’est tout à fait classique. Après vous vous retrouvez dans les états limites, pourquoi pas et le diagnostic changera quoi à votre vie clairement?

Vous parlez de normalité, mais qu’est ce que la normalité pour vous?

Je vous conseille de suivre une thérapie avec le thérapeute de votre choix et surtout de vous apaiser.

Meilleurs vœux 2022

Excellente continuation dans vos études

Je reste à votre écoute

Bien à vous

Marjorie Lugari Psychanalyste

Anonyme-377370 Psy sur Aix-en-Provence

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2 JANV. 2022

Bonjour Olivia,
Et si avant de vous coller une étiquette, de consulter un psychiatre, vous vous intéressiez à la façon dont vous vous êtes construite ? Pourquoi voulez vous rentrer dans une case ? C'est dangereux et la nature humaine est bien trop complexe pour qu'on confie à des tests la responsabilité de dire qui on est.
Je pourrais vous proposer une autre lecture de ce que vous ressentez.
Si vous souhaitiez en savoir plus sur mon approche et mes techniques, n’hésitez pas à me demander un premier échange, gratuit et sans engagement.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Véronique Blanche Psy sur Quessoy

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2 JANV. 2022

Bonjour,
Il est fréquent lors des études de psychopathologie de se reconnaître dans une pathologie, ou dans une structure de personnalité, cela ne révèle pas forcément la réalité, mais un besoin de creuser la question et un désir profond de se connaître, ce qui est une très bonne chose.
Si vous avez choisi ce cursus, ce n’est pas par hasard et la psychothérapie est avant tout une rencontre avec soi.
Je ne peux que vous conseiller de sauter le pas et de prendre rdv car votre travail de recherche sur cette pathologie ne révèle pas pour autant votre cas même si vous trouvez des similitudes.
Je consulte également en visio si vous le souhaitez.
Bonne journée

Florence Tarrade ' Psy sur Marseille

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2 JANV. 2022

Bonjour Olivia
Je pense que vous vous êtes beaucoup documentée sur la question, et comme vous le voyez, vous n'arrivez pas à vous mettre dans une case.
Mais cela ne semble pas être rassurant pour vous.
Ce qui est rassurant c'est que vous ne vous trouvez pas "normale" ni "comme tout le monde" (pourquoi pas dans le bon sens, c'est justement sur cela qu'il vous faut travailler). N'est-ce pas le but de tout être humain: surtout ne pas être comme tout le monde?
Je pense que c'est le regard que vous portez sur vous, qui est à modifier.
Changez votre regard négatif sur vous, plutôt que de vouloir vous changer.
Si vous en sentez le besoin, nous sommes là, pour vous aider à vous aimer
Bien cordialement
Inès AVOT

Inès Avot Psy sur Lille

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