J'ai un grand sentiment d'insécurité
Bonjour, je suis un jeune homme de 26 ans hypersensible (ou peut-être en immaturité affective ?) inquiet pour son avenir marchant à l’affect ayant besoin d’environnement sécurisant présentant divers troubles psychologiques et se posant beaucoup de questions sur la vie.
Je suis en pleine construction et en pleine recherche de moi-même, je fait appel à vous pour avoir un avis et recevoir de l'aide bien que je sois suivi par un thérapeute pour parler et un autre psychologue également qui fait de l’hypnose Ericksonnienne bien qu'elle en fasse peu soit disant que la psychothérapie seule soit aussi efficace. Ça fait des années que j'y suis en thérapie classique, ça bouge mais difficilement.
Né prématuré, ma mère étant déprimé et ayant perdu son père quand elle m'attendait, mes parents m'ont surprotégé durant mon enfance et ont toujours été derrière moi pour m'aider, m'accompagner et peut-être trop faire à ma place ce qui m'a empêché de faire mes expériences essais/erreurs certainement. Aujourd'hui en ressort un malaise face à la frustration et les déceptions mais en même temps mes parents m'ont jamais dit non ou très rarement durant mon enfance. J'ai le sentiment que lorsque l'on me dit non, on m'enlève quelque chose comme si qu’on m’interdisait d’être libre, d’être heureux et de vivre. Je le prends comme une injustice et je suis en colère.
Je me bats depuis petit pour plusieurs raisons et présente un stress, des angoisses, une anxiété de séparation, une peur de la vie et de la mort, un sentiment d'insécurité (je ne sais pas ou aller, que faire, quoi faire, comment faire) et j'ai tendance à vivre ma vie par procuration en la fantasmant. Je suis en train de passer à côté de celle-ci je le sais mais je ne sais pas comment faire et je vous demande de l'aide du moins un avis sur ma situation.
Je me souviens d'avoir eu des TOCS en école maternelle ou je voulais toucher la poignée de la Mairie ou ma mère travaillait ainsi que la descente des volets à 19h devant les magasins. J'ai eu à de multiples reprises des rêves petit ou je voyais les mêmes images un voisin du dessous rentrait dans l'appartement et venait me faire du mal. À l'école primaire, j'ai subi un choc profond car je suis resté coincé pas mal de temps sous l'eau lors d'un exercice de cours de natation et une autre fois, j'ai vu une mort par hydrocution à ce même endroit qu'est la piscine.
J'ai vécu depuis petit et encore maintenant des périodes de dépression depuis principalement la mort de mon grand-père victime d’un cancer de vessie à mon entrée en fin CM2 début 6e des troubles somatiques et une peur du suicide avec phobie d'impulsion s'en est suivie. J’ai longtemps culpabilisé car à l’époque âgé de 12 ans j’avais préféré aller à la fête foraine de mon quartier plutôt que d’aller lui rendre visite une dernière fois pendant qu’il était bien mais je savais pas que ça se compliquerait. J’ai eu à la suite sur les années collège une diminution de l'appétit avec peur de vomir, une crainte de faire du mal à mon entourage et en parallèle je craignais d'être abandonné par mes parents et j'appréhendais tous les sois d'aller me coucher et je devais être rassuré sur ce qu'ils allaient faire de leur soirée. Aucun bruit signifiait la solitude, la mort en quelque sorte.
J'ai toujours été quelqu'un de sociable mais craintif du rapport à l'autre car j'ai subi beaucoup de moqueries au cours de mon existence notamment à l'école maternelle étant plus petit que les autres en taille. Une période délicate a suivie après le collège en rentrant au lycée ou j'ai vécu un remue-méninge et un tourment intérieur lié à la question de l'orientation sexuelle jusqu'à ma terminale ce qui m'a value une dépression également sous fond de dysthimie.
J'ai du plusieurs fois aller voir une magnétiseuse (en plus d'un suivi psychiatrique depuis très jeune) pour passer ces périodes difficilement douloureuses.
