Syndrome d'aliénation parentale : comment le combattre ?
Savez-vous ce qu'est l'aliénation parentale et pensez-vous que votre ex-partenaire aliène vos enfants contre vous ? Découvrez ce qu'il en est et comment la combattre.
Lorsque les parents ont des problèmes ou se sont séparés, les enfants se retrouvent dans une situation très difficile. Dans certains cas, lorsque le conflit parental est très grave, les deux parents peuvent agir sous l'effet du "syndrome d'aliénation parentale", c'est-à-dire qu'ils tentent d'influencer leur enfant pour qu'il aille à l'encontre de l'un de ses parents.
Bien que ce terme ait été formulé par le psychiatre Richard Alan Gardner, la réalité est qu'au sein de la communauté scientifique, l'aliénation parentale ne fait pas l'objet d'un consensus scientifique, ce qui fait que cette "condition" n'est pas reconnue en termes de santé et de troubles mentaux.
Par conséquent, ni l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ni l'American Psychological Association (APA), ni les manuels sur les troubles psychologiques ne reconnaissent le syndrome d'aliénation parentale. Malgré cela, nous allons vous dire en quoi consiste ce phénomène, mis en évidence par Gardner. Tout d'abord, il est important de noter que cette condition est considérée comme pseudo-scientifique.
Qu'est-ce que le syndrome d'aliénation parentale ?
Lorsque l'aliénation parentale se produit trop souvent, les enfants peuvent déclencher cette pathologie. Le syndrome d'aliénation parentale est le trouble le plus grave que puisse présenter un enfant. C'est aussi le terme le plus souvent utilisé par un parent pour discréditer l'autre parent au tribunal afin d'obtenir injustement la garde de son enfant. Il s'agit d'un trouble très difficile à diagnostiquer, qui s'accompagne de controverses, de fausses accusations et d'une absence de consensus scientifique. Par conséquent, ni l'OMS (Organisation mondiale de la santé) ni l'American Psychological Association ne l'ont reconnu comme un trouble psychologique, ce qui explique qu'il ne figure dans aucun des deux plus importants manuels de troubles psychologiques, la CIM-10 et le DSM-5.
Symptômes du syndrome d'aliénation parentale
Voici quelques-uns des principaux symptômes décrits par Gardner qui pourraient indiquer la présence du l'aliénation parentale :
- Campagne de dénigrement : L'enfant est obsédé par la haine d'un parent. Ainsi, l'aliénation envers un parent est due au fait que l'autre parent est désigné comme le mal personnifié.
- Justifications faibles, absurdes ou frivoles du mépris : L'enfant avance des arguments irrationnels et/ou ridicules pour ne pas vouloir être avec le parent détesté. C'est l'un des symptômes les plus évidents du syndrome d'aliénation parentale chez les enfants.
- Absence d'ambivalence : c'est-à-dire que tout est bon chez un parent et tout est mauvais chez l'autre. Ce symptôme d'aliénation parentale est lié au fait qu'il n'existe aucune justification à une telle haine.
- Le phénomène du "penseur indépendant" : l'enfant affirme que ce rejet est sa propre décision, nie toute forme d'influence ou ne se sent pas aliéné par l'un ou l'autre de ses parents.
- Soutien inconditionnel au parent "aliénant" : même si on lui présente des preuves qu'il ment, il continuera à le soutenir.
- Indifférence aux sentiments du parent détesté : L'aliénation peut devenir si efficace que l'enfant semble incapable d'avoir des sentiments pour le parent qui reçoit les attaques d'aliénation parentale.
- Présence d'arguments empruntés : Chacun des arguments que l'enfant aliéné présente tend à apparaître comme étant celui du parent aliéné.
- La qualité des arguments utilisés semble répétée : ils utilisent souvent des mots qui ne font pas partie du langage de l'enfant.
- Extension de la haine à la famille élargie et au réseau social du parent "aliéné" : les personnes qui représentaient autrefois une part importante de la vie de l'enfant sont désormais rejetées.
