Dépendance affective et anxiété péritraumatique

Bonjour Azura, Merci de nous apporter autant de détails qui visiblement montrent votre envie de vous en sortir, votre envie de bien faire et d'être aimée et aussi de comprendre. Il semblerai que votre perception d'enfant soit prédominante dans votre vie d'adulte et que vos traumas de maltraitances agissent dans votre présent sans cesse, éveillant chez vous une réactivation automatique d'hypervigilance qui engage beaucoup de votre énergie pour vérifier ce lien d'attachement tant espéré avec l'autre, et aussi d'une perception de danger dès lors où l'autre s'éloigne de vous, ou prend de la distance.
Rassurez vous ces réactions ont été apprises et peuvent être désapprises. De plus la dépendance affective, le style d'attachement insécure et vos mécanismes de défenses démontrent que vos besoins sont affamés. Faire ce pas de demander de l'aide est un cadeau pour votre futur vous Azura. Prendre ce temps pour vous en thérapie vous fera grand bien et vous permettra de vous comprendre, d'assouplir certains schémas et de rassurer vos insécurités internes qui vous poussent dans la dépendance à chaque fois. Je reste à votre écoute et disponible pour vous.
Morgane psychopraticienne certifiée

Bonjour,
Merci de partager avec tant de sincérité les difficultés que vous rencontrez. Votre parcours, marqué par des expériences très douloureuses, montre déjà une grande force et un désir de guérison. Il est tout à fait compréhensible que, malgré votre travail thérapeutique, vous ressentiez encore des blocages et des schémas qui persistent. Vous n'êtes pas seule dans ce cheminement, et il est essentiel de continuer à avancer avec patience et bienveillance envers vous-même.

Vous avez déjà identifié des aspects importants de votre fonctionnement psychologique, comme votre style d'attachement insécure et le complexe d'infériorité que vous compensez par un complexe de supériorité et du narcissisme. Ces mécanismes de défense, bien qu’ils aient pu vous protéger à un moment donné, peuvent aussi entretenir une souffrance durable.

L'attachement insécure, souvent lié à des expériences précoces d'instabilité ou de maltraitance, peut vous pousser à idéaliser vos relations et à ressentir une grande angoisse face à la possibilité de l'abandon. Le vide ressenti après le départ d'une personne significative est une réaction normale dans ce cadre, mais il est important de travailler sur la manière dont vous pouvez remplir ce vide par vous-même, plutôt que de dépendre uniquement de l'affection des autres.

La dépendance affective est un phénomène complexe où votre bien-être dépend de l’attention et de l’affection que vous recevez de vos relations. Cette dépendance peut parfois créer une pression importante dans les relations, car elle génère des attentes très élevées, tant pour vous que pour l'autre personne. Cela peut aussi expliquer pourquoi vos relations tendent à être de courte durée.
Il est crucial de travailler sur l'estime de soi pour apprendre à s'aimer et à se suffire à soi-même. Une approche thérapeutique qui pourrait vous être bénéfique est celle de la thérapie de l'attachement ou encore la thérapie comportementale et cognitive (TCC), qui se concentre sur les schémas de pensée et les croyances sous-jacentes.

Vous mentionnez que vous avez du mal à vivre dans le moment présent, étant souvent prisonnière du passé ou inquiète pour l'avenir. La pratique de la pleine conscience (mindfulness) pourrait être un outil précieux pour vous aider à vous ancrer dans le présent. Cette pratique vous encourage à observer vos pensées et vos émotions sans jugement, à les accepter telles qu'elles sont, et à vous reconnecter à l’instant présent, ce qui peut progressivement réduire l'anxiété.

Il est essentiel de cultiver une attitude de bienveillance et de compassion envers vous-même. Vous avez traversé des expériences traumatisantes, et il est normal que la guérison prenne du temps. Permettez-vous d'évoluer à votre rythme et reconnaissez les progrès que vous avez déjà réalisés. Cela inclut de se pardonner pour les moments où vous retombez dans des schémas anciens.

