Bonjour,
Je suis tombée par hasard sur votre site et souhaiterai des conseils pour réussir à surmonter la fausse couche.
Mon mari et moi avons déjà un enfant et je suis tombée enceinte de notre deuxième qui été lui aussi voulu. La grossesse se passait bien, aucune douleur mais au bout de 14 SA, et pendant l'échographie notre médecin nous indique que c'est une grossesse arrêtée. Ce fut le début d'un long calvaire psychologique et physique. Le médecin nous adresse aux urgences, services maternité, dans la salle d'attente en compagnie de nombreuses futures mamans venues là pour leurs examens et qui ont le ventre bien rond alors que vous perdez votre bébé. J'ai du porter notre enfant pendant des jours en attendant "une expulsion" à la suite de la prise des comprimés qui n'ont pas fait effet. Des jours pendant lesquels vous ne cessez de penser, de craindre et d'espérer en même temps cette expulsion. Lors de la visite de contrôle prévue 10j plus tard, il à été décidé qu'il fallait procéder à une aspiration car l'embryon été toujours présent. Finalement quelques heures plus tard, "l'expulsion" s'est faites naturellement, dans la douleur, le sang et finies aux urgences dues à une perte de sang très conséquente. Aucun médecin ne vous prévient à quel point une fausse couche peut être douloureuse.
Depuis que nous avons perdu ce bébé, j'ai du mal à envisager une future grossesse dans la sérénité. Je ne supporte plus les gens, mes collègues, d'aller au travail. Je dors plutôt bien mais je me réveille systématiquement vers 1h du matin jusque 3 ou 4h. Je n'ai pas vraiment de motivation et envie de faire quoi que ce soit. Je me sens parfois très bien mais il suffit d'un mot, d'une image pour me casser et parfois pleurer. On m'a conseillé d'aller voir un psychiatre mais j'ai une impression assez négative. Je ne me vois pas parler à un inconnu, qui me dira sûrement ce que les autres médecins mont déjà dit. "C'est la nature", "1 femme sur 4 vivra une IG", "vous êtes jeunes et pourrait en faire d'autre etc.."
Je comprends bien que je ne dois pas culpabiliser, que c'est la nature, que c'est courant. Mon cerveau l'a bien compris mais mon coeur n'accepte pas et je suis fatiguée de batailler entre mes deux pensées. Je suis triste, en colère. Je porte un regard sur la thérapie un peu négatif malheureusement et ai du mal à envisager accepter d'en faire une, je me sentirai comme folle/faible .. je ne sais pas comment décrire mais en même temps je ne vois pas comment me sortir de cette situation.
Merci,
Cordialement,
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23 OCT. 2023
· Cette réponse a été utile à 28 personnes
Bonjour,
Une fausse couche ne doit jamais être banalisée ni vulgarisée. Un tel évènement EST traumatique en premier lieu. Un traumatisme n'est jamais mineur et dans tous les cas ne doit pas être négligé. Cet enfant était voulu, déjà aimé. ce n'est pas parce qu'il n'est pas arrivé à terme qu'il n'en possède pas une existence réelle pour vous et votre mari surtout sur le plan psychique.
Cette perte de nature traumatique conduit irrémédiablement vers un deuil qui est un des processus psychique les plus complexe à résoudre. Ces évènements sans pourquoi et comment ne peuvent se suffire du simple concept de la fatalité. Le processus de deuil me semble chez vous comme "bloqué" faute d'éléments pour sa résolution. Cela explique également votre blocage à vous projeter vers une autre grossesse.
Je vous invite vivement à consulter un professionnel de votre choix. Un traumatisme doit être pris en charge immédiatement car il inonde généralement tout l'espace psychique. Je suis d'ailleurs pleinement surpris que le corps médical ne vous ait pas proposé un accompagnement immédiat ne serait-ce qu'à titre préventif. Verbaliser et extérioriser vos ressentis de ces évènements me semblent une priorité pour limiter les effets post traumatiques du trauma. Viendra ensuite la phase du travail de deuil qui n'est pas simple et demande beaucoup d'énergie. Un accompagnement durant cette phase me semble aussi plus que souhaitable pour établir des bases saines pour l'avenir. Ne ne savons rien de vous ni de votre capacité à faire le deuil. L'association traumatisme + deuil me semble être un processus colossal que vous ne pouvez surement pas négliger et qu'il n'est pas prudent d'affronter seule.
J'espère vous avoir convaincu de ne pas sous estimer cet épisode de votre vie car je ne crois que vous soyez venue poster vos lignes par hasard.
