Un jour de réunion familiale

Bonjour,

Vous n'êtes pas folle car la démarche d'enfermement n'était je pense effectivement pas appropriée d'autant plus avec cette histoire de tampon. Je comprends que ça vous a paru assez étrange. Après quitte aux personnes concernées d'admettre leurs agissements sans pour autant allez chercher des mots inappropriés. Je reste à votre disposition si vous voulez en parler

Cordialement
Afonso Stéphanie
Psychanalyste

Bonjour Clairette,

Je comprends que vous traversez une situation difficile et que vous êtes profondément perturbée par ce que vous avez vécu. Il est important de reconnaître que vos émotions et réactions sont valables, et il est normal de ressentir de la confusion et de la douleur face à des situations de ce genre.

Ce que vous avez décrit semble être une forme de violence psychologique. Bien que cela ne soit pas une agression physique, elle peut avoir des répercussions profondes sur la santé mentale, créant des sentiments de honte, d'humiliation et de colère.

Forcer quelqu'un à faire quelque chose contre sa volonté, surtout dans un contexte familial, peut avoir des effets durables sur le sentiment d'intégrité personnelle et le respect de soi. Cela peut également altérer la perception de la sécurité et des relations de confiance dans la famille.

Vos émotions de choc et de détresse peuvent également être liées à une dissonance cognitive, où vos valeurs personnelles sur le respect et la dignité entrent en conflit avec la réalité que vous percevez dans cette situation.

Les familles ont souvent des dynamiques et des normes spécifiques qui peuvent normaliser des comportements inappropriés ou abusifs. Ces normes peuvent influencer la manière dont les membres de la famille perçoivent et réagissent aux comportements abusifs.

Parfois, les personnes impliquées peuvent ne pas reconnaître l’impact de leurs actions, ce qui peut mener à des conflits lorsqu’une personne exprime son inconfort ou son indignation.

Les membres de la famille peuvent utiliser des mécanismes de défense tels que le déni ou la minimisation pour éviter de confronter les aspects négatifs ou douloureux des expériences passées.

Il peut être utile pour vous d’explorer en profondeur vos pensées et sentiments à travers des techniques de thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Cela pourrait inclure :

- Observer les pensées immédiates qui surgissent lorsqu’on évoque ces événements et examiner leur validité.

- Travailler à reformuler les pensées négatives ou extrêmes pour mieux comprendre la situation sans se laisser envahir par la détresse.

Vous pourriez bénéficier de techniques d'exposition graduée pour affronter et réduire la peur ou l'anxiété associée à la situation.

Développer des stratégies d'adaptation pour gérer les émotions difficiles et les conflits familiaux.

Je vous encourage fortement à envisager une consultation avec un thérapeute pour vous aider à travailler sur ces aspects de manière plus approfondie. La thérapie peut offrir un espace sécurisé pour explorer ces émotions et mettre en place des stratégies d’adaptation adaptées à vos besoins.

Il est important de prendre soin de votre bien-être émotionnel. N’hésitez pas à chercher de l’aide pour naviguer à travers ces expériences difficiles.

Cordialement,
Guibert Terriat

Bonjour Clairette
Oui il y a eu de la violence dans ce que les adultes ont fait à ces deux jeunes filles.
Elles en sont sans doute encore très traumatisées.
Ce que vous leur avez dit est ''juste'' sur le fond, et je pense que vous avez à travailler sur la forme lorsque vous dites ce que vous pensez et ressentez au plus profond de vous même.
Sans doute êtes vous fort dans l'émotionnel sur certains sujets et vos propos peuvent être trop ''directs'', ce qui n'enlève rien à leur justesse. Vous avez raison, là n'est pas le sujet
Si vous avez besoin de mon aide, avec grand plaisir
Inès Avot

Bonjour,

Dans cette histoire il faut probablement revenir à l'intention, même maladroite, qu'avaient votre mère et votre tante à l'époque.
Retrouver les intentions de l'autre permet souvent de dédramatiser et de ne pas sur réagir.
Vous avez le droit d'avoir vos valeurs et vos opinions mais vouloir à tout prix changer celles des autres manifeste surtout un manque d'assurance en vous.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Bonjour clairette,

J'entends que cette situation vous a beaucoup touché, la méthode paraît un peu dure.
Vous vous demandez : est-ce que j'ai sur réagis ?

Nous réagissons avec ce que nous sommes, nos émotions, nos pensées, nos croyances...

La question est de savoir est ce que vous avez l'impression de surréagir ? Souvent dans votre vie ?

Nous pouvons être touchés de certaines situations avoir des réactions, face à certains événements....
il est intéressant lorsque ça arrive de reprendre la situation en soi, ressentir l'émotion, l'analysée, la comprendre, la conscientiser...

Et puis si on avait envie de mettre un petit ajustement créateur on pourrait dire que au lieu de dire que la situation est violente Qui peut être pris comme un jugement.

Peut-être l'exprimer différemment,
Reprendre les faits, exprimer ce qu ce qui se passe en vous, ce qui vous touche puis exprimer votre besoin face à cette réalité.

Bonne continuation à vous, C'est encourageant de voir les gens se repositionner face à leur environnement. Merci.

Gestalt Thérapie Alexandra Drouin

Bonjour,
Je suis désolé d'apprendre que vous traversez une situation aussi difficile. Il est normal de se sentir choqué et même bouleversé après avoir entendu ces histoires de violence, surtout quand il s'agit de membres de la famille. Il est important de se rappeler que chacun réagit différemment aux expériences de trauma.