Il pourrait être utile de discuter avec votre thérapeute des stratégies spécifiques pour travailler sur ces schémas persistants. Parfois, intégrer des approches thérapeutiques complémentaires, comme la thérapie EMDR pour le traitement des traumas, pourrait être bénéfique. La thérapie de l'attachement ou encore des séances de groupe pour les personnes avec des problèmes similaires pourraient aussi offrir un soutien précieux.

Si vous souhaitez explorer ces aspects plus en profondeur, je vous invite à prendre rendez-vous pour une séance d'accompagnement. Nous pourrons ensemble explorer ces pistes et trouver les moyens de vous aider à vous sentir plus ancrée, aimée, et capable de vivre pleinement dans le moment présent.

Prenez bien soin de vous,
Juliana Kraiem

Bonjour Azura,

Merci de partager ce que vous vivez, et je tiens à souligner votre courage dans ce parcours. Vous faites face à des défis émotionnels importants, et votre lucidité sur ces aspects de votre vie montre que vous êtes déjà engagée dans un travail profond sur vous-même.

Ce que vous décrivez est lié à des schémas d'attachement insécures qui se sont probablement formés en réponse à des expériences traumatisantes dans le passé. Il est compréhensible que ces schémas puissent encore être présents malgré le travail thérapeutique que vous avez déjà entrepris. Les traumas complexes, en particulier ceux qui touchent à la sécurité émotionnelle et à l'estime de soi, peuvent prendre du temps à se dénouer, et il est normal que ce processus soit long et difficile.

Le fait de vous sentir vide et malheureuse lorsque vous êtes seule ou après des interactions sociales est une manifestation classique de la dépendance affective. Cela peut rendre difficile la tâche de trouver un équilibre entre votre besoin de connexion et votre capacité à vous sentir bien seule. Vous avez reconnu que votre bonheur repose souvent sur ce que les autres vous apportent, et cela peut créer une dynamique où vous ressentez constamment le besoin de validation externe pour vous sentir bien.

Il est important de continuer à travailler sur la relation que vous entretenez avec vous-même. Le complexe de supériorité et le narcissisme que vous mentionnez sont souvent des mécanismes de défense contre des sentiments d'infériorité ou de manque de valeur personnelle. Il est possible que ces mécanismes se soient développés pour vous protéger de la douleur, mais qu'ils vous empêchent maintenant de vous connecter pleinement à vous-même et aux autres de manière authentique.

Pour avancer, il pourrait être utile de vous concentrer sur plusieurs aspects :

Continuer à travailler sur votre estime de soi de manière authentique, en reconnaissant vos qualités sans avoir besoin de vous comparer aux autres. Cela pourrait inclure des pratiques régulières d'autocompassion, d'affirmations positives, et de reconnaître vos succès et vos progrès, aussi petits soient-ils.

Apprendre à trouver du confort dans la solitude. Cela ne signifie pas que vous devez renoncer à des relations, mais plutôt que vous pouvez commencer à apprécier et à valoriser les moments où vous êtes seule. Ces moments peuvent être l'occasion de vous recentrer, de prendre soin de vous, et de découvrir des passions ou des intérêts qui vous appartiennent totalement.

Il peut aussi être bénéfique de continuer à explorer ces dynamiques avec votre thérapeute, en mettant un accent particulier sur le développement d'une sécurité intérieure qui ne dépend pas des autres. Cela pourrait inclure un travail sur les croyances fondamentales que vous avez sur vous-même et sur vos relations, ainsi que des techniques pour mieux gérer l'anxiété et les pensées anticipatoires.

Enfin, il est important de vous rappeler que le chemin vers la guérison est un processus, et qu'il est normal de rencontrer des obstacles en cours de route. Votre conscience de vous-même est un atout précieux dans ce processus, et chaque pas que vous faites est un pas vers une plus grande paix intérieure et une vie plus équilibrée.

Je vous encourage à continuer à avancer avec douceur et bienveillance envers vous-même. Vous avez déjà accompli beaucoup en reconnaissant ces schémas et en cherchant à les comprendre et à les transformer.

Je vous souhaite de trouver la sérénité et l'épanouissement que vous méritez.

Stéphanie Laurent

Bonjour Azura,

Vous êtes à une nouvelle étape de votre vie. Vous êtes capable de faire état de vos besoins et de vos mal-êtres sans pour autant réussir à sortir d'un schéma qui semble répétif.