Bien à vous
10 OCT. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Sos,
Vous n'avez pas besoin de faire une psychothérapie longue mais je vous conseille fortement d'aller voir un psy, pour du soutien, car vous êtes en deuil, tout simplement. Je répondrais au médecin qui vous a dit que "c'est la nature, car 1 femme sur 4 vit une IG" que c'est aussi la nature d'être en deuil quand on a vécu une perte, et vous en avez vécu une, vous avez perdu un enfant. Un professionnel de la psychothérapie sera à même d'accueillir inconditionnellement votre douleur, votre colère, votre tristesse et vous serez dans un espace sécurisé pour en parler.
Bon courage à vous!
Frédéric Duquerois
Psychopraticien en Analyse Transactionnelle
Adultes et Couples, en Individuel et en Groupe.
Nantes
29 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Madame,
Tout d'abord, recevez toute ma compassion dans ce deuil que vous êtes en train de traverser.
Car même si à 14 semaines il s'agit bien d'un "embryon" (et non d'un "enfant"), dans votre esprit il s'agissait déjà d'un bébé, et d'un projet de vie dans lequel vous vous projetiez, avec votre famille.
Il vous faut donc accepter de traverser la phase des émotions lié au deuil, qui vous permettra ensuite de vous relier de nouveau au vivifiant, ne serait-ce que pour ne pas induire une double peine chez votre premier enfant, qui perdrait non seulement un projet de frère ou de une soeur, mais également sa maman joyeuse et pleine de vie dont il a besoin...
Quant à la thérapie, il s'agit de ne pas confondre les psychiatres qui sont des médecins (qui souvent ne proposent pas de thérapie mais des médicaments) qui traitent les troubles psychopathologiques et psychotiques (la "folie" à laquelle vous faites allusion), et les psychothérapeutes ou psychologues qui eux accompagnent les bleus à l'âme, tel que le deuil. Il est des situations de Vie dont on ne peut se sortir qu'avec de l'aide. Ce n'est pas être "faible", mais simplement avoir la sagesse de reconnaitre que l'on ne peut TOUJOURS TOUT maitriser/contrôler, surtout pas la Vie et la Mort, qui nous dépassent...
Bien à vous,
Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, thérapie systémique du couple et de la famille, coaching relationnel et parental.
29 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour, vous avez franchi un cap important en racontant les étapes de votre calvaire et en exprimant combien il a bouleversé votre vie. Cette expression " fausse couche " masque la dure réalité : il s'agit d'une vraie mort. Celle de l'enfant porté, celle de vos désirs et projections de votre espoir. Il s'agit de faire un travail de deuil, ce qui nécessite du temps et de l'aide. Consulter un psychiatre n'est peut être pas nécessaire mais choisir, seule ou avec votre mari, un espace de therapie est important. Vous ne pouvez pas continuer votre vie sociale professionnelle et familiale comme si rien ne s'était passé. Pour pouvoir réinvestir votre présent et vous projeter dans l'avenir vous avez besoin de parler de votre vécu traumatisant, de consolation, d'outils et d'actes symboliques pour faire votre deuil.
Je suis à votre disposition pour vous accompagner dans cette épreuve.
Bénédicte GABORIAU
Therapie individuelle et familiale
29 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Sos,
Ce que vous avez vécu n'est pas anodin. Vous traversez, à présent, une période douloureuse et dépressive que vous devez prendre au sérieux.
Allez voir un psychiatre n'est pas la seule option. Vous avez besoin de rompre se sentiment de solitude et de pouvoir partager ce que vous ressentez avec une personne réceptive. A juste titre, vous craignez que l'on banalise votre interruption de grossesse. Ce que vous avez vécu n'a rien de banal. C'est une épreuve douloureuse de la vie. Aujourd'hui vous souffrez psychologiquement et vous avez un travail de deuil à accomplir. Votre meilleur allié c'est le temps, mais cela ne suffit pas. Vous avez besoin d'exprimer, de verbaliser ce que vous vivez et je vous invite à prendre contact avec un(e) psychopraticien(ne) pour vous faire accompagner.
Je reste à votre écoute, si vous le souhaitez.
Bien à vous,
Philippe MATHIAS
28 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Madame,
Merci d’avoir eu le courage de nous partager la perte de votre bébé, d’évoquer cette absence abysalle d’accompagnement et de présence tout simplement à vos côtés pendant cette épreuve terrible que vous avez traversé « ce long calvaire psychologique et physique » lié à cet arrêt brutale de votre grossesse.
Le vide est présent partout dans votre vie .
Personne le comprend et l’entend ni même le perçoit et, cela renforce le sentiment d’être seule au monde face à ce tsunami.