L'entrée dans l'âge adulte a été très compliqué au moment des études supérieures et j'ai été victime d'hypocondrie sévère à plusieurs reprises qui devaient certainement cacher une peur de grandir et de quitter la sécurité familiale et au jour d'aujourd'hui cela est encore difficile même si cela a évolué. Je me sens dans une sorte d'insécurité intérieur, de doute, seul, face à moi-même et à l'immensité de la vie qui impose des choix et des chemins. Cela a été laborieux et j'ai souffert d'un évitement avec les autres dans la relation humaine de peur d'être rejeté et abandonné puis par manque de confiance en moi et de sentiment d'infériorité au cours de mes deux expériences en FAC. J'en ai développé une phobie sociale source de moqueries et d'harcèlement moral ayant pris forme de menace de mort ou je n’osais pu sortir de chez moi.
Je suis parfois dans l'immobilisme et l'indécision qui prennent forme dans mon manque de confiance en moi, ma faible estime de moi et me bloquent dans ma vie.
Je me sens abimé face à toutes ces épreuves qui m'ont forgé et m'ont bouleversé au plus profond de mon être au point ou parfois je me demande si je ne suis pas victime d'un mauvais coup du sort et d'un manque de chance ou bien du syndrome de victime. Toutes mes belles années de jeunesse ont étés gâchées et j’ai le sentiment qu’elles m’ont étés volées injustement.
Je sens que quelque chose est là au fond de moi, un blocage qui est un problème de fond qui m'empêche de m'épanouir et qui comme une boîte de musique revient au galop inlassablement avec la dépression à chaque évènement négatif que je perçois peut-être comme un choc émotionnel, je le prends comme une petite mort, une perte, un deuil, la fin de quelque chose avec la peur du "rien" et du néant avec la difficulté à l'accepter. Peut-être est-ce lié à mon problème de dépendance affective avec mes parents ? Puis autour de moi aussi sans doute. J’ai également du mal à faire le deuil de choses et de rencontres passés ou mélancolie et nostalgie sont là.
Pendant ces années de BTS j’ai été angoissé avec des troubles urinaires et la peur de mourir, j’ai même cru que ma mère voulait m’empoisonner car je culpabilisais de mon état mental puis à un moment j’avais comme cette sensation de devenir fou. Avant de trouver cette école privée et sécurisante pour mon BTS, j’ai passé 2 ans à la maison en mal-être et en dépression avec évitement de l’extérieur. Pendant ce BTS, j’ai pris l’habitude de manger et me remplir beaucoup et là a commencé l’hyperphagie qui va mieux depuis quelques mois.
J'ai trouvé un domaine qu'est le graphisme et qui me plait (j'ai eu mon BTS en 2016 tandis que le bac en 2012). J'ai réussi à pousser la porte pour une licence sur Paris en alternance (et à reprendre les transports en commun car cela avait été source d'évitement en FAC puisque on a tenté de me voler mon téléphone portable en 1ère année) avec une entreprise vers chez moi mais j'étais en crise de larmes chez mon oncle et ma tante chez qui j'hébergeais pour l'école car je me sentais incapable et j'avais des ruminations hypocondriaques ou je pensais que j'allais mourir et ne rien réaliser en plus de ne pu voir mes parents. A contrario, j'étais content de m'éloigner de la sphère familiale. J'y ai fait de belles rencontres en cours et je suis parti en vacances d'hiver avec 2 de mes camarades ou j'ai pris ma 1ère cuite si je puis dire et j'ai appris le ski. Seulement, au retour à l'entreprise, j'ai été pris d'une dépression violente et c'est là que les larmes et l'hypocondrie sont revenus. Je regrette des choses, j'ai peur du temps qui passe, de pas me réaliser dans 4 ans j'ai 30 ans et je suis chez toujours chez mes parents en manque de confiance en moi par rapport à mon domaine de formation pour travailler.