Vous semblez avoir les réponses toutefois dans la solitude vous semblez être désarmée, vous êtes anxieuse.
En partageant ici ce constat vous faites déjà un nouveau pas vers un mieux être.

Avant de conclure , je vous partage une citation de Carl ROGERS : "Il existe un curieux paradoxe : quand je m’accepte tel que je suis, alors je peux changer."
Je vous souhaite de trouver l'accompagnement qui vous conviendra pour faire face et apaiser vos angoisses.
Stéphanie - counsellor ACP

Bonjour,

J'entends votre désarroi dans votre message et vous avez toute ma compassion.

En effet, vous l'avez très bien identifié, ce que vous avez vécu dans votre enfance vous a façonné, ce qui a automatiquement crée chez vous un attachement insecure.

Je ne peux que vous conseiller la thérapie afin de poser à plat tous ces souvenirs, émotions, ressentis afin de pouvoir aller de l'avant, vous sentir secure, vous sentir enfin en harmonie avec vous-même, sans avoir besoin d'une tierce personne pour vous sentir heureuse.

De plus, la thérapie vous aidera avec l'anxiété généralisée que vous avez développé.

N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez échanger.

Bien à vous.

Rachel Caudron
Psychopraticienne, spécialisée en Thérapies Comportementales et Cognitives.

Bonjour Azura,

Vous avez entamé une psychothérapie pour travailler sur des traumatismes passés, ce qui vous a déjà sans doute permis d'avancer.
Compte tenu de vos antécédents, de vos blessures affectives et narcissiques, il est normal que cela demande plusieurs années pour vous libérer de vos scénarios de vie, qui doivent être compris comme des solutions que vous avez mis en place pour vous protéger, dans la relation à l'autre vécue comme potentiellement douloureuse et dangereuse. La dépendance affective n'est pas une fatalité, elle peut se modérer par la thérapie, et l'estime de soi peut se reconstruire en étant bien accompagnée.
Je vous invite à poursuivre votre chemin thérapeutique dans une approche intégrative (voir mon profil) qui travaille à la fois sur le corps, les émotions et les pensées-croyances anxieuses.

Bien à vous,

Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, thérapie systémique du couple et de la famille, coaching relationnel
(visio consultations et consultations en présentiel, sur rendez-vous)

Bonjour Madame,

Vous avez fait un travail considérable pour comprendre vos schémas, et cela montre une grande force et une détermination à aller de l'avant malgré les blessures profondes que vous portez.
Ce que vous décrivez est un processus complexe, où les traumatismes passés ont façonné des mécanismes de défense qui, bien que compréhensibles, continuent de vous causer du tort.

L'anxiété et la dépendance affective sont souvent des réactions à des blessures d'attachement non résolues. L'idée de combler un complexe d'infériorité par un complexe de supériorité est une stratégie de protection qui vous a probablement aidée à survivre, mais qui, à long terme, vous empêche de construire des relations épanouissantes et d'accéder à un bonheur authentique.

L'une des clés pour surmonter cette dépendance affective et l'anxiété pourrait être de continuer à renforcer votre capacité à vous connecter à vous-même, à vos propres besoins et à votre valeur intrinsèque, indépendamment des autres. Cela demande du temps et de la patience, surtout après des expériences aussi difficiles. Il peut être utile de travailler davantage sur l'ancrage dans le moment présent, par des pratiques comme la pleine conscience ou la méditation, qui peuvent vous aider à calmer l'esprit et à réduire l'anticipation anxieuse, associée a l'hypnose.

Un autre aspect important est d'explorer comment vous pouvez progressivement changer le regard que vous portez sur vous-même, pour passer de l'autocritique et de l'idéalisation des autres à une plus grande auto compassion. Vous avez le droit de vous accorder la même bienveillance que vous pourriez accorder à quelqu'un que vous aimez profondément.

Il peut aussi être bénéfique de travailler spécifiquement sur la régulation émotionnelle, pour apprendre à naviguer dans ces vagues de détresse sans vous y perdre, l'EMDR peut être efficace pour cela.
Ce type de travail peut, selon les traumas être un peu plus long, mais chaque petit pas vers une meilleure gestion de vos émotions et une plus grande autonomie affective est un pas vers une vie plus sereine et plus en phase avec vos désirs profonds.