Merci d’évoquer aussi simplement la peur de voir un thérapeute ou un psychiatre, la peur des mots, des phrases toutes faites. Vous avez perdu un bébé, qui sommes nous pour juger ou vous dire quoi faire. Il y a une partie de vous qui est triste et une autre partie de vous qui est en colère la maintenant et c’est parfaitement normal. Le deuil est tellement personnel. Merci d’avoir osé vous exposer en écrivant ses mots.
Marie
28 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Madame,
il est important d'entendre à la fois votre besoin d'être accompagnée pour traverser cette période et votre représentation négative de la thérapie.
Dans un premier temps, j'aimerai vous demander: votre regard négatif se pose-t-il sur la psychothérapie avec un psychiatre? Un psychologue? Si votre représentation négative de la thérapie repose surtout sur le fait de se sentir folle ou faible, j'ai envie d'être audacieuse en vous proposant d'essayer. Il est possible alors que vos représentations s'estompent d'elle-même très rapidement.
De plus, il existe plusieurs formes de thérapie. Si les entretiens individuels ne vous mettent pas à l'aise, pourquoi pas essayer des groupes de paroles? Il existe également l'art-thérapie qui propose d'autres voies d'expressions. Il y a aussi les "thérapies dites alternatives" types sophrologie, méditation, yoga... que pensez-vous de celles-là?
Dans un second temps, il y a la possibilité de s'autoriser à faire une pause par rapport à vos habitudes de la vie quotidienne et s'ouvrir à de nouvelles habitudes pour se faire du bien. Quelles activités aimaient vous particulièrement? Quelles sont celles pour lesquelles vous n'avez jamais le temps et pourtant que vous aimeriez faire/essayer? Passer un long week-end dans un lieu que vous affectionnez ou vous ne connaissez pas avec vos amis, votre conjoint voir même seule vous semblent-ils possible? Il ne s'agit pas d'oublier cette expérience douloureuse, mais de vous autoriser à penser à autre chose et de continuer à vivre, différemment certes car ce type d'expérience nous invite à se vivre différemment, mais continuez à vivre. Se ressourcer me semble être essentiel pour accueillir ensuite toutes les émotions de manière sécure.
En espérant que cette réponse pourra vous apporter une aide.
Prenez-bien soin de vous.
Psychologiquement votre.
Elsa Banik
Psychologue clinicienne et Art-thérapeute
28 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Vous avez un besoin urgent de voir au moins un psychothérapeute, ne serait-ce que pour dire à quelqu'un ce que vous éprouvez.
Pouvoir parler de ce que vous ressentez et pouvoir exprimer votre douleur. Vous avez raison vous n'avez pas à culpabiliser bien que vous le fassiez quand même un peu. Mais surtout vous avez à vivre cette fausse couche comme un deuil. Vous avez perdu un enfant. Il ne faut pas que la culpabilité vous fasse courir le moindre risque de ne pas parvenir à faire ce deuil. IL est tout à fait normal que vous ne pensiez pas aujourd'hui à avoir un autre enfant. Ce désir reviendra lorsque le deuil sera en voie d'achèvement et que la culpabilité vous aura quitté.
Prenez soin de vous.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.
Bon courage à vous
Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
28 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour SOS,
Ce que vous traversez est une épreuve et il n’y a pas à la banaliser sous prétexte que les fausses couches sont "courantes" et que vous n'êtes pas la seule. C’est difficile et cela n'enlève rien à votre peine et vos craintes.
Prendre appui sur des personnes extérieures peut vous aider à traverser ce moment et faire votre deuil. Le travail avec un professionnel (pas nécessairement un psychiatre) peut vous aider. J’entends aujourd’hui que vous ne souhaitez pas aller dans cette voie, peut-être plus tard, lorsque vous en aurez l'envie. En attendant, il existe certainement autour de chez vous ou sur les réseaux des groupes de paroles et de partage réunissant des personnes ayant vécues des expériences similaires à la vôtre. Ces espaces sont souvent très soutenants et peuvent vous permettre à vous et à votre mari de traverser ce moment, de vivre votre deuil pour ensuite, si vous le désirez, envisager une nouvelle grossesse plus sereinement.
Ce qui est important c’est que vous ne soyez pas seule dans ce moment douloureux et que vous disposiez d’un espace suffisamment sécurisant et accueillant pour évoquer tout ce qui vous traverse, tout ce que cette perte implique, chamboule et redessine pour vous et votre entourage.
28 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour
Merci pour votre message qui me touche beaucoup.
Tout d'abord, il vous faut comprendre que c'est un traumatisme que vous avez subi. Votre parcours tel que vous me le décrivez est de nature à entraîner un véritable traumatisme. Ne sous-estimez pas ce que vous venez de vivre cela laisse des traces.
De plus la perte de ce bébé est en deuil.