J'ai eu une récente expérience positive au début ou j'avais repris confiance grâce à l'hypnose mais qui s'est terminée car je suis pas assez rigoureux, étourdi, lent, pas organisé avec des problèmes d'écoute. J'ai toujours été comme ça et pense souffrir d'un trouble de l'attention. La crise du Covid y'a été aussi pour quelque chose mais ils réembauchent quelqu'un. J'ai très mal vécu ma rupture conventionnelle et je me suis rétracté pour combattre et m'affirmer pour une fois, chose que j'ai du mal habituellement comme pour dire non aux autres car je crains de leur faire du mal et on me dit toujours que je suis trop gentil.
Mes parents ont sans doute trop fait pour moi donc du coup ça me met pas en confiance sur le monde et la vie que je considère peut-être comme un danger et la peur de l’échec et de souffrir et de voir se réaliser ce que je crains : j’évite des choses. Je suis beaucoup dans la procrastination.
Je suis quelqu'un de rêveur, d'emphatique, de bienveillant dans le rapport à l'autre, nostalgique et mélancolique (aficionados de la série TV Dawson's Creek depuis mes 10 ans), maladroit, flexible, de caractère souple et étourdie donc avec un brun de nervosité car je parle vite. Je suis fan de la chanteuse Jenifer depuis mon plus jeune âge et j'ai toujours rêvé d'être chanteur j'adore chanter. J'ai du mal à gérer et à accepter les choses incontrôlables puis l'autorité et l'injustice ainsi que l'incertitude de la vie. Je me pose des questions sur son sens à travers des questions existentielles et une envie de la vivre de manière contraire à tous les schémas classiques mais en même temps je crains de ne pas être en couple heureux et d'être malheureux, de ne pas devenir père. J'ai du mal à oser dire les choses et hésite souvent j’en tremble un peu et bégaye tout comme j'ai du mal à prendre des décisions. Je dramatise et anticipe les choses négativement mais comment penser positivement avec toutes ces difficultés ? J’ai l’impression d’être lâché en pleine nature face à la vie et ne pas savoir comment la vivre sans avoir de regrets et j’ai peur du temps qui passe.
Je crains certainement de vivre et d'être heureux tout comme de mourir même si ça va mieux. Je crains d'échouer, de la séparation et de l'abandon, du regard et des pensées d'autrui en n'étant pas accepté par un groupe et certainement de grandir et du changement.
J'ai aussi des rêves comme avoir le métier de graphiste ou autre qui me plaise et le pratiquer sur Paris ou en Bretagne en ayant un/une compagn(on)ne, un groupe d'amis avec qui sortir et profiter de la vie avec toutes sortes d'activités inédites et bohèmes, passer des castings dans le chant, rester proche de ma famille et être bien dans ma peau.
La dépression revient de manière cyclique et souvent une fois par an avec 1 an de période bien et normale ou j'ai le sentiment d'être "guéri" et d'avancer, de grandir, de murir mais ça recommence, ça retoque de plus belle.
Je crois faire une nouvelle dépression depuis mon licenciement. J'ai cru à un moment réussir à remonter la pente pendant la période de déprime grâce à mon apprentissage de l'auto-hypnose mais les ruminations mentales sur mon histoire, les dires de mon copain, ma crainte de mon avenir professionnel et mon questionnement sur ce qu'est être quelqu'un d'adulte et de mature ont eu raison de moi... la perte de mon emploi qui a duré 8 mois n'a rien arrangé et je me demande d'ailleurs s'il ne faut pas que je change de voie mais crains que ce soit de l'évitement par manque de confiance en moi. Pourtant je me disais que les dires de mon copain (que j'expose juste en dessous) n'avaient pas valeur absolue et que j'avais changé, que j’arrivais à mieux gérer cette hypersensibilité en ne pleurant pas aussi facilement (par exemple au travail) que ce qu'il me reprochait faisait partie de ma personnalité. Pour le travail, je me disais que j'avais réussi à reprendre confiance sur la partie infographie pure et que j'allais y arriver en m'entrainant pour la partie web chez moi. Hors, je m'en sens incapable bien que je voudrais.
Je me sens dans une impasse terrible d'autant que j'ai réussi à aller jusqu'au bac grâce à l'aide soutenue de mes parents ayant toujours été en difficulté scolaire.