Quand un enfant montre une aliénation parentale. Il est essentiel d'agir rapidement, car cela peut avoir des conséquences néfastes sur leur mentalité. Pour cette raison, il est conseillé de consulter un spécialiste de la santé mentale.
Types de syndrome d'aliénation parentale
Gardner a classé le SAP en trois types :
- Légère : L'aliénation est superficielle et, bien que les enfants soient par intermittence critiques et contrariés, ils coopèrent fondamentalement lors des visites où leur comportement est généralement tout à fait normal.
- Modéré : L'aliénation est plus importante. Les enfants sont plus négatifs et irrespectueux, la campagne de dénigrement peut être permanente, surtout en période de transition, c'est-à-dire lorsque les enfants comprennent que la désapprobation d'un parent est exactement ce que l'autre parent veut entendre. Un parent est défini comme totalement bon et l'autre comme totalement mauvais. Pendant les visites, ils adoptent souvent un comportement oppositionnel, ils peuvent détruire les biens du parent "aliéné". Ils affirment qu'ils ne sont pas influencés.
- Sévère : Dans ce cas, l'aliénation est grave. Il peut être impossible d'effectuer des visites. L'hostilité des enfants est si grande qu'ils peuvent avoir recours à la violence physique. Tous les symptômes décrits ci-dessus sont présents. Si les visites sont forcées, ils peuvent faire preuve d'un comportement oppositionnel et destructeur constant, ils peuvent s'enfuir ou être paralysés.
Les raisons qui peuvent conduire un parent à éloigner son ou ses enfants de l'autre parent peuvent être très diverses : incapacité à accepter la rupture avec le partenaire, tentative de maintenir la relation par le conflit, désir de vengeance, autoprotection, culpabilité.....
Les fausses accusations existent aussi et sont plus fréquentes qu'on ne le pense. Un parent peut accuser l'autre d'être "aliénant" pour différentes raisons, qui peuvent coïncider avec celles qui conduisent à la séparation des enfants d'un parent : changement de garde, vengeance, incapacité à accepter la nouvelle situation...
Comment le SAP apparaît-il ?
Le syndrome d'aliénation parentale peut apparaître pour diverses raisons, mais toutes ont un point commun : le manque d'empathie envers l'enfant :
- La compétition pour être le meilleur : Ce syndrome apparaît souvent comme une réponse à la compétition qui se produit entre les parents pour prouver à l'autre parent qu'ils sont le meilleur parent. L'intérêt n'est pas le bénéfice de l'enfant, mais la médaille du parent le plus aimé. Évidemment, dans cette lutte, on joue souvent des jeux sales et on coupe autant de têtes que nécessaire. Cette compétition peut être générée en réponse à une faible estime de soi. Le parent a le sentiment qu'il peut perdre l'affection de l'enfant parce qu'il se sent moins important et cette lutte de pouvoir apparaît.
- Mauvaise gestion de la rupture : les ruptures peuvent être très compliquées et il est courant de trouver de la colère, voire de la haine, envers l'autre parent. Le problème est que cette colère et cette haine sont transmises aux enfants qui n'ont rien à voir avec ce qui s'est passé.
- Facteurs spécifiques de la personnalité : Impulsivité, manque de contrôle et de gestion des émotions, difficultés à se mettre à la place de l'autre, manque d'autocritique, etc.
Comment combattre le syndrome d'aliénation parentale ?
De nombreux parents ne savent pas comment manifester le syndrome d'aliénation parentale, ce qui peut avoir des conséquences désastreuses sur la santé mentale des enfants et du parent concerné. Selon les psychologues, pour tenter de contrer l'aliénation parentale, il est essentiel de suivre les conseils suivants.
- Ne tentez pas l'aliénation parentale avec l'autre parent : Il peut sembler logique que lorsqu'on souffre d'aliénation parentale, la meilleure contre-attaque soit d'essayer d'attaquer l'autre parent de la même manière. Il s'agit d'une véritable erreur, car les enfants sont les seuls à en pâtir. Malgré la frustration que le SAP en tant que syndrome peut produire, nous devons mettre de côté l'agressivité que ce type d'attitude peut nous donner.