Votre cheminement est loin d'être facile, mais vous avez déjà démontré une grande résilience. Continuez à avancer avec cette même force, en vous rappelant que chaque moment d'auto compassion, chaque pas vers l'indépendance émotionnelle, est une victoire en soi.

Vous méritez de trouver un bonheur qui vienne avant tout de vous-même.

Bonjour, vous avez subi dans votre enfance beaucoup de choses traumatisantes et la ou les personnes qui auraient dû vous protéger vous ont mal traîtée. Il vous est donc difficile d'avoir une sécurité intérieure, et il faut du temps dans la thérapie pour la construire petit à petit.
Ce qui est important est comment vous vous sentez pendant la thérapie en compagnie de votre thérapeute, ensuite avez-vous l'impression que la thérapie vous apporte quelque chose ? Il faut souvent beaucoup de patience dans un cheminement thérapeutique.
Si vous avez des questions, je reste à votre écoute en cabinet à Nice ou en visio.
Cordialement.
Laurent Stevenoot
Psycho analyste clinicien.

Bonjour Azura,
Votre histoire me touche.

Il arrive régulièrement que des personnes que j'accueille et accompagne, me disent :" je viens vous voir parce que je sens qu'avec mon psy, on est allé jusqu'au bout de ce qu'il ou elle, pouvait m'apporter."

C'est une bonne dans cas d'en changer.

J'ai accompagné et continue d'accompagner des personnes qui ont des failles de l'enjeu d'attachement et/ou de détachement.
Des problèmes d'image de soi, de confiance en soi, piégées parfois dans des émotions, des sensations ou des actions qui ne ressemble pas à la personne qu'elles sont au fond d'elles-mêmes, et qui se sente démunies face à cela.

Je pratique la Gestalt Thérapie Intégrative, une méthode qui utilise la mémoire du corps, à laquelle j'ajoute un chemin de méditations personnalisées.

Cela nous permettrait, dans un travail de co-création, de regarder votre vécu traumatique sous un angle nouveau, de trouver ensemble dans les ressources personnelles dont vous disposez, les outils qui sont les vôtres et que vous n'avez encore jamais utilisé.

Ces outils vous offriraient la possibilité de savoir comment réguler vos émotions, mettre du sens sur vos sensations, et transformer vos pensées négatives en pensées positives.

Vous seriez dans la relation aux autres, comme avec vous-même, dans un sentiment de paix et de sécurité, qui vous apporterai aussi une solide sérénité créatrice, même lorsque vous êtes seule avec vous-même.

Je reste à votre écoute, et c'est avec joie que je vous accueillerai en thérapie, si vous le décidez, soit en visio, soit en présentiel ( voir mon profil).

Bien à Vous Azura

Chaleureusement.

David T.

Bonjour Madame,

Étant donné la gravité de ce que vous avez vécu par le passé toute thérapie entreprise demande du temps pour vous aider à vous reconstruire sur des bases différentes : j’imagine que malgré les difficultés que vous rencontrez encore vous avez quand même fait beaucoup de progrès.

Soyez patiente et faites confiance à votre psy.
Éventuellement tournez vous vers une thérapie de type TCC qui pourra « casser » vos schémas de pensée.

Je vous souhaite de dépasser votre anxiété, vos dépendances et aussi de gagner en confiance en vous et dans le futur.
sp

Bonjour Azura,

Peut être pouvez-vous tenter les groupes d'entraide en ligne ?
Ils sont gratuits et fonctionnent sur la pair-aidance. Le groupe de pair a un impact différent des thérapies individuelles et convient parfois mieux à certaines personnes.
Il est aussi intéressant de faire les 2 ( vous travaillerez certaines choses avec votre thérapeute et d'autres via le groupe).