Actuellement, je pleure quand je vois des enfants car désormais je suis seul face à ma vie. Je pleure car une partie de moi meurt quand elle voit des jeunes de mon âge se marier autour de moi et devenir parents, des amis d'enfances que j'ai connu. Je pleure peut-être la mort de mon enfant intérieur... ? Décevoir mes parents aussi et la culpabilité peut-être de les quitter mais pourtant je me sentais prêt à prendre mon envol avec le travail que je venais de trouver. Je me sens prisonnier de moi-même, comme un enfant au milieu de l’océan et je voudrais être sauvé mais je dois me sauver tout seul.
Sans compter tout ça, il faut non seulement que j’assume et accepte mon orientation sexuelle mais c’est que j’ai rencontré quelqu'un sur un site internet il y a 2 ans maintenant, un garçon, dans une relation à distance mais qui je crois est plus néfaste qu'autre chose.
Non seulement je crois qu'il est pervers narcissique, psychorigide et très critique envers moi et ma famille mais en plus de ça je mens à mes parents pour le voir et stress pour trouver des mensonges depuis 2 ans maintenant une fois tous les 15 jours.
Il est sans arrêt dans le reproche vis-à-vis de moi et me renvoie une image négative de moi-même. C'est des fais comme ci, fais comme ça soit disant pour m'aider et le fait de prendre mal n’est pas normal et relève d’un problème psychologique. J'ai l'impression d'être incapable ou attardé. Il me dit que tout est à revoir chez moi, que je vois pas les choses qu'il faut faire, que je manque de réactivité, que j'ai pas de bon sens et de logique, que je suis lent et mou, incapable de prendre des décisions en temps voulu et des initiatives sans qu'il gère ou s'occupe des choses mais quand je fais ça ne va pas c'est pas logique ma façon de faire, des reproches sur mes habitudes d’heures de repas et de coucher adolescentes…
Soit disant que je ne comprends rien à la vie, que je suis dans une bulle pour me protéger de l'extérieur et que je vois pas la vraie dure réalité de la vie qu’il faut que je sois mis en face des problèmes pour les comprendre comme trop faire confiance aux autres, qu'il faut un minimum de logique et de bon sens ainsi que de l'organisation pour avancer dans la vie moi qui suis tout le contraire et plutôt souple et de caractère à l'improviste. Je parle pas beaucoup parfois et il me le reproche soit disant que je suis coincé et inhibé mais quand je parle parfois il s'emporte l'air de dire que ce que je dis est ridicule, j’approfondis pas assez les conversations et il attend que je prenne les devants pour décider, dire, penser aux choses ou évènements ou encore me teste pour me dépêcher et décider un sandwich rapidement. Il s'énerve aussi quand j'aide pas ou que je vois pas les choses en voiture par exemple ou quand je me perds en voiture en le suivant ou parce que j'avance à rien et que je tourne en rond, Il me dit qu'on est tous différent oui mais un minimum quand même que tout le monde a et pas moi. Il ne veut pas que je change mais que je m'améliore et que c’est pour m’aider parce que je me comporte pas comme quelqu’un de 26 ans.
Il me dit que je suis gamin, que j’ai du mal encore à dire non et à m’affirmer, que je dois grandir et murir afin de m'ancrer dans la vie pour être moins naïf comme la question de la gestion d'argent (avant sa rencontre j'étais dépensier c'est vrai maintenant j'économise plus qu'avant), que je réfléchis pas toujours avant de décider ou encore par exemple que je vois pas plus loin que le bout de mon nez et que je suis négligeant, que je suis trop proche de mes parents et que ce n'est pas normal de ne pas réussir à s'enfermer dans sa chambre et de devoir justifier quand je pars. C’est vrai que mes parents m’étouffent parfois surtout ma mère. Que je ne suis pas attentif et qu’on est obligé de me répéter les choses et de tout me dire, les gens pas organisés et bordéliques c’est qu’ils sont mal dans leur tête, il a envie de me secouer et de me stimuler. Sa psychologue apparement « saute au plafond de sa chaise » quand il parle de moi…
Il me dit que j'ai des troubles du comportement en gros quoi et que c’est du à mes angoisses, qu’il y a du Taff à faire en hypnose. J’ai ce sentiment d’illégitimité car il me renvoie une image négative de moi, tout est un problème et a régler, les gens sont malades mais ne savent pas souvent mais il y a plusieurs façons d’être adulte et mature ? En plus il est possessif et jaloux et a besoin d’être rassuré que je le trompe pas. Que je lui donne pas confiance donc il peut pas accepter mon comportement, que je ne suis pas sa priorité et que je n’ai pas d’intentions envers lui. Je ne montre pas mes sentiments envers lui et m’intéresse pas suffisamment à lui.