Votre réaction exprime une sensibilité et un sens des principes qui sont précieux. Vous avez le droit de vous sentir en colère et choquée par quelque chose que vous considérez comme inacceptable. La violence, quelle qu'elle soit, n'est jamais à minimiser.

En ce qui concerne votre tante, il est possible qu’elle ait des raisons personnelles d'agir de la manière dont elle l'a fait, mais cela ne diminue en rien la gravité de l'acte que vous évoquez. Votre réaction est légitime, et vous ne devriez pas vous sentir coupable d'avoir exprimé votre indignation.

Je vous encourage à réfléchir à ces questions. Il serait judicieux de faire un travail sur vous. Cela vous permettrait d'écouter vos émotions, de les comprendre, cela vous permettrait de sortir de ce conflit psychique que vous décrivez, car vous seule êtes capable de réaliser un tel travail. Personne ne peut le faire à votre place, ni vous dire que faire .

Je vous offre la possibilité d'en parler avec moi, en présentiel ou en ligne, afin de résoudre cette situation, et de trouver ensemble les solutions les plus adaptées.
P Groult, psychanalyste

Bonjour,

Ce que tu décris est une situation très difficile et profondément troublante. Ta réaction de choc et d'indignation est parfaitement compréhensible, et il est normal de ressentir une telle émotion face à ce qui s'apparente à une forme de coercition et de violence psychologique.

Il est important de reconnaître que tes principes et tes valeurs sont une partie essentielle de qui tu es, et ils te guident dans tes jugements et tes réactions. Le fait que tu sois la seule à exprimer ton désaccord ne signifie pas que tu réagis de manière excessive. Cela montre simplement que tu es sensible aux questions de consentement et de respect de l'intégrité physique et mentale des individus, en particulier des enfants et des adolescents.

Cependant ,prenons en compte que les générations étant différentes , les actions l'étaient aussi , ce qui vaut a dire que l'attitude psychologie a évoluée ; même si je suis d'accord avec ton ressenti.
il est compréhensible que tu veuilles maintenir la paix familiale et éviter d'envenimer les relations.
Il peut être difficile de trouver un équilibre entre exprimer tes convictions et préserver les liens familiaux.

Peut-être pourrais-tu envisager de parler de nouveau à ta tante et à ta mère dans un moment plus calme, en expliquant tes sentiments de manière plus posée et sans accuser . Comme aborder le fait , que tu ai conscience ,que les générations précédentes étaient différentes. Tu pourrais leur dire que tu comprends qu'elles aient agi selon ce qu'elles pensaient être bien à l'époque, mais que de ton point de vue, cela a été ressenti comme une forme de violence.
Exprimer tes sentiments sans juger directement leurs intentions pourrait ouvrir un dialogue plus constructif.

N'oublie pas que tu as le droit de ressentir ce que tu ressens et de défendre ce en quoi tu crois. Tes principes sont importants et ils font de toi la personne que tu es. Il est aussi essentiel de prendre soin de toi et de ne pas te laisser submerger par la culpabilité pour avoir voulu éviter un conflit.

Je t'envoie tout mon soutien et mes encouragements pour trouver la paix avec cette situation. Prends soin de toi.

Avec bienveillance,

Bonjour Clairette,

Tout d'abord, bravo d'avoir dit ce que vous pensiez même si cela n'a pas eu l'effet que vous espériez. Nous n'avons pas tous (et je me met dans lot) le courage de le faire face à de telles situations, qui même si elles datent d'un autre age, sont anormales. Ensuite, vous avez eu raison de nuancer vos propos, car sous l'effet du choc, vous avez pu dire des mots violents, face à une situation que vous avez trouvée violente. Et il est important d'avoir des principes, et les vôtres sont emprunts de respects mutuels, ce qui est une bonne chose. Je comprend que vous vous posiez des questions par rapport à votre réaction, mais restez vous même, et ne rentrez pas dans la case dans laquelle votre tante a essayée de vous mettre pour se défendre.

Si vous souhaitez être soutenu sur vos problématiques, je vous laisse prendre rendez vous sur mon agenda en ligne. Si vous m'envoyez un message, laissez moi vos coordonnées dans le message, pour que je puisse vous contacter.

Prenez soin de vous, Christophe.

Bonjour Clairette,

Vous avez le droit de trouver cela choquant en effet, car il y a eu de la violence. Même si le mot « viol » n’est pas approprié dans cette situation, il y a une notion de contrainte qui va à l’encontre du droit fondamental de chacun d’user de son propre corps.
Cependant, il est difficile d’être juge ici, puisque vous n’indiquez qu’une partie de la situation et pour la comprendre et avoir un avis fort sur cette question, il serait nécessaire d’avoir l’intégralité de la situation que vous n’avez certainement pas d’ailleurs vous-même. Seules les protagonistes de l’affaire pourraient avoir cela.
Cependant, que vous reste-t-il à faire aujourd’hui ? C’est tout simplement si vous le souhaitez, exprimer votre point de vue, en vous excusant d’avoir été certainement un peu excessive dans vos propos. Chacun a le droit de penser ce qu’il souhaite d’une situation. Ce qui n’est pas autorisé, c’est d’essayer d’imposer cette pensée. Dites simplement que vous n’auriez pas du tout apprécié cette situation et que cela vous aurait vraiment choquée d’être traitée ainsi.
Si vous pensez avoir besoin d’aide, n’hésitez pas à me consulter.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour Clairette,
Je ne pense pas que vous sur réagissiez. Tel que vous le racontez, cela évoque effectivement une grande violence. Et un contexte éducatif autoritariste.

Bien à vous, Anne Fierry Vérité, psychologue.