Cela vous permettra de réaliser que vous n'êtes pas seule dans la situation .
Divers outils sont proposés pour avancer plus sereinement dans la relation avec soi et les autres.
Site : DASA ( Dépendants Affectifs et/ou Sexuel Anonymes) .
Il n'est pas nécessaire de se ressentir dépendant sexuel pour assister: les réunions abordent la dépendance affective et pour ceux qui le souhaitent (non obligatoire) interrogent son RAPPORT à la sexualité (besoin de se faire aimer à travers elle, compulsions de rencontres ou au contraire restrictions..).
Mais vous pouvez y aller même si vous ne vous identifiez que sur la dépendance affective .

Dans certaines réunion, vous pouvez rester totalement anonyme (pas de caméra, mettre un pseudo) et simplement écouter.

Ces réunions fonctionnent sur le principe d'une entraide aussi entre réunion (échanges téléphoniques).
Mon conseil : ne prenez / donnez que des numéro de femmes dans vos débuts ( compte tenu de votre fragilité actuelle) .

Belle découverte si cela vous parle ,
S BEL, psychopraticienne en addictologie et TCA (consultations en ligne et en présentiel)

Bonjour,
A vous lire, on voit bien que vous êtes encore impactée de votre passé.
Si votre thérapie était uniquement verbale, il est normal que ce qui a été enkysté est toujours actif dans l'inconscient.

Je vous conseille une approche intégrative/psychocorporelle (voir mon profil).

Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique

Bonjour

merci pour votre message que je trouve très touchant.

Vous avez subit de mauvais traitements et de la prostitution forcée, vous avez été ainsi objectivée c'est à dire considérer comme un simple objet sexuel, le statut de personne étant ainsi dénié, votre existence en tant qu'individu déniée aussi. Il y a quelque chose d'extrêmement existentiel dans les angoisses qui vous assaillent lorsqu'on vous quitte, lorsque l'on ne vous donne pas.
Votre parcours vous a fortement insécurisé, vous l'avez bien compris, pour autant la réponse n'est pas la supériorité et le narcissisme.
La réponse passe par retrouver une identité propre, reconstruire une estime de Soi pour pouvoir in fine affirmer "Ego Sum" (affirmer qui vous êtes)
Cela passe par un travail thérapeutique, cela aussi vous l'avez bien compris puisque vous avez déjà travaillé en ce sens. Pour autant ce travail ne semble pas suffisamment porté ses fruits. Peut-être que l'approche n'est pas ou plus adaptée à vos besoins actuels.
Plus que travailler sur vos traumatismes, la thérapie narrative pour propose de travailler sur qui vous êtes, de reconstruire une identité narrative représentative que qui vous êtes, de vous projeter différemment dans votre présent. Je vous engage à vous renseigner sur cette approche qui semble bien indiquée pour votre situation.

Je reste à votre écoute et à votre disposition sir vous souhaitiez en savoir plus sur la thérapie narrative ou approfondir cet échange, n'hésitez pas à me contacter.

Bien cordialement

Bruno BRICE
Thérapeute Narratif Psychopraticien

Bonjour Azura,

Il est clair que vous avez besoin de vous faire aider. Vous n’avez visiblement pas les bons comportements qui vous permettraient de vivre une vie de couple de longue durée. C’est principalement dû au fait que votre enfance ne fut pas un modèle pour vous donner la bonne marche à suivre.
Je vous suggère donc fortement d’accepter de vous faire aider en venant me consulter pour réussir enfin à vivre à deux passionnément et durablement.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour,
Votre travail vous a-t-il permis de progresser? Il est normal qu'il y ait des moments où on se sent avancer et des moments où l'on a l'impression de stagner voire régresser. Mais au bout de 3 ans et demi (même au bout d'un an), vous devez sentir que les choses bougent. Vu votre passé, il faudra sans doute un soutien psychologique très long car vous avez eu beaucoup de traumatismes. Construire une relation amoureuse demande d'être autonome affectivement et psychiquement, or vous êtes encore fragile et vous ne pouvez demander à l'autre de vous réparer (il n'y a que chez votre psy que cela se travaille). Sans doute votre inconscient vous pousse à choisir des relations qui vous abandonneront encore et encore. Il faudrait choisir un type d'homme totalement différent, très rassurant et aimant, ou s'abstenir d'avoir des relations qui seront de toute façon très douloureuses.

Je vous souhaite beaucoup de courage.