Qu'est-ce que le trouble schizo-affectif ? 7 Symptômes pour le détecter et comment y faire face
En quoi consiste le trouble schizo-affectif ? Comment peut-on identifier le trouble schizo-affectif ? Découvrez ses causes, son traitement et comment y faire face.
Tout problème de santé mentale peut rendre la vie difficile. Vivre avec une maladie comme le trouble schizo-affectif peut être encore plus difficile, car elle implique des symptômes de deux problèmes de santé mentale différents.
Dans cette optique, il faut comprendre que les personnes atteintes de troubles schizo-affectifs doivent non seulement faire face à des symptômes psychotiques tels que des délires et des hallucinations, mais aussi à des épisodes maniaques ou même à des périodes de dépression.
C'est pourquoi les personnes atteintes de troubles schizo-affectifs courent un risque élevé de souffrir de complications telles que le chômage, le sans-abrisme, les problèmes de santé, l'isolement ou les difficultés relationnelles. Alors, en quoi consiste le trouble schizo-affectif et comment est-il traité ?
Qu'est-ce que le trouble schizo-affectif ?
Le trouble schizo-affectif est un trouble chronique de la santé mentale qui combine des symptômes de psychose, pouvant impliquer des hallucinations et des délires, avec des symptômes associés à des troubles de l'humeur tels que la dépression ou la manie. Selon le type de symptômes présents, le trouble schizo-affectif est diagnostiqué comme bipolaire ou dépressif.
La prévalence du trouble schizo-affectif dans la population est estimée à environ 0,3 %, ce qui est inférieur à celui de la schizophrénie ou des troubles de l'humeur. Les recherches indiquent que les femmes sont légèrement plus susceptibles de souffrir de troubles schizo-affectifs, mais que les hommes développent ce trouble à un âge plus précoce. Il est important de détecter ce trouble car un traitement peut aider les personnes à réduire leurs symptômes et à améliorer leur fonctionnement dans leur vie quotidienne.
Symptômes du trouble schizo-affectif
Les symptômes du trouble schizo-affectif peuvent varier considérablement d'un cas à l'autre, et peuvent en fait être plus ou moins graves. Le plus souvent, le trouble schizo-affectif présente les symptômes suivants :
- Délires : croyances erronées sur des événements qui ne se sont pas réellement produits ou idées tirées sans aucune sorte de preuve.
- Symptômes dépressifs : sentiment de vide, sentiment d'inutilité ou tristesse constante.
- Hallucinations : Ressentir des choses qui ne sont pas réelles, comme entendre des voix ou des bruits étranges.
- Manque de soins personnels : les personnes atteintes de troubles schizo-affectifs ont également du mal à soigner leur apparence en raison de leurs symptômes.
- Manie : le fait d'avoir soudainement des niveaux élevés d'énergie, de bonheur, de pensées rapides ou de comportements à risque.
- Problèmes d'élocution et de communication : ne donner que des réponses partielles aux questions ou donner des réponses sans rapport entre elles.
- Difficultés sociales : Les personnes atteintes de ce trouble éprouvent également de nombreuses difficultés au travail, à l'école ou dans les milieux sociaux.
Causes du trouble schizo-affectif
Bien que la cause exacte ne soit pas encore connue, les facteurs de risque du trouble schizo-affectif sont les suivants :
- Génétique : le fait d'avoir un membre de la famille proche présentant des caractéristiques liées au trouble schizo-affectif peut augmenter le risque de trouble schizo-affectif.
- Chimie et structure du cerveau : Les personnes sujettes à la schizophrénie et aux troubles connexes présentent souvent des problèmes dans les circuits cérébraux qui contrôlent l'humeur et la pensée. En outre, la schizophrénie est liée à des niveaux plus faibles de dopamine, une substance chimique du cerveau qui peut également nous aider à gérer ces tâches.
- Environnement : Certains scientifiques pensent que des éléments comme les infections virales ou les situations très stressantes peuvent jouer un rôle dans le trouble schizo-affectif si vous êtes à risque.
- Abus de drogues : la prise de drogues altérant l'esprit, en particulier les drogues dites psychoactives ou psychotropes, peut augmenter le risque de développer un trouble schizo-affectif.
Selon les études, le trouble schizo-affectif débute généralement à la fin de l'adolescence ou au début de l'âge adulte, souvent entre 16 et 30 ans. En outre, comme le trouble schizo-affectif combine des symptômes qui reflètent deux maladies mentales, il est souvent facilement confondu avec d'autres troubles de l'humeur ou psychotiques.
Quel est le traitement du trouble schizo-affectif ?