- Restez positif et évitez de blâmer vos enfants : une attitude positive est essentielle pour faire face à l'aliénation parentale. La parentalisation dont souffrent les enfants qui y sont exposés finit par les amener à mal s'adresser à leurs parents. Il est donc essentiel de comprendre ce qui se passe et d'interagir normalement avec nos enfants.
- Tu te souviens comment j'ai utilisé la manipulation : Dans de nombreux cas, les personnes qui adoptent une attitude aliénante avec leurs enfants ont tendance à avoir une personnalité manipulatrice. C'est pourquoi il est essentiel d'essayer de compenser ce type de comportement en utilisant les informations que nous connaissons sur la manière dont cette personne utilisait le chantage. De cette manière, vous pourrez prévoir comment compenser l'aliénation dont souffre votre enfant.
- Connaissez vos faiblesses : Il est très probable que la personne qui effectue cette parentalisation essaiera d'utiliser les faiblesses que vous avez pour son aliénation parentale. De cette façon, la connaissance de soi est une bonne arme qui vous aidera à savoir comment ils peuvent attaquer vos faiblesses ou vos lacunes. En les reconnaissant, vous serez en mesure d'éviter que cela ne vous affecte.
- Demandez de l'aide : Bien qu'il n'y ait pas d'inculpation pour aliénation parentale, car il ne s'agit pas d'un crime en soi, la réalité est que vous pouvez demander l'aide de psychologues pour faire face à ce type de situation. Il est essentiel d'envisager l'une de ces solutions au syndrome d'aliénation parentale, car il peut vous affecter, vous et votre enfant.
Quels sont les effets de l'aliénation parentale ?
Les effets possibles de l'utilisation d'un enfant comme tire-larmes, comme confesseur ou simplement comme témoin des ragots d'un parent contre l'autre peuvent être multiples :
- Insécurité : en ébranlant les piliers sur lesquels il repose, la perception idéalisée de son père et de sa mère en tant que soignants inconditionnels. Les parents fournissent une base stable et confiante à partir de laquelle une personnalité saine se forme. Dans cette situation de conflit et de critique, la stabilité et la sécurité émotionnelles sont niées.
- Agressivité : en raison des sentiments contradictoires que la situation provoque face à l'amour authentique que l'enfant ressent pour chacun de ses parents, avec leurs vertus et leurs défauts. Les enfants comprennent en termes absolus, en termes de noir et de blanc, leurs esprits ne sont pas encore préparés à comprendre qu'il y a des gris, ils cataloguent en termes de bon et de mauvais.
- Inquiétude : en raison de la menace qui pèse sur leur propre sécurité et leur stabilité.
- Stress : En forçant son rythme de développement et en l'obligeant à adopter des points de vue pour lesquels il n'est pas encore prêt.
- Haine : non seulement envers le parent critiqué ; à mesure que l'enfant grandit, ce sentiment se retournera contre le parent qui a critiqué l'autre parent. Effets de l'aliénation parentale
- La tristesse : le fait de percevoir que les deux personnes qu'il aime le plus se méfient et se critiquent mutuellement. Dans certains cas, la dépression peut même être déclenchée en fonction de la sensibilité de l'enfant et du contexte.
- Frustration : Souvent, l'enfant veut régler la situation entre les parents, mais elle échappe à son contrôle.
- Faible estime de soi : Parce que dans la mesure où l'enfant prend ses deux parents comme modèle pour le développement de son propre moi, de son concept de soi, il y aura une partie de lui-même qu'il rejettera.
- Manipulation et tromperie : dans ces conditions, l'enfant apprendra à profiter de toute fissure entre les parents pour obtenir des avantages pour lui-même, pour briser les limites, etc.
- Soumission : "Si je ne me conforme pas à ce que les autres attendent de moi, je serai aussi critiqué".
- Critique : L'enfant apprendra à utiliser la critique destructive comme moyen d'entrer en relation avec les gens.
- Malheur : l'enfant sera préoccupé par des questions qui le dépassent car il se trouve dans une phase de développement. Son univers infantile s'est effondré.