Le deuil est un processus, il se caractérise par plusieurs étapes, chacune d'elles ne pouvant advenir que si la précédente et termine. C'est donc un processus qui prend du temps. Il est donc tout à fait normal que vous vous sentiez perdue ou déstabilisée par l'épreuve que vous venez de traverser.
Il faudra un petit peu de temps pour que vous retrouviez toute votre sérénité, pour que vous puissiez envisager une nouvelle grossesse.
Accepter de se faire aider pour traverser une épreuve n'est pas un signe de faiblesse, ce serait plutôt signe de maturité. Il y a de nombreux secteurs dans notre vie où l'on s'autorise à demander de l'aide, pourquoi exclure la sphère émotionnelle ?
Une thérapie n'est pas une marque de folie, on parle d'accompagnement thérapeutique, vous pouvez donc imaginer quelqu'un qui se tient à côté de vous pour cheminer avec vous.
Il existe de nombreuses approches thérapeutiques, certains font partie des thérapies que l'on appelle thérapies brèves, l'approche active est de ce nombre. Il ne vous faut donc pas imaginer une thérapie qui dure des années.
Le recours à une thérapie vous permettra de traverser plus rapidement et avec plus de sérénité la situation difficile dans laquelle vous êtes, .
Je reste à votre disposition si vous souhaitiez approfondir cet échange, n'hésitez pas à me contacter.
27 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Chère Madame,
Je vous remercie d'avoir eu le cran de nous écrire.
Une fausse couche est une véritable épreuve de vie qu'il ne faut pas minimiser. Cela a beau être "courant" , c'est un vrai déchirement quand cela nous arrive. Et je compatis à votre souffrance.
La fausse couche que vous avez vécu a traumatisé tout votre être (esprit, coeur et corps compris) et je comprends qu'aujourd'hui vous ressentez dans le stress post traumatique de cet événement traumatisant.
Pour moi, vous avez un travail de deuil à faire et le trauma associé à traiter, pour pouvoir aller plus sereinement de l'avant.
Pour cela, je vous recommande de vous faire suivre par un psy spécialisé dans la gestion des traumatismes ( qui par exemple pratique l'EMDR ou une technique associée). Quelques séances seulement devraient pouvoir vous apporter de l'apaisement.
Bien à vous,
Clarisse Fiorio - Hysys Thérapie
Psychopraticienne en thérapies brèves
Thérapie de couple, individuelle et sexothérapie
27 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Madame,
Vous avez vécu un événement très douloureux et physiquement et psychologiquement.
Comme toute future mère vous avez probablement commencé dès le début de la grossesse d’imaginer votre futur bébé et l’investir avec amour.
Donc, vous avez été choqué d’apprendre que l’embryon que vous portiez n’était plus viable, et vous avez souffert dans votre chair pour vous en séparer.
Le sentiment d’incompréhension et d’injustice est fort dans ce type de situation.
Faire le deuil de l’enfant désiré et imaginé est difficile. Vous êtes déprimée, c’est naturel d’être triste.
Mais si cet état de tristesse perdure et vous empêche de bien dormir et de vivre…, allez parler de tout ce qui vous traverse (émotions, sentiments et pensées) vous soulagera.
Le psychiatre est un médecin qui peut vous donner des antidépresseurs. Je ne sais pas si vous en avez vraiment besoin.
Quelques séances de thérapie pourront suffire à vous aider à dépasser votre détresse.
Une thérapie n’est pas pour « les faibles », elle est une aide précieuse pour tous ceux qui, dans un moment difficile de leur existence, ont la force de désirer d’aller mieux.
Vous avez probablement vécu dans une famille où toute souffrance était vue comme une faiblesse, donc niée et pas écoutée et certainement pas entendue : c’est difficile ensuite de demander de l’aide…
Je vous souhaite de dépasser vos difficultés actuelles et de réussir à penser qu’il n’y ait pas de raison qu’une nouvelle grossesse se déroule pareil que celle qui a dû être arrêtée.
sp
27 SEPT. 2023
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour
Je vous présente toute mes condoléances pour la perte de votre bébé. Même s'il n'était qu'un embryon. J'imagine aisément toutes les projections faites et l'amour déjà présent pour lui. Consulter un psychologue n'est pas forcément synonyme de thérapie. Dans votre situation, très douloureuse, c'est un travail d'acceptation et deuil que vous devez entamer. Accepter les faits, vous l'avez réalisé. Mais accueillir votre peine est tout autant bénéfique et sain.
Je suis à votre écoute pour en parler en privé.
Je pratique la téléconsultation sur cette plateforme.
Bien à vous
Charlotte
Psychologue
Couple, Famille, travail