Le traitement du trouble schizo-affectif peut comprendre les éléments suivants :
- Médicaments : Les médicaments prescrits pour le trouble schizo-affectif varient généralement en fonction des symptômes prédominants. D'une part, si la personne présente davantage de symptômes liés à la schizophrénie, des antipsychotiques lui seront prescrits. En revanche, si les symptômes liés à l'humeur prédominent, un antidépresseur ou un stabilisateur d'humeur peut être prescrit.
- Psychothérapie : Une thérapie avec un psychologue aidera les personnes atteintes de troubles schizo-affectifs à en apprendre davantage sur leur maladie, à se fixer des objectifs et à mieux gérer les problèmes quotidiens associés à la maladie. Dans ces cas, la thérapie familiale peut aider les familles à améliorer leur relation et à aider un proche atteint de trouble schizo-affectif.
Quelles peuvent être les complications du trouble schizo-affectif ?
Le trouble schizo-affectif peut augmenter le risque de :
- Problèmes d'abus d'alcool ou d'autres substances
- Troubles de l'anxiété
- Conflits avec la famille, les amis ou les collègues de travail
- Pauvreté ou difficultés financières
- Problèmes de santé importants
- L'isolement social
- Chômage
- Suicide, tentatives de suicide ou pensées suicidaires
Différences entre le trouble schizo-affectif et la schizophrénie
Le trouble schizo-affectif présente les caractéristiques de la schizophrénie, comme les délires ou la pensée désorganisée, ainsi que celles d'un trouble de l'humeur, comme la manie ou la dépression. En fait, l'un de ces deux troubles est souvent diagnostiqué à la place du trouble schizo-affectif.
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L'enfer d'un système de santé psychiatrique en faillite (qui coule a pic dans le déni). Le manque de psychiatres, de structures adaptées, de personnel qualifié disponible, d'environnement sécure et apaisant ! Le cout prohibitif ! La difficulté des prises de rendez vous ! les trafics de drogues en augmentation, le sexchem, le cannabis des fêtards en soirée. Voilà mon constat de la réalité du terrain !!! L'absence de formation pour des thérapies modernes aussi, des psy âgés, qui se cachent derrière des médocs sans traitement de fond, sans suivi régulier, ni ré-ajustement des traitements (rechute). La bientraitance d'établissement de santé qui recrute des emplois handicapés psychiques dans son personnel, sans voir qu'ils sont non stabilisés, délirants, addicts aux produits nocifs et qu'ils attaquent la vie privée de collègues. C'est particulier, il faut un suivi, un encadrement ferme. Si je comprends le but de ne pas stigmatiser (discrimination). Je fustige le déni des risques. Si je comprends qu'il y a des sujets légers et viables. J'ai lu par contre les avertissements des pro de la psychiatrie ! Le syndrome du sauveur qui entraine a laisser faire tout et n'importe quoi. Le risque délirant peut finir en drame si l'encadrement est défaillant. Et je suis furax contre les employeurs qui jouent sur les apparences (bientraitance) sans mettre les moyens ensuite en interne. Absence de salle apaisante pour isoler le salarié en crise, pas de référent a proximité, rassurant en cas d'urgence, de crise délirante (formation premiers secours psychiatrique), pas de contact d'urgence sur le secret partage inexistant (imperméabilité employeur, médecine du travail, aidant, psy du travail et psy extérieur du patient) et pourtant un fondamental précieux : nom médecin extérieur, ou psy, ou aidant, ou famille pour intervenir lors de la crise. Pas de fermeté sur les limites a ne pas franchir, pas de mise en sécurité, pas de schéma de process de crise pour les chefs de services (inhibition aux règles en société, aux lois), sur le fait que l'agent doit aller en arrêt maladie au bon moment et pas au mauvais moment. Qu'il doit rentrer chez lui le jour ou cela va pas. De fait le salarié en crise peut faire n'importe quoi sur autrui même au travail. La boucle est bouclé, l'angoisse qui vient avec son délire hallucinatoire