- Méfiance : parce que la base sûre d'affection et de stabilité que les parents devraient fournir est refusée. En général, le schéma mental qu'un enfant a de ses parents est celui de deux personnes qui s'aiment. Dans son schéma infantile encore en développement, il comprendra cette critique comme une trahison dans une relation d'amour.
- L'échec scolaire : l'enfant n'étant pas concentré sur son propre développement, il peut avoir des difficultés à se concentrer car son attention est focalisée sur sa propre survie émotionnelle et sur le conflit dans l'environnement familial.
Il est prévisible qu'un enfant qui grandit dans un environnement de critiques d'un parent à l'autre aura une personnalité endommagée, une mauvaise image de soi, une faible estime de soi, de l'insécurité, un manque de compétences sociales saines, aura tendance à se comporter de manière manipulatrice avec les autres, sera méfiant dans ses relations avec les autres et portera un lourd fardeau pour atteindre son propre bonheur. Il est donc essentiel d'essayer de mettre fin au syndrome d'aliénation parentale de tous les côtés.
Photos : Shutterstock
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Comment peut-on encore prétendre que le syndrome d'aliénation parentale existe en 2020 quand Richard Gardner a inventé son pseudo syndrome pour justifier une société patriarcale (l'aliénation parentale était pour la très très grande majorité l'œuvre des mères !) et avançait même que les relations sexuelles avec des enfants donnaient un avantage à l'humanité (comme la zoophilie et autre perversion sexuelle). Partisan de ce qu'il nommait la "pédophilie heureuse", il demandait l'arrêt des condamnations des pères incestueux !! Son soi-disant syndrome lui a permis de défendre des pères violeurs. Certains enfants pour lesquels R. Gardner (conseillant les juges) a donné un avis favorable pour le transfert chez le père affirmant que la mère manipulait les enfants qui dénonçaient l'inceste de leur père ont fini par se suicider ! Quelle belle théorie !!! D'ailleurs il a lui même fini par se suicider en 2003. C'est à se demander si lui aussi était si fier de son œuvre ? Je suis effaré de voir un tel article qui défend cette théorie fumeuse de la part d'un site qui se dit sérieux. Revoyez votre bibliographie qui est extrêmement limitée (3 ouvrages et même pas les documents à l'origine). Relisez donc s'il vous plait les ouvrages originaux avant de colporter de telles inepties [Academy Forum, Vol. 29, N°2, 1985, p. 3-7, Recent Trends in Divorce and Custody Litigation]. Tout cela, y compris votre article n'a vraiment rien de scientifique !!!!!!! D'ailleurs les scientifiques ne reconnaissent toujours pas le SAP 50 ans après. C'est qu'il y a peut être de bonnes raisons ? Par contre je vous l'accorde il existe bel et bien des gros manipulateurs, dominateurs, qui tentent d'utiliser les enfants contre le parent qui a osé le défier. Ils brandissent d'ailleurs très habilement (en bonne victime qu'ils sont) l'argument du SAP contre le parent et les enfants qui se rendent bien compte de leur perversion.
mon pere m'a aliene depuis mes 2 ans contre ma mere et aujourd'hui elle m'a laisse découvrir ce que je considérer depuis toujours comme un sentiment d'étoufement.Elle m'a aussi expliqué ce qu'étaient les "pervers narcissiques".