Pourtant je pense avoir évolué sur plusieurs points aujourd'hui comme sur l'autonomie car je gère mes papiers et mes rendez-vous, j’ai conscience qu’il faut être à l’heure à ses rendez-vous, je suis moins naïf qu’avant et j’ai conscience des choses, je m’organise mieux, j’ai fait des efforts d’attention et de concentration au travail, le détachement avec mes parents puisque je sors quand je veux en prenant ma voiture en allant à Paris parfois et même qu’ils me gonflent et que je les envoie bouler parfois, la prise de contact avec l'extérieur grâce à la pratique de théâtre amateur et club de sport puis au travail je créé des liens plus facilement, je sors, suis plus sociable, arrive à m'amuser grâce à une seule amie lumineuse que j'ai et à prendre du plaisir même si je rumine encore et me demande parfois ce qui va mieux ou pas, ce qui a changé depuis tout ce temps à travers mon récit ?
Je me demande qu'est-ce qui ne vas pas chez moi ? Qu'est-ce qui est normal ou pas normal ? Qu'est-ce qui est pathologique ou non dans mon comportement ? Qu’est-ce qu’il faut changer ? Finalement, je me dis que mon copain a raison car il faut un minimum de bon sens, de logique, de rapidité et d’organisation en entreprise et dans la vie quand on veut faire quelque chose ? Je n’ai pas les bonnes méthodes apparement.
Va falloir que je dise la vérité sur la relation à mes parents car il va déménager et que se voir à mi-chemin va pu être possible. Actuellement, il me dit que je suis encombré par ma mère, que j’ai le poids du mensonge présent, mon insécurité intérieure, le travail, moi qui te dit des choses, tes parents donc tu peux qu’exploser, qu’il y a encore du chemin à faire devant mon hypersensibilité au travail et les pleurs parfois quand ça dérape et que les réflexions sont dures et que et que ce qui me dit c’est un entraînement pour me former… Quelle est la différence entre caractère et personnalité et un signe d’immaturité car chaque adulte est différent dans son fonctionnement, ses pensées, son comportement et son caractère ce qui n’en fait pas moins un adulte qu’un autre pourtant ?
Je ne comprends pas ma psychologue qui pratique l'hypnothérapie. Je suis arrivé il y a quelques jours en pleurs dans son bureau elle ne m'a pas fait d'hypnose et elle en fait pas systématiquement à chaque séance après qu'on ait parlé. Pourquoi ? Pourquoi ne pas en faire à chaque fois ? Elle connait très bien mes problématiques depuis 1 an et demi que j'y vais j'en ai suffisamment parlé et elle a plein de notes. En plus ça marche quand elle en fait donc je comprends pas peut-être est-ce une technique pour que je m'affirme ? Il faut que je demande pour en faire mais bien souvent elle me demande pour quel objectif ? Vous savez ça passe aussi par la parole mais bon sang ça fait 10 ans que je parle et je suis encore là ! Est-ce une manière de thérapie de pratiquer comme ça alors que je demande ? Mon ami, sa psychologue pratique l'hypnose à chaque séance après avoir parlé 10/15 minutes et elle fait son travail sans objectif précisé par lui.
J’ai le sentiment d’être complètement perdu, je me demande quel est le véritable problème d’autant que j’ai quand même évolué ? L’hypnose thérapeutique va-t-elle pouvoir me guérir définitivement à la racine du mal ?
Un grand merci de m'avoir lu.
Je vous remercie d’avance pour vos pistes de réflexions.