s'accroit avec la victime qui le dénonce a force de subir sans secours et hop le délire du délirant augmente crescendo, la boucle est bouclée. Les chefs, les ressources humaines fuient dans leurs bureaux. N'aide pas non plus le collègue qui sert de défouloir aux crises (victime et objet de son obsession délirante). C'est le conflit assuré, la pagaille. Elle est belle la formation sur les personnalités difficiles = la fuite, la passivité sans encadrement sain. C'est le personnel qui trinque ! Qui doit compenser sans formation adéquate, sans limites. Sauf que le dit salarié va loin. Dans mon vécu : Pirate informatiquement, s'engouffre avec ses délires sur les réseaux sociaux sur ses collègues et en plus pénètre dans les domiciles des collègues trop gentils auquel il ou elle s'identifie ! Vous livre a des gens louches (mise en danger, transfert d'un besoin de prendre des risques sur un tiers). Touche vos affaires, vos biens. Intoxique vos aliments, vos produits essentiels. Enfile vos robes, vos bijoux. S'attaque a votre animal de compagnie. Bravo l'accompagnement psy ! Bravo l'employeur ! Bravo sa famille qui sait et qui ne réagit pas ! Bravo les amis qui minimise la gravité et les conséquences, le risque de drame ! Le patient est acteur de sa thérapie. Faut il qu'il soit accompagner. Faut il qu'il prenne réellement conscience de ses actes parfois oubliés. Faut il qu'il travaille sur un process pour limiter ses délires exaltés manies, maniaques et qu'il mette ses arrêts au bon endroit et au bon moment. Faut il être sur qu'il prenne ses médicaments stabilisant, ses régulateurs, sans antipsychotiques. Faut il un accompagnement "ferme" et bienveillant pour éviter les drames. Bref. J'en ai marre des donneurs de leçons sur internet et en médecine vu que sur le terrain c'est le bordel en réalité. Un vide béant ! Des délirants dans la rue, au travail, sur les réseaux sociaux, sans soins. Elle rentrait chez moi, non de non ! Elle se prenait pour moi ! Elle enfilait mes robes, elle me piratait ma vie privée, elle m'imposait ses allusions sur ma vie privée pour dire je te pirate, elle me torturait psychiquement pour vivre son besoin d'emprise, elle intoxiqué mes denrées et celle de mon chien, elle faisait ses délires sur moi. J'ai tout perdu a cause de collègues instables, non surveillés aimant les risques, le transgressif. Et c'est vous qu'on accuse après car déniant ses actes, elle vous les attribue a sa place pour fuir sa honte, la réalité de ses actes et de ses délires devant la hiérarchie. Cela aurait pu être évité en amont. Si elle avait eu un accompagnement ferme et efficace. Au lieu de cela on fait du déni. On laisse l'autorité être faible, variable. Même déni sur les réseaux sociaux, l'internet qui offre aux délirants l'anonymat et des moyens de coller la vie des autres abusivement. L'internet est mauvais pour les délirants. Ils confondent fiction et réalité. Nourrissent leurs délires de grandeur, leurs narcissismes de manière malsaine. L'addiction est accessible 24/24h. L'écran partout (PC, smartphone etc). Hors en cas de crise on dit bien qu'il faut éloigner le délirant des tentations, des stimulus. Sauf que le dit stimulus est omniprésent, partout dans notre société moderne. Dans la poche même au boulot. Un danger dénié. Cela doit aussi faire l'objet d'une étude de corrélation crises et NTIC, Internet ? Il y a confusion facile entre bipolaire, schizo etc. A croire qu'on veut pas étudier les symptômes. Le bipolaire est aussi une excuse facile au travail, car cela passe mieux, plus facilement. Reste la réalité des symptômes qui fait la différence.
Bonjour, j'ai été diagnostiquée schizo affective en 2012 à l'âge de 52 ans et j'ai mis 3 ans à rechuter, ayant cessé mon médicament à deux reprises. J'ai en fait trois psychoses à mon actif. Mais depuis 2015, je suis stabilisée et je prends abilify à raison de seulement 5 mg par jour. Depuis 9 ans, je n'ai pas eu aucun symptôme. Je me demande si je ne suis pas en rémission, pouvant être guérie un jour.