Bonjour. Si ca vas mal mangez un repas et reposer vous. rester en bonne santé. Surtout rester sois même et droit dans ces bottes et c'est la qu'en cas de faiblesse il convient de ne pas affronter seul la situation.. Les avocats ne sont a mon avis pas la meilleure façon d'aider la famille de l'enfants puisque cela va couter tres cher a toutes la famille. (Aux enfants.) La précarité s'est pas Jojo. D'abord Il ya l'éducation parentale conjointe. C'est normal et la régle! IL faut aller droit au but sans trop attendre. contacter le spj (protection de l'enfance et leur expliquer qu'il vous apparait que votre enfants n'a pas une relation satisfaisante avec vous et demander l'intervention d'un juge de paix pour qu'une garde alternée soit mise en place. Ils connaissent maintenant bien le sujet des "familles modernes en mutation". () Ne pas trop divulguer les secrets de famille de votre enfants en respectant la sphère privée de votre enfants et la votre. Vous colaborez dans cette limite. Personne apprécie les gens qui se plaignent.() Pas trop longue les premières anées de(s) l'enfant(s) 2 jours et nuits . puis aller vers un 5j 2j 2j 5j en attendand que tout le monde retrouve ces esprits s'ils le font.. En bonne intelligence. L'attachement se faisant dans les premières années de la vie. (Voir theorie de l'attachement) Le mieux étant un foyer commun autrement la garde altérnée est une "bonne" solution. Et garder votre argent pour vos enfants si vous en avez un peu déjà. Il faut donc bien expliquer à ceux qui doivent le comprendre (enfants et parents) que les enfants sont sous la responsabilité des parents jusqu'a leur majorité et que donc ils suivent leur parents puis viveront leur propre vie. Durant ce laps de temps, Chaque enfants, pour son bon développement a le droit et doit d'avoir une relation satisfaisante avec l'un et l'autre de ses parents. (Beaux parents, famille reconstituée = tierce personne à proscrie!! Gros dégats en vue. conflits de loyauté et grosse sueur.) En suisse, certain se propose plutôt à parler de denis parental, ou d'alienation famillial puisqu'il sagit avant tout de la famille de(s) enfant(s) et qu'effectivement ce sont les enfants qui trinquent méchamment Accepter l'autre parents tel qu'il est (il ya évidemmnet des limites) et assumer les responsabilités au sujet de la santé mentale des enfants en commançant par respecter leur droit premier et fondamental qui est d'avoir une maman et un papa. Les droits de l'enfants doivent être appliqués du moins en prendre connaissance. Pour la france, il serait peut-être judicieux de ne pas mettre les enfants avant 4 ou 5 à ans l'école afin de laisser aux enfants le temps de tisser un lien d'attachements convenable avec leur nouveaux parents et aussi de laisser un peu de temps au parents de découvrir et apprende ce qu'est la parentalité. (Cela àviterai peut-être, qui sait, de gros soucis de société...) Droit dans ses bottes! Notre, nos, enfants aura, auront une relation satisfaisante avec son papa et sa maman. Ou alors vous lui enverrez une carte postale de temps en temps. aprés pas sur qu l'autre parents la lui transmette.. Baissez pas les bras. Courage a tous et bonne parentalité.
Toutes les cases du diagnostique cochées, toutes les sombres perspectives envisagées, on ne voit hélas aucune solution . Faut-il lutter, continuer malgré tout à tenter de se présenter pour exercer un droit de visite que l’enfant refuse, avec pour effet manifeste une aggravation du rejet… ou se retirer en attendant des jours meilleurs ( ou pires) et l’inévitable conflit à venir de l’enfant avec le parent alienant. Comment agir si on ne peut plus se voir ? Rien dans ce qui est publié sur la question ne laisse place à l’espoir …hélas !
Syndrome d'aliénation parentale : comment le combattre ? C'est le titre de l'article que j'ai lu avec grande attention. Intéressant pour fixer le diagnostic (je suis en plein dedans avec 2 ados de 13 et 14 ans et demie ). Cela dit je cherche de solutions (comment le combattre) et j'en ai pas trouvé dans cet article. Merci pour d'avoir dresser la liste des symptômes. Une maman aliénée.
Merci, je comprend mieux ce qui m'arrive et que cela fait 2 ans que je n'ai pas vu mon fils de 19 ans..
Bonjour, En lisant ce text je retrouve parfaitement les points décrit. Ma fille de 13 ans souffre, a rempu toute discussion avec moi, refuse de venir chez moi, l'autre parent refuse de communiquer etc... Comment aider mon enfant ? Je lui ai écrit une lettre, je lui ai proposer une thérapie mère fille, j'ai mis en place des actions à la maison. Elle souffre et se scarifie.