Alors moi j souffre d schizophrénie affectif et psychose chronique et j né aucun ds saiptome ki ce Di dans cé description ça serait l'inverse j sui pa parano suis super organisé ,sur d moi tout ce k j'ai entrepris j'ai tout fait au top et j fait en sorte tout ce passe bien j sui pour les valeurs le respect et j'ai une manière de faire k kan je veux j peux et ça donne une totale confiance en soi et ça fonctionne très bien voilà ducoup j'aimerai kon m'explique ou et le hic kan on et reconnu comme ça alors k c'est tout l'inverse merci d me répondre
J'avais laissé un commentaire sur ma fille ce qui va affective malheureusement je ne sais pas ce que advenu de ce texte je n'ai pas le courage de recommencer elle a 49 ans j'ai perdu mon mari il y a 11 ans elle ne jure que par mois je me suis très bien entendu avec elle quand elle était beaucoup plus jeune maintenant c'est un dialogue impossible elle reçoit des médicaments qui lui conviennent pas elle prend du poids, elle me poursuit jour et nuit je n'en peux plus que ce soit par téléphone par une arrivée impromptu ou par quoi que ce soit je vous ajoute que je n'ai pas le courage tout recommencer car au moment où j'allais terminer ce texte tout est parti en vrac donc voilà en gros ce que je vis elle ne jure que par moi elle dépense énormément elle prend un poids considérable alors que le terravissante je comprends qu'elle n'est plus du tout envie de prendre le médicament qui lui conviennent pas car elle est bel et bien ce qu'ils ont affectif et non pas schizophrène tout court je ne sais malheureusement pas recommencer tout le texte j'en suis désolé sachez seulement que comme mon mari avait un problème au cerveau, il n'est jamais intervenu pour mettre un peu l'autorité dans la famille je devais toujours me défendre seule contre ma fille. Voilà je suis désolé j'avais mis plein de détails qu'elle avait des envies suicidaires qui n'a pas 3 jours à vous les acheter sous un train et en plus j'ai vraiment l'impression qu'il y a des hauts et des bas comme si c'était une sorte de bipolarité je pense qu'elle prend des médicaments qui ne sont pas adaptés du tout puisque je ne vois aucun résultat elle a pourtant été mieux en 2016 mais maintenant c'est une catastrophe que va-t-elle devenir ? Elle a toujours refusé la maison supervisée elle est dans un appartement depuis un an et demi ça ne va pas du tout puisque elle se voit des ennemis partout voilà je ne peux pas vous en dire plus je n'ai pas le courage de continuer à dicter étant atteinte pour l'instant d'une laryngite. Je veux que vous sachiez que ma fille a un très bon fond et que nous faisions de tas de choses ensemble la seule chose que je n'ai pas faite avec elle c'est lui donner énormément d'argent ce que mon mari a fait elle dépend donc d'un tuteur qui lui donne 100 € par semaine et je dois compter par deux fois 55 € sauf que j'ai des problèmes financiers je ne sais plus continuer j'ai parfois l'impression qu'elle ne m'aime que pour mon argent même si elle prétend le contraire elle peut passer très très rapidement en une journée à une voix joyeuse puis un depi total et lorsque j'étais à la maison je ne vivais plus du tout j'ai reçu des ajout, des choses affreuses vis-à-vis de moi et de mon mari quand il était en vie que vous ne pourriez même pas imaginer pendant la cérémonie du décès de mon mari elle voulait en finir après elle voulait en finir cela a toujours été comme ça en plus elle a des achats considérablement compulsif et je dois ajouter quelque chose que mon père que je n'ai pas connu avait aussi des achats compulsifs je ne sais pas si c'était résité mais personne dans ma famille ne souffrait de schizophrénie ou de schizo affectivité. Étant donné que sa psychiatre ne l'écoute pas ne lui laisse pas placer un mot comment voulez-vous que ça avance ? Elle refuse la psychothérapie elle refuse maintenant depuis trop longtemps tout ce qui est d'ordre médical elle veut des vacances ce que je comprends très bien mais pour le reste je ne sais plus être ce pilier auquel elle s'accroche parce que moi-même j'ai besoin de soutien
Où aller pour se faire diagnostiquer svp?
Je ne sais quoi penser je n'invente pas ce que j'ai vécu. Violée 3 fois par deux hommes différents. Dont un que j'aimais beaucoup en tant que personne il était très gentil toujours de bonne humeur jamais un geste ou une parole déplacé. Je ne m'y attendait vraiment pas. Et il m'a démolie émotivement et il m'a fait perdre confiance en l'homme. Sa soeur chez qui je demeurais en famille d'acceuille disait tellement de façon convaincante ha notre Patricia on l'aime comme si c'était notre fille et les gestes ne suivaient pas les paroles j'étais toute mêler. Voilà un peu mon départ des l'âge de 13 ans. Je crois bien que j'ai mis trop ma confiance en les personnes de mon entourage je n'avait pas appris qu'il fallait garder une certaine distance. Il m'a fallu toute ma vie pour apprendre qu'il ne faut jamais avoir confiance à 100% . Voilà où j'en suis rendu et je ne crois pas que ceci est inventé. Bonne soirée à vous tous.
J’aimerais savoir comment ce comporter avec les personnes atteinte de ses patologie
J'ai un fils atteint de cette maladie qui est dans le déni. Nous avons été obligés de l'hospitalité sous contrainte plusieurs fois. Nous ne recommenceront plus car c'est violent et les résultats catastrophique. Mon fils est devenu méfiant et violent surant ses crises qui sont de plus en plus proches. Si des équipes se déplaçaient aux domiciles des malades ce serait un grand pas vers ces malades qui vivent dans le déni. Trop de pression sont demandée aux parents.